11 mai 2022

Les autorités de réglementation médicale et Pfizer savaient que le vaccin COVID provoquait une aggravation de la maladie !

 

Des documents confidentiels de Pfizer que la Food and Drug Administration étasunienne a été contrainte de publier par ordonnance d’un tribunal, confirment que Pfizer et la FDA savaient que l’aggravation de la maladie par le vaccin était une conséquence possible des injections de l’ARNm Covid-19.

Ils révèlent également qu’ils avaient des preuves de cette occurrence, y compris plusieurs décès, mais qu’ils les ont balayées sous le tapis et ont affirmé qu’« aucun nouveau problème de sécurité n’a été soulevé ».

Les conséquences de cette dissimulation se font maintenant sentir dans les données officielles du gouvernement qui suggèrent fortement que la population entièrement vaccinée souffre d’une facilitation de l’infection par les anticorps (ADE) depuis le début de 2022.

Les chiffres montrent que les personnes entièrement vaccinées ont jusqu’à deux fois plus de risques d’être hospitalisées à cause du Covid-19, et deux à trois fois plus de risques de mourir du Covid-19.

Avant de nous plonger dans les documents de Pfizer, examinons les conséquences réelles du fait que les autorités de réglementation et Pfizer ont ignoré que les injections de vaccins anti-Covid-19 pouvaient provoquer une aggravation de la maladie par le vaccin.

Des recherches intensives menées par des experts de la santé au fil des ans ont mis en lumière des préoccupations croissantes concernant la  » facilitation de l’infection par les anticorps «  (ADE), un phénomène où les vaccins aggravent considérablement la maladie en préparant le système immunitaire à une réaction excessive potentiellement mortelle.

La facilitation de l’infection par les anticorps peut se manifester de plusieurs manières différentes, mais la plus connue est appelée « la voie du cheval de Troie ». Elle se produit lorsque des anticorps non neutralisants générés par une infection ou une vaccination antérieure ne parviennent plus à éliminer l’agent pathogène lors d’une nouvelle exposition.

Au lieu de cela, ils agissent comme une passerelle en permettant au virus de pénétrer et de se répliquer dans des cellules habituellement interdites (généralement des cellules immunitaires, comme les macrophages). Cela peut entraîner une plus grande diffusion de la maladie et des réactions immunitaires excessives à l’origine de maladies plus graves.

Voici une courte vidéo du conseiller médical en chef du président américain, le Dr Anthony Fauci, qui explique cette conséquence indésirable [A voir sur le site d’origine, NdSF]. Il y confirme qu’il s’agit d’un danger possible dû aux injections de Covid-19 et que ce ne serait pas la première fois que cela se produit.

Malheureusement, il semble que des facilitations de l’infection par les anticorps puissent maintenant se produire à cause des injections de vaccin anti-Covid-19 ; et il semble que l’Agence britannique de sécurité sanitaire ait fait de son mieux pour le cacher.

Les conséquences

Au début de l’année, l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) a décidé de ne plus publier les taux de cas, d’hospitalisation et de décès pour les personnes doublement vaccinées, mais uniquement les taux pour les personnes triplement vaccinées dans son rapport hebdomadaire de surveillance du vaccin Covid-19.

Les taux sont calculés en divisant la taille de la population totale de chaque groupe de statut vaccinal par 100 000, puis en divisant le nombre total de cas, d’hospitalisations ou de décès dans chaque groupe vacciné par le chiffre calculé.

Par exemple : – 3 millions de personnes doublement vaccinées / 100k = 30

500.000 cas parmi les personnes doublement vaccinées / 30 = 16.666,66 cas pour 100.000 habitants.

Cependant, l’UKHSA produit un rapport distinct contenant la taille globale de la population par groupe d’âge et par statut vaccinal, ce qui signifie que nous pouvons prendre ces chiffres et calculer nous-mêmes les taux d’hospitalisation et de décès pour 100.000 habitants parmi les personnes doublement vaccinées.

Voici le tableau extrait du rapport de surveillance de la grippe et du virus Covid-19 de la semaine 12.

Et voici un graphique montrant la taille de la population doublement vaccinée par âge et par semaine en Angleterre. Nous avons repris les chiffres du tableau ci-dessus et des rapports des semaines 8 et 4.

Maintenant que nous connaissons la taille de la population, il nous suffit de diviser chaque population par 100.000, puis de diviser le nombre d’hospitalisations et de décès par la réponse à cette équation, pour calculer les taux d’hospitalisation et de décès.

Voici un graphique montrant le nombre d’hospitalisations dues au vaccin Covid-19 chez les personnes non vaccinées et les personnes doublement vaccinées dans les rapports de surveillance du vaccin Covid-19 de l’UKHSA des semaines 5, 9 et 13.

L’UKHSA fournit les taux d’hospitalisation et de décès pour la population non vaccinée à la page 47 de son rapport de surveillance des vaccins de la semaine 5, et à la page 45 des rapports de surveillance des vaccins des semaines 9 et 13.

Voici deux graphiques montrant le taux d’hospitalisation Covid-19 pour 100.000 individus parmi la population non vaccinée et doublement vaccinée en Angleterre, par groupe d’âge et par semaine. Les taux d’hospitalisation des personnes doublement vaccinées ont été calculés à partir des chiffres du « tableau de la taille de la population » et du « tableau du nombre d’hospitalisations » ci-dessus.

Comme vous pouvez le constater, tous les groupes d’âge ont connu un taux d’hospitalisation plus élevé pour 100 000 chez les personnes doublement vaccinées depuis le début de l’année. Cependant, la tranche d’âge la plus jeune, celle des 18-29 ans, a connu un taux d’hospitalisation légèrement plus élevé chez les non-vaccinés au cours de la semaine 13.

Malheureusement, nous constatons la même chose en ce qui concerne les décès.

Voici un graphique montrant le nombre de décès dus au Covid-19 parmi les personnes non vaccinées et doublement vaccinées dans les rapports de surveillance du vaccin Covid-19 de l’UKHSA des semaines 5, 9 et 13.

Voici deux graphiques montrant le taux de mortalité lié au Covid-19 pour 100 000 individus parmi la population non vaccinée et doublement vaccinée en Angleterre, par groupe d’âge et par semaine. Les taux de mortalité des personnes doublement vaccinées ont été calculés à partir des chiffres du « tableau de la taille de la population » et du « tableau du nombre de décès » ci-dessus.

 

Comme vous pouvez le constater, tous les groupes d’âge ont connu un taux de mortalité Covid-19 plus élevé pour 100 000 chez les personnes doublement vaccinées, à l’exception des 18-29 ans. Mais cette tranche d’âge n’a connu un taux de mortalité plus élevé chez les non-vaccinés qu’au cours de la semaine 5, les semaines 9 et 13 ayant enregistré un taux de mortalité identique chez les non-vaccinés et les double-vaccinés.

Le seul autre groupe d’âge à rompre la tendance est celui des 30-39 ans, dont le taux de mortalité est redevenu légèrement supérieur à celui des non-vaccinés au cours de la semaine 13. Mais à part cela, toutes les autres tranches d’âge ont connu un taux de mortalité plus élevé parmi les personnes doublement vaccinées depuis le début de l’année.

Encore une fois, ce n’est pas le genre de chiffres que nous devrions voir si un vaccin est efficace. Ce n’est même pas le genre de chiffres que l’on devrait voir si un vaccin est inefficace. Ce que nous voyons ici, c’est un vaccin qui a l’effet inverse de celui escompté, et les chiffres montrent que les personnes doublement vaccinées sont plus susceptibles de mourir de Covid-19 que les personnes non vaccinées.

Si les taux pour 100 000 sont plus élevés chez les vaccinés, ce qui est le cas, cela signifie que les injections de Covid-19 ont une efficacité négative dans le monde réel. Et en utilisant la formule d’efficacité des vaccins de Pfizer, nous pouvons déchiffrer avec précision quelle est l’efficacité réelle dans chaque groupe d’âge.

La formule du vaccin de Pfizer :

Taux de non-vaccinés pour 100k – Taux de vaccinés pour 100k / Taux de non-vaccinés pour 100k x 100 = Efficacité du vaccin

Les deux graphiques suivants montrent l’efficacité réelle du vaccin Covid-19 contre les hospitalisations parmi la population doublement vaccinée en Angleterre, par groupe d’âge et par semaine, sur la base des taux d’hospitalisation fournis ci-dessus.

Ces graphiques montrent que les 18-29 ans sont le seul groupe d’âge pour lequel les injections de Covid-19 se sont avérées avoir une efficacité positive contre l’hospitalisation. Mais cela n’a été le cas qu’au cours de la semaine 13, et l’efficacité positive n’a été que de +14%. Auparavant, une efficacité négative de moins 16 % avait été enregistrée au cours des semaines 5 et 9.

Mais c’est une autre histoire pour tous les autres groupes d’âge, et les chiffres montrent que les choses se dégradent avec l’âge. Ce qui signifie que les choses se dégradent pour les personnes qui ont été vaccinées en premier.

L’efficacité du vaccin contre l’hospitalisation n’est que de moins 90 % chez les 60-79 ans doublement vaccinés et de moins 86 % chez les personnes doublement vaccinées de plus de 80 ans.

Le graphique suivant montre l’efficacité réelle du vaccin Covid-19 contre le décès parmi la population doublement vaccinée en Angleterre, par groupe d’âge et par semaine, sur la base des taux de décès fournis ci-dessus.

L’histoire est légèrement différente de celle de l’efficacité contre l’hospitalisation dans les groupes d’âge les plus jeunes, mais elle montre que l’efficacité contre le décès est encore plus mauvaise chez les personnes âgées de plus de 60 ans. Une efficacité du vaccin contre le décès de moins 111% a été enregistrée chez les 60-69 ans, moins 138% chez les 70-79 ans et moins 166% chez les personnes de plus de 80 ans au cours de la semaine 9.

Mais il suffit de regarder les chiffres pour les 40-49 ans. Au cours de la semaine 5, une efficacité vaccinale contre la mort de +16% a été enregistrée. Puis, au cours de la semaine 9, elle est tombée à moins 32 %. Puis, au cours de la semaine 13, elle est tombée à un niveau choquant de moins 121 %.

Ces chiffres montrent que les personnes doublement vaccinées ont deux fois plus de risques de mourir de Covid-19 que les personnes non vaccinées. Pourquoi ? Parce qu’elles souffrent d’une aggravation de la maladie par le vaccin, et Pfizer savait que cela allait arriver.

Les documents confidentiels de Pfizer

Les aggravations de la maladie par le vaccin (VAED) sont des tableaux cliniques particuliers affectant des personnes exposées à un agent pathogène de type sauvage après avoir reçu une vaccination antérieure contre le même agent pathogène.

Les réponses immunitaires délétères sont déclenchées par l’échec des tentatives de contrôle du virus infectant, et les VAED se présentent généralement avec des symptômes liés à l’organe cible de l’agent pathogène de l’infection. Selon les scientifiques, le VAED se présente sous la forme de deux immunopathologies différentes, la facilitation de l’infection par les anticorps (ADE) et l’hypersensibilité associée au vaccin (VAH).

La Food and Drug Administration (FDA) étasunienne a tenté de retarder de 75 ans la publication des données de sécurité du vaccin COVID-19 de Pfizer, bien qu’elle ait approuvé l’injection après seulement 108 jours d’examen de sécurité le 11 décembre 2020.

Mais début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman leur a ordonné de publier 55 000 pages par mois. Ils ont publié 12 000 pages à la fin du mois de janvier.

Depuis lors, le PHMPT a publié tous les documents sur son site Web. La dernière publication a eu lieu le 2 mai 2022.

L’un des documents contenus dans les données publiées est « reissue_5.3.6 postmarketing experience.pdf ». Le tableau 5, qui se trouve à la page 11 du document, indique un « risque potentiel important », et ce risque est répertorié comme une « aggravation de la maladie par le vaccin (VAED), y compris la maladie respiratoire aggravée secondaire au vaccin (VAERD) ».

Pfizer affirme dans son document confidentiel que jusqu’au 28 février 2021, il a reçu 138 cas rapportant 317 événements potentiellement pertinents indiquant une aggravation de la maladie par le vaccin. Parmi ces événements, 71 étaient médicalement significatifs, entraînant 8 handicaps, 13 mettaient la vie en danger, et 38 des 138 personnes sont décédées.

Sur les 317 événements pertinents signalés par 138 personnes, 135 ont été qualifiés d’« inefficacité du médicament », 53 de dyspnée (difficulté à respirer), 23 de pneumonie Covid-19, 8 d’insuffisance respiratoire et 7 de convulsions.

Pfizer a également admis que 75 des 101 sujets dont la présence de Covid-19 a été confirmée après la vaccination, ont été atteints d’une maladie grave ayant entraîné une hospitalisation, une invalidité, des conséquences mettant leur vie en danger ou la mort.

Mais Pfizer a tout de même conclu définitivement, dans les données de sécurité qu’elle a soumises à la Food and Drug Administration, les données mêmes qui étaient nécessaires pour obtenir l’autorisation d’utilisation d’urgence et lui rapporter des milliards et des milliards de dollars, qu’« aucun des 75 cas ne pouvait être considéré définitivement comme un VAED ».

Puis Pfizer a ensuite déclaré que, sur la base des preuves actuelles, le VAED reste un risque théorique.

Au moment de la rédaction de ce rapport, en avril 2021, Pfizer affirmait que son injection de Covid-19 était efficace à 95 % pour prévenir les infections. Comme nous l’avons démontré, ce n’est clairement pas le cas, et les données officielles du gouvernement montrent que les vaccins ont en fait une efficacité négative.

Cependant, si Pfizer a affirmé cela à l’époque et a obtenu une autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA en raison de cette affirmation, comment diable n’ont-ils pas pu conclure définitivement que le VAED était à blâmer lorsque 75 % des cas qui leur ont été rapportés étaient des maladies graves entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences mettant la vie en danger ou la mort ?

D’autres éléments du document confidentiel montrent également que la FDA et Pfizer savaient que l’injection de Covid-19 avait tué au moins 12 personnes ayant développé une maladie auto-immune, en février 2021. Cela ne signifie pas qu’il s’agit des seules personnes décédées des suites d’une maladie auto-immune provoquée par les injections, mais seulement de celles qui ont été officiellement signalées à Pfizer au cours des deux premiers mois du déploiement du vaccin.

Nous disposons également d’autres données sur les cas de Covid-19 signalés à Pfizer à la suite de la vaccination dans le document confidentiel.

Pfizer affirme avoir reçu 3 067 rapports de cas jusqu’au 28 février 21, dont 1 013 ont été confirmés médicalement. Au moment de leur rapport, 547 n’étaient pas résolus, 558 l’étaient, tandis que 136 se sont avérés mortels. Sur les cas médicalement confirmés, cela équivaut à un taux de mortalité de 13,4 %.

Pfizer a conclu que « cet examen des cas cumulés ne soulève pas de nouveaux problèmes de sécurité ». Comment diable ont-ils pu conclure cela alors que le taux de mortalité moyen avant l’introduction du vaccin Covid-19 dans la population était de 0,2% ?

Ces données confidentielles prouvent que les injections de Covid-19 n’auraient jamais dû recevoir l’autorisation d’utilisation d’urgence, et auraient dû être retirées de la distribution par la FDA dès qu’elle a vu ces chiffres.

Mais la FDA n’a pas agi, et c’est précisément la raison pour laquelle l’Agence britannique de sécurité sanitaire a choisi d’exclure les taux d’hospitalisation et de décès pour 100 000 personnes doublement vaccinées de ses rapports de surveillance des vaccins au début de l’année. Car il aurait fallu qu’elle confirme officiellement que les injections de Covid-19 provoquent une facilitation de l’infection par les anticorps.

Sources/References :

Traduit par Wayan pour le Saker Francophone.

 

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