La nouvelle aurait pu faire l’effet d’une bombe mais elle est passée relativement inaperçue. Un article publié dans la revue scientifique Journal of Materials Chemistry B en février 2022 révèle l’utilité de nano matériaux métalliques et d’oxyde de graphène dans les vaccins contre Covid. Toute la presse subventionnée avait dénoncé cette fausse information « complotiste ».
Seul l’accès au résumé de l’article est publiquement disponible, l’article complet doit être demandé à l’auteur. Dans le contexte que nous vivons depuis plus d’un an et la campagne mondiale de dénigration contre les scientifiques qui ont affirmé que les vaccins Covid regorgeaient de graphène et d’oxyde de graphène, les allégations du Pr Alphandéry sont choquantes.
Graphène et nanotubes de carbone comme adjuvant dans les vaccins
Dans un article intitulé Nano dimensions/adjuvants in COVID-19 vaccines, on apprend que « les vaccins proposés (sur le marché) contiennent plusieurs principes actifs vaccinaux différents (VAP), tels que le virus inactivé, l’antigène, l’ARNm et l’ADN, qui sont associés à des adjuvants standard ou à des nanomatériaux (NM) […] composés par exemple d’oxyde de graphène, de nanotubes de carbone, de micelles, d’exosomes, de vésicules membranaires, de polymères ou de NM (nanomatériaux) métalliques, en s’inspirant des nano-vaccins anticancéreux, dont les adjuvants peuvent partager certaines de leurs propriétés avec celles des vaccins viraux ».
Mais alors le professeur Alphandery viendrait apporter une information selon laquelle l’ANSM -comme elle l’indique elle-même – permet « de garantir au mieux la qualité, la sécurité et l’efficacité de leur utilisation (vaccins contre le Covid) ». Il n’est pourtant nulle part mentionné que les vaccins contre Covid contiennent de l’oxyde de graphène, pas davantage dans la composition des vaccins mentionnée par les fabricants que sont Moderna, Pfizer BioNtech, Johnson & Johnson et AstraZeneca. L’ANSM aurait-elle menti par omission ?
Le Pr Alphandéry est conseiller scientifique de la Start Up Nanobactérie. « Créée en 2008, elle est leader mondial dans le domaine des applications médicales des nanoparticules magnétiques synthétisées par les bactéries magnétotactiques, appelées les magnétosomes ». Ah, des nanoparticules magnétiques ? Ne pourraient-elles pas être à l’origine d’une réaction magnétique avec des vidéos montrant des pièces, des fourchettes et même des téléphones portables aimantés au point d’inoculation ? Le fact-checking nous dit pourtant que c’est un montage et qu’il n’y a pas de magnétisme.
A l’été 2021, les japonais ont retourné 1,6 millions de sérums anti Covid Moderna à cause de particules métalliques trouvées dans ces produits. Surement les japonais n’étaient-ils pas davantage informés de la composition des vaccins. Merci donc au Pr Alphandéry de nous avoir donné quelques confirmations – même si nous n’en avions plus besoin – puisque les vaccinations ont eu lieu sans le consentement libre et éclairé des patients. Ce qui est normal dans une dictature mais pas dans une démocratie.
Une confirmation de ce que de nombreux scientifiques et spécialistes ont dénoncé
Cet article valide de nombreux éléments assénés depuis plusieurs mois, voire plus d’une année :
- Il existe un vide juridique sur l’obligation pour l’industrie pharmaceutique de déclarer des nanomatériaux et nanotechnologies dans les produits médicaux,
- L’absence de législation dans ce domaine depuis plus de 20 ans est sans aucun doute entretenu par le lobbying pharmaceutique auprès des autorités nationales et internationales de régulation sanitaire. La complaisance entretenue par ces autorités à l’endroit de l’industrie pharmaceutique et au détriment des populations est un fait avéré, il suffit de lister les condamnations de l’ANSM et de son prédécesseur l’AFFSAPS, elle-même créé pour éviter des affaires comme celle du sang contaminé avec le VIH/sida. Les actions en justice sont quasi systématiquement déboutées, faisant de l’Etat un adversaire potentiel du droit, de la justice et des citoyens.
- Le déni continue d’être entretenu par les services de l’Etat et par la presse subventionnée qui ne révèle pas ce scandale.
- Le graphène et l’oxyde de graphène sont de puissants neurotoxiques et affectent le métabolisme chez l’animal et l’homme comme démontré dans la soixantaine de publications scientifiques listée dans le dossier intitulé « De l’oxyde de graphène dans la composition des vaccins Covid».
Le Pr Alphandery aurait-il fait une boulette en publiant cet article ? S’est-il seulement rendu compte de ce qu’il dévoilait ? Sera-t-il publiquement traité de « complotiste » pour sauver la face et maintenir le postulat de la presse subventionnée : « Non, il n’y a pas d’oxyde de graphène dans le vaccin Pfizer contre le Covid-19 ». Ni dans les autres bien entendu.
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