Guerres d’experts, boycott de traitements efficaces en faveur de traitements inutiles et nocifs, médecins poursuivis et suspendus, malades non soignés, vaccin potentiellement dangereux… La « plandémie » a terni l’image du système de soins et des soignants eux-mêmes.
Entre les médecins frileux à prescrire hors des clous, les soignants mis au chômage forcé pour refus de se faire administrer un « vaccin » dont ils nient l’efficacité, les burnouts du personnel hospitalier, les meilleurs praticiens qui partent en retraite sans être remplacés (ou alors par des petits jeunes formatés par les lobbies dès les bancs de la Fac) et les médecins soudoyés par les laboratoires pour s’enrichir au détriment des patients, le choix est cornélien. De plus en plus d’usagers du système de santé préfèrent se soigner seuls ou se tourner vers les médecines alternatives.
Les nouvelles révélations sur la composition délétère des « vaccins » contre le Covid ainsi que les trop nombreux témoignages sur les effets secondaires qu’ils entraînent poussent même certains à accuser des médecins de complices de genocide et de criminels. « On a tué les seniors au Rivotril, les survivants serviront de cobayes aux vaccins ». Cette confession de Alain Houpert médecin et sénateur postée sur Twitter en décembre 2020 incite à la prise de conscience. Et si on nous voulait réellement du mal ? Les dénégations univoques de la « Pravda » ne convainquent plus personne : on ne veut plus se faire hospitaliser pour le Covid, de peur de ressortir les pieds devants…
La fin des « dieux en blouse blanche »
Les années Covid auront été révélatrices d’une tendance qui s’est installée depuis la crise du Mediator et qui a aggravé brutalement la perte de confiance déjà ébranlée par les « scandales » du sang contaminé et des hypophyses infectées par le prion dans les années ’80 et ’90. Nos contemporains n’ont plus confiance dans l’industrie pharmaceutique, dans les jugements d’experts, qui peuvent être achetés.
Les autorités de santé ? Cette nébuleuse opaque inspire la méfiance. Le médicament lui-même et sa prescription font dresser un sourcil suspicieux. La chaîne de soin se voit ainsi dénoncée, vilipendée. Le temps où le médecin était considéré comme infaillible semble bel et bien révolu. « D’accord, nous entrons dans le Monde d’Après », semble se dire l’homme de la rue. « Mais ce sera sans la médecine classique. Nous nous soignerons autrement« .
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