30 mars 2022

Les vaccins contre Covid détériorent le système immunitaire et provoquent un syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA)

Il y a presque deux mois, nous évoquions dans un article la possibilité que les triples vaccinés puissent développer un Sida à partir d’une analyse de données réalisée sur les rapports de l’UKHSA au Royaume-Uni (United Kingdom Health Security Agency) sur une période du 16 août 2021 au 2 janvier 2022. Si à partir des données disponibles et présentées, on constatait que les vaccinés étaient plus à risque que les non vaccinés face au Sars-cov 2, ou encore que les vaccins affaiblissaient l’efficacité du système immunitaire, il restait cependant des informations manquantes pour affirmer que les triples vaccinés développaient un Sida.

Les données de février-mars 2022 présentée par l'Agence britannique de sécurité sanitaire montrent une dégradation alarmante du système immunitaire pour les personnes ayant reçu des rappels de vaccin contre le Covid. Cette détérioration affecte surtout les personnes les plus jeunes. Un autre médecin, une américaine cette fois, constate également que les patients qui ont reçu les vaccins contre Covid développent un Sida. Elle tire la sonnette d’alarme et s’inquiète de ce qui va advenir dans les semaines et les mois à venir. Enquête sur un phénomène que nous avions signalé et traité avec prudence en février 2022.

La dégradation du système immunitaire des triples vaccinés se confirme

The expose présente un nouvel article en mars 2022 qui fait état d’une dégradation du système immunitaire chez les triples vaccinés à partir des informations issues du rapport UKHSA du 22 mars 2022, soit de la semaine 6 à la semaine 9 de 2022 et d’autres rapports antérieurs.

Si les rapports de l’UKHSA suivent toujours l’évolution des cas de Covid notifiés par tranche d’âge et par catégorie vaccinés/non vaccinés, ils offrent aussi l’avantage d’indiquer le nombre de vaccins/rappels administrés (1, 2 ou 3 doses). En revanche on ne connait pas les dates de vaccination chez les personnes vaccinées pour estimer notamment les périodes de baisse d’efficacité des vaccins. Cependant, des études scientifiques d’efficacité des vaccins réalisées par ailleurs montrent la baisse d’efficacité dès le 3ème mois après vaccination et une chute importante après 5 mois. Ce sont ces études qui justifient notamment les fortes incitations à se faire vacciner 2 à 3 fois par an. Ce qui n’est évidemment pas la solution face à des produits inefficaces dont les effets indésirables auraient du suffire à les interdire depuis longtemps.

Il ne s’agit pas non plus du suivi d’une cohorte de personnes vaccinées versus une cohorte de personnes non vaccinées (étude cas-témoins) qui permettrait de vérifier les évolutions en continu. L’approche consiste seulement à catégoriser les personnes ayant fait un Covid : vaccinés versus non vaccinés, et parmi les vaccinés combien de doses ont-elles été administrées ? Malgré les biais d’interprétation de ces données, on retiendra que l’immunité des triples vaccinés chute drastiquement face au Sars-Cov 2, plus rapidement que les doubles vaccinés ou les simples vaccinés (il manque cependant l’analyse par tranche d’âge, les facteurs de comorbidités et d’autres facteurs qui permettraient de faire des comparaisons ajustées). Pour faire un travail de comparaison, il faudrait ramener ces données aux proportions de vaccinés et de non vaccinés dans le pays. De même, il serait nécessaire, parmi les vaccinés, de ramener ces chiffres à la proportion des personnes ayant reçu une dose, deux doses et trois doses.

Cependant, on peut s’étonner de deux choses :

  1. Que les vaccins ne protègent pas les personnes vaccinées alors que l’argument contraire continue d’être annoncé officiellement au Royaume-Uni et ailleurs.
  2. Que la protection des vaccinés ne retombe pas à un seuil de protection équivalent aux non vaccinés, mais à des seuils bien en-dessous, montrant que l’immunité naturelle a été affectée par la vaccination.

C’est ce second point qui nous intéresse particulièrement ici (le premier étant connu depuis de nombreux mois déjà). Même si les données de l’UKHSA ne permettent pas de mesurer l’efficacité des vaccins, elles abordent la performance du système immunitaire des vaccinés et celle du système immunitaire des non vaccinés. Je n’utilise pas le terme « comparer » car il faudrait ramener les chiffres à la proportion des vaccinés et des non vaccinés dans le pays comme indiqué précédemment.

Les vaccins provoquent-ils un sida comme l’affirme les auteurs ?

Si, à travers les rapports de l’UKHSA, on peut suspecter une atteinte au système immunitaire chez les triples vaccinés et dans une moindre mesure les doubles vaccinés, le syndrome d’immunodéficience acquise n’est pas vraiment démontré. Cependant, d’autres recherches viennent confirmer cette hypothèse.

Le virologue Geert Vanden Bossche avait déjà tiré la sonnette d’alarme sur le risque d’altération majeure du système immunitaire et plus particulièrement de l’immunité innée, en choisissant de cibler une immunité spécifique avec des produits expérimentaux et potentiellement dangereux.

Au cours une émission américaine, le Dr Eads qui suit et traite les pathologies post vaccinatoires témoigne de son expérience clinique. Elle dénonce l’apparition de cas de Sida qui seraient provoqués par la vaccination : « Oui, nous voyons maintenant à l’hôpital une immunodéficience acquise liée au vaccin à partir du triple vaccin. . . C’est une blessure vaccinale, et nous ne savons pas vraiment comment traiter cela ». Comme pour les personnes atteintes du VIH/sida, elle constate un effondrement des CD4 et des CD8 qui jouent un rôle fondamental dans le système immunitaire. Cet effondrement est la porte ouverte à l’apparition de diverses pathologies comme les cancers. Elle rapporte d’ailleurs que le génome du Sars-cov 2 présente une combinaison du génome du VIH, du MERS et du SRARS.

Le virus du sida fait partie de la famille des lentivirus. Il s’agit d’un virus possédant un génome sous forme d’ARN, contenu dans une capside protéique, elle-même entourée par une enveloppe formée d’une membrane lipidique. Nous avions évoqué dans un précédent article comment les vaccins modifient le génome humain par un phénomène de transcriptase inverse, mécanisme par ailleurs propre au VIH.

Le 9 décembre 2021, la chaine NBC évoquait les recherches de l’université de Stanford qui s’intéresse aux liens entre Omicron et VIH. « Omicron a évolué plus rapidement et présente plus de mutations, car il provient probablement d’une personne dont le système immunitaire est compromis, probablement une personne vivant avec le VIH. Le Dr Hoffman a rapporté des preuves similaires […]

Le Dr Hoffman dit que la patiente séropositive est un exemple de la façon dont une personne avec un système immunitaire déjà affaibli pourrait propager rapidement la mutation si elle n’a pas été isolée. Elle affirme aussi que La lutte contre la pandémie de VIH pourrait être la clé pour résoudre la pandémie de Covid […].

Ces commentaires confirment donc les travaux du Pr Luc Montagnier au tout début de l’année 2021, selon lesquels la sélection exercée par des sérums de convalescents entraîne l’apparition de variants. Ils confirment également une autre déclaration du Pr Montagnier qui affirmait dès 2020 que le virus était fabriqué en laboratoire à partir du VIH, ce que le Pr Tritto confirmait également dans un ouvrage intitulé « L’origine du virus ».

Ce qui me fait conclure que le vaccin n’a pas été élaboré pour faire face au Sars-Cov 2 mais que le virus a été créé et propagé pour vacciner les populations, détruire leur immunité. Il ne s’agit plus de croire à une zoonose inventée de toutes pièces mais de mettre en lumière la méchanceté de ceux qui ont organisé et financé ces recherches pendant des décennies pour les retourner contre l’homme. Ils n’ont rien à envier aux génocidaires du XXème siècle.

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