L'ERREUR DE BRIGITTE MACRON D'ALLER A LA 17e CHAMBRE

Natacha Rey (de son vrai prénom Nathalie) qui avait accordé une interview sur le thème "Brigitte Macron est Jean-Michel" à la voyante Amandine Roy (de son vrai nom Delphine Jegousse) ont (les deux) reçu la visite d'un huissier qui leur a remis une convocation à la fameuse 17e chambre de Paris pour le 15 juin 2022.

Brigitte Macron est passée, si j'ose dire, à l'acte !

Mais pas pour Xavier Poussard, rédacteur en chef de Faits & Documents et véritable auteur / artisan de l'enquête Brigitte, qui n'a eu éventuellement qu'un seul tort, celui d'avoir croisé le chemin de Natacha-Nathalie Rey et de l'avoir citée dans son enquête.

Grave erreur, puisque cela a permis a la Miss Rey de se présenter pendant un court laps de temps comme journaliste à F&D avant que Xavier Poussard ne mette le "ho là"...

Désespérée de ne pas avoir le titre de "journaliste" et/ou de ne pas être prise au sérieux par un média, Miss Rey s'est donc offert une Carte de Presse pour se remonter le moral, d'une entité bidon, le IFNM, moyennant la somme de 90 euros et 50 centimes et continue à expliquer (il faut oser) que son "enquête" lui a été volée par Xavier Poussard, ce qui n'est pas très gentil.

Natacha n'a pas cru utile de mettre son vrai prénom sur sa fausse carte de presse, ni la mention pigiste ou le média qui va en général avec.

A titre indicatif, c'est F&D qui a publié dernièrement l'enquête la plus aboutie sur le "Pacte de Corruption" qui a permis à Emmanuel Macron et Valérie Pécresse de vendre, entre autres, Alsthom aux Américains avec l'appui logistique et chantages de la CIA... et qui sert aujourd'hui de base à toute la presse parisienne bien informée.

Natacha - Nathalie, ce n'est pas la même catégorie que le tour de taille de Brigitte ou de son "sillon inter-mammaire" surtout quand on brandit une carte de presse avec un faux nom.

Et, après, ne pas s'étonner que les médias se tiennent à distance! (Il semble quand même que Denis Robert ait montré un intérêt solide pour Natacha).

Notons au crédit de Miss Rey que grâce à sa folie (ou à son impatience pour obtenir ses 15 minutes de célébrité), que l'affaire Jean-Michel Trogneux a véritablement fait un carton (plus de 500.000 vues sur Youtube) et a parcouru plusieurs fois le tour du monde en télé, radio et presse écrite y compris en tamoul.

Brigitte Macron vs Nathalie-Natacha Rey et Delphine Jegousse

Je me demande même si les Talibans en avaient parlé sur leurs chaînes islamistes, les trans ayant un très grand succès dans les pays musulmans.

Conséquence (délicieuse il est vrai pour une grande partie des Français) Mme Macron ne peut désormais plus mettre un escarpin Prada dehors sans entendre des gueux et des manants hurler "Jean-Michel"... Ça fait désordre pour une première dame, il est vrai sosie sympathique de Patrick Juvet.

Autant pour son opération pièces jaunes, obligée de faire venir des vieilles stars sportives afin d'obtenir quelques médias tout en étant entourée d'un service de protection démesuré. Et c'est sans aucun doute sur un coup de colère qu'elle a décidé de se venger de ces deux pauvresses, et de les assécher financièrement par le biais de son avocat, Maître Enocchi.

Ce en quoi le tandem Macron - Enocchi commet une grave erreur, puisque cette fois l'identité transsexuelle de Brigitte Macron sera forcément jetée en pâture de manière publique, médiatique, officielle, même si la plainte ne porte pas vraiment sur l'accusation d'être un/une (?) travesti, mais pour... droit à l'image ou atteinte à l'image, etc.

Ce qui indirectement valide l'accusation de Nathalie Rey et de sa voyante, qui, pour le coup, et si elles ont un bon avocat, peut se retourner totalement contre la famille Trogneux, qui s'est regroupée pour la plainte (ça permet de réaliser des sérieuses économies d'avocats).

Initialement c'est la France Insoumise qui avait fait circuler cette image avec Votez Melenchon, et qui a été modifiée par les partisans de Zemmour.

Prenez un cas inverse: l'auteur Bernard Werber a été attaqué au tribunal par un cinglé qui l'a accusé 20 ans après la publication du livre "Les Fourmis" d'être le véritable auteur de l'ouvrage. Le procès n'a pas duré très longtemps comme vous pouvez l'imaginer, et l'imposteur immédiatement démasqué: il n'avait jamais écrit quoi que ce soit, mais se l'était approprié dans un délire pas "très mince". Les preuves de Bernard Werber étaient solides comme le roc.

Ici non seulement le doute public subsiste sur la nature même de Brigitte Macron (que toute la France a appelée Patrick Juvet lorsqu'elle l'a vue la première fois), mais en plus l'avocat tente d'aiguiller le procès sur l'atteinte à la vie publique ce qui sera très dur à défendre, sauf avec une éventuelle complicité bienveillante de juges.

En effet, imaginez si le tribunal ou les avocats demandent une... expertise médicale sur l'identité sexuelle de Brigitte Macron ???? D'où la 17e chambre...

Dans tous les cas de figure, et quel que soit le verdict du tribunal, c'est d'ores et déjà un procès perdu -ne serait-ce qu'en termes d'image publique- pour Brigitte Macron et les Trogneux, l'affaire Jean-Michel collant à son visage comme le sparadrap à l'épaule du Capitaine Haddock.

De toute manière, vu que les deux femmes ne doivent pas rouler sur l'or, ni même l'aluminium (vu les cours actuels :-), la famille Trogneux a déjà perdu sur tous les plans: il ne fallait pas leur faire un procès puisque cela revient à remettre une dizaine de pièces de plus dans le juke-box infernal de "l'effet Streisand".

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