20 février 2022

Il n'a pas été forcé, n'est ce pas ?

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Après avoir vu un de mes oncles déclarer un syndrome de Guillain-Barré à sa troisième dose, j’étais déjà inquiet. Il s'en est sorti avec difficulté et une mauvaise période pour lui et nous. Trois semaines de soins intensifs à l'hôpital, au prix d’un traitement supérieur à 300.000 euros. Ce n’est pas le « quoi qu’il en coûte » auquel je pensais.

Mais ce samedi, c'est avec une profonde tristesse que je vais enterrer un de mes cousins.

Son cœur s'est soudainement arrêté jeudi de la semaine précédente après un de ses footings réguliers. Sans raison apparente, sans infarctus, les artères propres, sans raisons que les médecins puissent avancer, sinon que c'était quatre semaines après sa deuxième dose de "vaccin".

 Il ne voulait pas se faire vacciner. Il faisait attention à son alimentation, pas d’excès, du sport régulièrement.

Les médecins ont constaté que son corps de 60 ans était en pleine forme. Prêt à vivre les trente années suivantes.

Dans son cas, la relation avec le "vaccin" est probable. La myocardite, la péricardite sont déjà listées parmi les effets indésirables de ce produit.

 Il s'est fait vacciner pour avoir le "droit" d’aller à ses cours de musique : c'était toute sa vie.

 Il n'a pas été forcé, n'est ce pas ? 

Quand j'ai cherché le téléphone de son épouse pour participer aux obsèques, j'ai trouvé son dernier message de juillet, qu’il m’avait envoyé en utilisant son compte à elle :

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Qui a dit : « nous sommes en guerre » ?

Voici les blessés et les morts, tombés par le remède censé nous protéger.

Jean-Christophe Ordonneau

Source

 

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