Tout d’abord pardonnez-moi une nouvelle absence, même si je vous l’assure, celle-là n’avait rien de prémédité. Figurez-vous que j’ai chopé le covid (une version rustique, hein, du velu, méchant comme une teigne), et comme les emmerdements arrivent rarement seuls, je me suis mangé en même temps une pneumonie, et pour faire court, j’ai failli vous planter là en rase campagne. Bref, depuis, je remonte doucement la pente et chaque jour qui passe, je me sens mieux que le précédent.
Mais figurez-vous que de passer près, tout près de la mort a le don de nous faire changer radicalement. Je veux dire qu’on retrouve par la force des choses le sens des priorités, et une forme d’optimisme aussi, que je voudrais vous faire partager.
Tout d’abord je tiens à vous souhaiter à tous d’excellentes fêtes, et notamment le réveillon de fin d’année. Donnons tort aux psychopathes qui nous dirigent et voudraient nous voir terrorisés, chacun dans notre coin. Au contraire, célébrons en famille, dans la joie, et tordons le cou à ces peurs irraisonnées entretenues par les médiamenteurs.
Quand je parle d’essentiel, et finalement de philosophie de vie apte à développer en nous l’esprit de résistance, c’est d’abord réaliser la vanité de beaucoup de nos réactions, qui bien souvent nous amènent à concevoir une haine viscérale des gens qui nous manipulent depuis deux ans, et alors même que vous ne pouvez exprimer cette violence, celle-ci se retourne contre vous et vous ronge de l’intérieur.
Prenons quelques exemples :
- Nous savons tous aujourd’hui que le covid n’a pas vraiment tué plus que la grippe, et en majorité des personnes très âgées, percluses de comorbidités, ce qui n’empêche pas les médias de prétendre le contraire. Savoir cela et voir que dans les faits le monde se comporte exactement comme si cette réalité n’existait pas est de nature à nous rendre malades de rage. Injustice et mensonge à tous les étages.
- De même on sait aujourd’hui qu’au plus fort de l’épidémie (2020), en réalité, le taux d’occupation des hôpitaux de France par des patients covid n’a été que de 2%, et 5% si l’on ne regarde que les patients en réanimation.
- En dépit d’un nombre d’effets secondaires toujours plus effrayant, on veut maintenant vacciner les enfants dès l’âge de 5 ans. Quand une société est malade au point de s’en prendre à ses propres enfants, il y a lieu de s’interroger sur la santé mentale des gens à la base de ces décisions. Personnellement, je pense qu’ils ne sont pas fous, mais que ce sont des criminels sans âme, et ce n’est pas vraiment plus rassurant.
Il vous faudra, tout comme moi, réaliser que désormais, la réalité et les données factuelles ne comptent plus, seule compte l’hyperréalité, soit la narration qui nous est servie par la propagande au service du pouvoir. Dès lors, lutter contre les moulins à la façon de Don Quichotte est stupide, et vain. Pour devenir vecteur de changement, vous devez être vous même fort(e), maîtriser vos peurs, vos angoisses et votre rage bien naturelle. Vous devez devenir durs comme le silex à l’extérieur, et humains comme jamais à l’intérieur.
Prenez la peine de parler avec tout ceux que vous rencontrerez, vous serez surpris de voir à quel point ils seront sensibles à un discours vrai, venant directement du coeur, parce que celui-là ne peut être analysé sous le prisme d’arguments spécieux.
Appliquez désormais le principe que moi j’ai appelé « le ravi de la crèche ». Vous savez, ce santon issu de la tradition provençale qui, dans la crèche, placé un peu en retrait, admire le petit Jésus qui vient de naître et s’en réjouit, alors qu’il n’a pas de rôle particulier dans l’histoire. Il est juste content, certain le diront simple, moi je préfère le voir simplement heureux.
Ainsi vous n’avez pas à monter au front pour chacune des inepties que l’on pourrait vous raconter (et Dieu sait que ça arrive souvent). Si l’on vous prétend que le ciel est vert émeraude et l’herbe d’un magnifique bleu roi, vous savez pour sûr que c’est ridicule, pourquoi dès lors vous en soucier? Faites un petit sourire, et passez à autre chose. N’alimentez pas le conflit, laissez les arguments vénéneux glisser sur la cuirasse de votre indifférence.
Vous allez me dire, mais quel rapport avec la résistance? Eh bien c’est simple, la résistance, c’est d’abord une opposition pacifique mais extrêmement ferme à la tyrannie. Et si l’on peut tuer les gens, souvenez-vous que l’on ne peut tuer les idées. Sachez aussi que de tout temps, les changements radicaux n’ont pas été le fait des masses, mais bien de petites minorités déterminées, ainsi que l’a théorisé Annah Arendt.
Usez aussi de la technique dite « défense du dernier pré carré » : 99% de ce que racontent les médias à propos de l’obligation vaccinale n’est rien d’autre qu’un tissu de bobard, un énorme bluff, et c’est à qui se déballonnera le premier. Soyez de ceux qui refusent cette partie de poker menteur et attendez-les dans le domaine du concret, là où leur bluff ne prend plus. Ainsi, si vous avez par exemple une obligation de votre employeur (elle-même issue d’une directive gouvernementale) de vous faire vacciner sous peine de mise à pied ou je-ne-sais quoi, exigez d’avoir cette mise en demeure par écrit, signée de votre hiérarchie. Ensuite, usant du même moyen, signifiez à votre employeur que vous refusez cette obligation. Il sera alors placé devant un dilemme de taille : c’est lui qui prendra la responsabilité d’une mesure d’écartement parfaitement illégale, et devant les prudhommes, il se fera mettre en pièces. À aucun moment vous n’aurez porté le fer, et vous laissez l’ennemi se placer tout seul dans la nasse avant de la refermer.
La résistance, c’est d’abord un choix, une philosophie de vie. Vous vous pensez seul(e) ou isolé(e)? Détrompez-vous, nous sommes légion, peut-être que tous nous n’avons pas suivi le même chemin ni réalisé les mêmes choses, pourtant nous partageons largement le même idéal.
Un dernier mot pour la route… Dans l’histoire humaine, aucune tyrannie n’a fait long feu, mais dans le cas qui nous occupe, on parle bien d’une tyrannie qui ne trouve plus aucune racine dans le monde réel, c’est totalement hors-sol, insensé, et à ce titre, d’une fragilité inouïe. Cette monstruosité n’a aucun avenir.
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