08 janvier 2022

Nous ne sommes pas seuls : la révolte des sociétés contre les bureaucraties sanitaires est mondiale !

Lundi 4 janvier, Emmanuel Macron a déclaré la guerre à une partie de la société française. Une guerre civile qui prend essentiellement une forme de pression psychologique et de contrainte administrative. Samedi 8 janvier, les manifestants seront nombreux dans les rues de France, prêts à répondre de manière pacifique - comme les sociétés d'Europe Centrale, dans les années 1980, quand elles affrontèrent sans violence les pouvoirs en place de l'autre côté du rideau de fer. L'inspiration, nous ne la trouverons pas seulement chez les Polonais, les Hongrois ou les Tchèques d'il y a une génération, mais aussi chez tous les mouvements similaires qui ont commencé, dans le monde, pour s'opposer, au sein de chaque nation, à la bureaucratie sanitaire et à ses oukases. En Italie, en Grande-Bretagne, en Serbie, en Israël, En Allemagne, en Autriche, en Australie, partout les sociétés se soulèvent. Prendrons-nous conscience de la force que peut avoir ce début de révolution pacifique mondiale pour la liberté et la dignité des personnes ?

“Nous sommes le peuple” – Wir sind das Volk! – criaient les manifestants de RDA à l’automne 1989. Et tel est bien le cri que peuvent reprendre les Français blessés dans leur dignité par les propos d’Emmanuel Macron. Lequel a d’ailleurs revendiqué ses propres propos lors d’une conférence de presse commune avec ursula von der Leyen, le vendredi 7 janvier. 

L’occupant de l’Elysée a déclaré la guerre à une partie de la société française. “Nous sommes en guerre” expliquait-il au printemps 2020. Dix-huit mois plus tard, Macron a expliqué, enfin, contre qui il est en guerre: non pas contre le virus; ni contre la bureaucratie qui n’a cessé de proliférer tout en supprimant des lits à l’hôpital, depuis quinze ans; mais contre cinq millions de Français, qui respectent les Principes du Droit et considèrent légitimement qu’aucun pouvoir ne peut nous forcer à nous laisser administrer un traitement expérimental. 

Demain 8 janvier, nombreux seront les manifestants dans les rues des villes de France. A Paris, on voit des cortèges habituellement séparés annoncer qu’ils convergeront – pour la manifestation partant du Palais Royal. 

Evidemment, on peut craindre des provocations, des manipulations, pour essayer de créer des incidents violents. Des appels à la lucidité et au refus de toute provocation s’échangent sur les réseaux sociaux. 

Les manifestants français feront bien de se souvenir du grand soulèvement pacifique qui s’est emparé de toute l’Europe centrale il y a trente cinq ans. Outre les Allemands de l’Est, les Polonais, les Hongrois, les Tchèques et les autres peuples de la région ont démontré qu’il était possible de réaliser des révolutions pacifiques. 1989 est devenu une alternative à 1789 ou 1917, révolutions violentes. 

L’important est de comprendre qu’il s’agit bien d’une révolution. Et que les Français qui se sont levés pour défendre leur liberté depuis juillet 2021 ne sont pas seuls. 

Le soulèvement des sociétés est mondial et il commence à porter des fruits

Dans beaucoup de villes du monde, on marche tous les samedis depuis des mois pour dénoncer la dictature sanitaire. C’est un phénomène qui ne se limite pas aux capitales. En Italie, en Allemagne, en France, par exemple, on manifeste dans de nombreuses villes car le sentiment qui domine est celui d’une dépossession des libertés locales par une bureaucratie à la fois nationale et branchée sur les autres bureaucraties à travers le monde, nationales ou internationales. 

Mais ce dont il faut se rendre compte, c’est que le soulèvement commence à porter des fruits: 

+ en Israël, l’Etat commence à sérieusement hésiter sur la quatrième dose. Les manifestants ne sont que la face émergée d’un mouvement plus profond de rejet, dans la société, de la vaccination généralisée: moins de 50% des Israéliens se sont laissés injecter la troisième dose. Et les langues commencent à se délier sur les effets secondaires

+ En Allemagne, la Bild-Zeitung disait hier 6 janvier que le gouvernement Scholz n’était plus du tout sûr d’introduire la discussion sur la vaccination obligatoire au Parlement en février 2022. Cela fait que des semaines que, bravant l’interdiction de manifester des gouvernements des Länder, des “promeneurs” se rassemblent pour dénoncer la politique sanitaire. La police est intervenue violemment contre eux à plusieurs endroits. mais le gouvernement Scholz voit de moins en moins comment il pourra imposer la vaccination obligatoire si Omicron se révèle peu dangereux. 

+ On apprend que le gouvernement autrichien a repoussé jusqu’en avril la vaccination obligatoire – “pour des raisons techniques”.  Selon une des mes sources en Autriche, le gouvernement sait parfaitement que les menaces de grève sont réelles dans un certain nombre de secteur et que “des dizaines de milliers de plaintes seraient déposées en Autriche auprès de la Coour Constitutionnelle” en cas de vote d’une loi sur la vaccination obligatoire. 

+ en Grande-Bretagne, la pression du parti conservateur sur Boris Johnson s’accroit pour le dissuader de garder des mesures sanitaires contraignantes.  

Evidemment, le système technocratique qui impose la vaccination et voudrait la rendre obligatoire est prêt à monter en violence. La manière dont le gouvernement australien a annulé le visa de Novak Djokovic montre comment la gouvernance mondialiste sera difficile à vaincre. Cependant, en agissant ainsi, le gouvernement australien transforme Djokovic en symbole de la lutte pour la liberté. Et le n°1 du tennis mondial a désormais toute sa nation, la Serbie, derrière lui. Des Serbes vivant en Australie sont allés manifester aujourd’hui devant la résidence où il est en quarantaine. 

Tout ces exemples – et il y en a des dizaines d’autres – montrent que la lutte paie. Dans le cas français, beaucoup de commentateurs insistent sur la détermination d’Emmanuel Macron. Cependant on peut aussi interpréter le comportement de l’occupant de l’Elysée, celui de Jean Castex et celui d’Olivier Véran, la semaine du 4 janvier, lors du débat à l’Assemblée Nationale, comme l’expression d’une inquiétude croissante. Emmanuel Macron parle avec mépris de 5 millions de personnes. Mais sait pertinemment que les Français non vaccinés vont devenir de plus en plus nombreux car un rejet croissant de la troisième dose se met en place. Les effets secondaires sont de plus en plus discutés au sein de la société et que la troisième dose est déjà partiellement rejetée, comme en Israël. 

Comme en israël, les manifestations ne sont qu’un aspect d’un mécontentement multiforme de la société qui s’exprime sur les réseaux sociaux ou au comptoir des pharmacies, lorsque des pharmaciens effarés par le nombre et la gravité des effets secondaires des vaccins commencent à parler librement. 

Les peuples doivent accélérer leur prise de conscience: le soulèvement est mondial; et partout, même s’ils sont minoritaires, les non-vaccinés et les manifestants aident à une prise de conscience progressive et qui deviendra de plus en plus générale. 

Il est temps de balayer la caste des technocrates et  l’Internationale de la peur. Emmanuel Macron a continué à provoquer, ce 7 janvier, en invoquant l’Europe: “Il y a un mouvement partout en Europe sur les contraintes de la vie sociale contre les non-vaccinés”. Eh bien, la lutte est européenne, cher emm… public n°1 !  Elle est en fait mondiale. Quand la “superclasse” que vous servez tel un portier du Grand Hôtel de Davos, sera défaite, vous serez jeté aux oubliettes de l’histoire, impitoyable pour tous les Picrocholes de votre espèce. .  

Renversons la tyrannie ! Faisons le pacifiquement, comme les Européens de 1989. Partout, la résistance s’organise selon des schémas similaires. Et la lutte devient mondiale.  Laissons pour finir la parole au père de Novak Djokovic: 

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