25 janvier 2022

Ironie : les Français se font tester positifs en masse pour échapper au pass vaccinal

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C’est l’ironie de l’histoire : pendant un temps, la stratégie du gouvernement covidiste bigpharmatisé a été de gonfler les stats de l’épidémie de grippe pour faire entrer les Français dans l’enclos de la vaccination quasi obligatoire. Malheureusement, la hausse du nombre de tests, qui a fait monter les stats des cas, et donc qui a alimenté la psychose médiatico-politique, a mené à un effet pervers : le vaccin, ça ne marche pas. On s’est retrouvé avec un pic de 300.000 cas en une journée, ou tests, on ne sait même plus tant les unités de mesure de l’épidémie se mélangent dans les, et pas le, discours officiels, ce qui veut dire que les Français ont compris que les injections, qu’elles soient doubles ou triples, ne protègent pas contre le virus. Un virus d’ailleurs bien bénin, en ce début 2022.

La preuve, en Israël, le pays le plus vacciné du monde est aussi le plus contaminé !

Les stats réelles du mois de janvier viennent de tomber, toujours sur Drahi TV :

Si la vidéo ne s’affiche pas, Cliquez ici

Un million de contaminés, alors que la population israélienne était au 22 décembre 2021 à 50 % triple vaccinée : 7 millions ont reçu une dose, 6 millions deux doses et 5 millions trois doses.

On comprend pourquoi, vu l’efficacité de ces faux vaccins mais vraies injections dangereuses, pourquoi les Français se ruent dans les centres de tests, pour essayer de gagner au loto sanitaire : ils ont une chance sur deux, celle d’être positifs, avec des symptômes pas graves du tout (nez qui coule, gorge qui gratte) et d’obtenir le pass de la liberté, c’est-à-dire 6 mois sans vaccin et sans emmerdements sociaux.
Conclusion : parmi les dizaines de millions de moutons, il y a des millions de renards qui se cachent !

D’ailleurs, le pouvoir covidiste ne s’y est pas trompé puisqu’il a envoyé ses consignes à la presse, qui sont très claires, une presse qu’il tient par les couilles :

On appelle ça un effet pervers, un feed-back négatif, une boucle de rétroaction négative en cybernétique, l’effet qui corrige le facteur, on pourrait même dire qui met une grosse claque au facteur. L’effet, c’est la réaction intelligente des Français avec la recherche d’un test positif, et le facteur, c’est la tyrannie covidiste, les injonctions à se faire vacciner, et les menaces qui vont avec, qu’elles soient explicites ou implicites. Dans le genre implicite, regardez ce titre du Figaro :

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Catherine, 35 ans, célibataire, est secrétaire de direction en banlieue parisienne. « J’ai peur du vaccin. Il me fait flipper. J’ai entendu tellement d’histoires atroces : thromboses, morts subites, AVC chez des sportifs de haut niveau. J’ignore si c’est vrai mais je vois ça sur les réseaux sociaux. Je n’ai pas le niveau pour vérifier mais je n’ai pas envie de prendre le risque et de jouer avec ma peau. Alors, je n’ai plus de vie. Tous les jours, je vais bosser avec mon bento. Je déjeune toute seule dans mon bureau. Mes collègues vaccinées continuent d’aller au restaurant. Depuis que le gouvernement a instauré les tests payants et ramené la validité de 72 heures à 24 heures , je ne peux pas me le permettre : ma paye y passerait. Je suis d’autant plus seule que mes collègues me fuient parce que j’ai commis l’erreur de dire que j’étais non vaccinée. La franchise est un vilain défaut ! Du coup, je suis une pestiférée : plus personne ne vient dans mon bureau et on se détourne dans le couloir. »

Comprendre que si l’on est pas vacciné, on a une vie de merde. Mais ce n’est évidemment pas vrai, même si beaucoup s’en lamentent, car ils ne voient pas de solution pratique. C’est le cas de Marc Doyer, qui est le mari de Mauricette, qui souffre de la maladie de Creutzfeldt-Jakob après son injection :


Pendant ce temps, les restaurateurs qui avaient appliqué à la lettre les différents protocoles sanitaires, fermant quand on leur disait de fermer, ouvrant quand on leur disait d’ouvrir, et accessoirement fermant leur gueule quand on leur disait de la fermer, sont en train de l’ouvrir devant l’incroyable gâchis économique. La volonté de destruction d’une activité indépendante est là.

Le problème de la résistance tardive, quand on ne mesure pas au départ les conséquences de la soumission aux ordres oligarchiques, c’est que ça devient alors deux fois plus dur de remonter. Et les clients qui sont partis parce qu’ils ne supportent pas d’avoir été fliqués ne reviendront peut-être pas. Parce que tous comptes faits, on peut se passer de restaurant : on ne mourra pas de faim.

C’est ce que dit en substance cette femme « pestiférée » interrogée par Le Figaro :

Concrètement, nous avons supprimé tout ce qui est superflu : voyages en avion, TGV, restaurant, cinéma (avec Netflix et le téléchargement, on a ce qu’on veut aujourd’hui). C’est vrai que nous avons la chance de posséder une propriété à la campagne, dont mon mari a hérité. On vit presque en autarcie : la pandémie a fait le tri. Les amis qui nous restent ont les mêmes convictions : donc on fait des pots et des fêtes à domicile sans demander les passes sanitaires. Nous sommes bien conscients que tout le monde n’a pas ce privilège. Mais n’allez pas croire que c’est un truc de riches : il y a des gens pauvres qui militent dans nos milieux. On les aide grâce à une cagnotte, pour payer les tests à ceux qui ne peuvent pas ou les amendes en cas d’infraction. On les invite chez nous, avec leurs familles. Par principe et par éducation, nous refusons de frauder. C’est une question d’honneur. Pour résister, il faut donc se créer un univers parallèle permettant de contourner l’État. Quand on le peut et tant qu’on le peut. »

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