Le célèbre pianiste français Stéphane Blet est mort à Genève,
vendredi 7 janvier, a appris, l'Agence Anadolu auprès de ses proches.
Stéphane
Blet, pianiste et compositeur de renommée internationale, auteur de
"Kontre Kulture" et 12 rapsodies ottomanes-turques, vivait en Turquie
depuis 2016.
« La famille avait besoin de temps, l'information va commencer à circuler », confirme un proche de la famille.
D’après lui, Stéphane Blet était à Genève lorsqu’il est "tombé" du balcon d’un appartement privé. La circonstance exacte de sa mort reste pour le moment inconnue mais d’après ses proches « certains voudraient le faire passer pour un suicide ».
Or, pour ses proches « Stéphane était en pleine forme et avait prévu de diffuser une vidéo en direct le soir de sa mort ».
Ancien
membre de la loge maçonnique, il avait quitté l’organisation et avait
dénoncé « l’imposture de cette société secrète ». Ses prises de position
lui avaient valu un harcèlement par certains groupes et des menaces de
mort de la part de la Ligue de Défense Juive (LDJ).
Alors qu’il était membre de l’Ordre des Arts et des Lettres depuis 2005, il avait été exclu pour ses idées en 2019.
En
avril 2021, Dieudonné M’Bala M’Bala avait annoncé son intention de
demander l’asile politique en Turquie pour ouvrir un centre culturel
français avec Stéphane Blet.
Récemment, il avait signé la
préface de l’ouvrage « Réponse à Zemmour » de Dieudonné et apportait
régulièrement son soutien aux "Gilets jaunes" et la Palestine.
Dans
sa dernière vidéo publiée, le soir du nouvel an, il avait souhaité une «
excellente année 2022 » à tous les Français et avait critiqué la
politique française en matière de lutte contre la Covid-19 et notamment
l’obligation vaccinale.
Hommage de ses proches
Suite
à l’annonce de sa mort, plusieurs personnalités ont réagi pour faire
part de leur condoléances. « Je rendrai hommage lundi matin à mon ami du
Livre d'Enoch @BletFan. Stéphane Blet qui est parti rejoindre les Anges
le 7 janvier 2022 à Genève. Désormais il jouera au Ciel et retrouvera
Liszt Satie Giulini et tous ceux qu'il aimait tant et dont il rejouait
les compositions », écrivait sur son compte le journaliste Pierre
Jovanovic.
De son côté, Suleyman Sahin, rédacteur en chef de
la revue turque « Gercek Hayat » a estimé que « la mort de Blet était
douteuse » en accusant les milieux sionistes « de l’avoir harcelé ».
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