Ça ne va pas être joli, les amis. La chute d'une secte de la mort l'est rarement. Il va y avoir des lamentations et des grincements de dents, des baratins incohérents et fanatiques, des suppressions massives de tweets embarrassants. Il va y avoir un véritable tsunami de rationalisation désespérée, de négation acharnée, de transfert honteux de la responsabilité, et autres formes de mesures pour protéger ses arrières, dès lors que les anciens condottieres de la secte du Covid s'enfuiront à toutes jambes vers la jungle, avant que les entièrement vaccinés avec des injections « efficaces et sans danger », rappel(s) compris, ne les attrapent.
Note du traducteur : La phrase qui précède se réfère au suicide collectif des adeptes de la secte du Temple du Peuple qui a entraîné la mort de 914 personnes. Le massacre de Jonestown a fait naître l'expression « don't drink the Kool-Aid » — utilisée par l'auteur de manière inversée dans le contexte des injections Covid (« Safe and Effective Kool-Aid ») — et qui fait référence à la limonade mélangée au poison présentée aux adeptes de la secte ; cette expression signifie « quoi qu'on vous dise, ne le croyez pas trop fort ».
Je ne vais pas m'embêter avec d'autres citations. Vous pouvez surfer sur Internet aussi bien que moi. Le fait est que la date d'expiration de la PsyOp « Pandémie apocalyptique » est échue. Après presque deux ans d'hystérie collective autour d'un virus qui provoque des symptômes légers à modérés de rhume ou de grippe (ou absolument aucun symptôme) chez environ 95 % des personnes infectées et dont le taux de létalité global est d'environ 0,1 à 0,5 %, la population est à bout de nerfs. Nous sommes tous épuisés. Même les condottieres de la secte du Covid sont épuisés. Et ils commencent à massivement lâcher la secte.
C'était surtout une question de temps. Comme l'a dit Klaus Schwab,
« la pandémie représente une fenêtre d'opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde. »
« Le fait est que le totalitarisme de la Nouvelle normalité — et toute forme de totalitarisme capitaliste mondial — ne peut pas s'afficher comme un totalitarisme en tant que tel, ni même comme un autoritarisme. Il ne peut pas faire état de sa nature politique. Pour exister, il ne faut pas qu'il existe.La simulation de la « crise sanitaire mondiale » est, dans les faits, arrivée à son terme. Ce qui signifie que GloboCap s'est planté de manière monumentale. Le fait est que, si vous avez l'intention de maintenir les masses — qui, au passage, se sont bien fait sodomisés — dans un état paranoïaque de frénésie aveugle grâce à une « pandémie mondiale apocalyptique », à un moment donné, vous devez déclencher une véritable pandémie mondiale apocalyptique. Vous serez aidés pendant un certain temps par des statistiques truquées et une certaine propagande, mais les populations devront finalement être confrontées à quelque chose qui ressemble au moins un peu à un vrai fléau mondial dévastateur, dont la réalité les touchera de manière tangible, et pas uniquement à distance par le biais de leurs téléphones et de leurs téléviseurs.
Par-dessus tout, il doit gommer les traces de sa violence — la violence à laquelle en fin de compte toute politique se résume — et il doit nous apparaître comme une réponse essentiellement bienveillante face à une [soi-disant - NdT] légitime « crise sanitaire mondiale ».
[Cet article a été traduit et publié par Sott.net - NdT]
GloboCap a aussi beaucoup exagéré avec les « vaccins » miracles. Les adeptes de la secte du Covid ont vraiment cru que les « vaccins » les protégeraient de l'infection. Des experts en épidémiologie comme Rachel Maddow leur ont garanti que ce serait le cas :
« Nous savons maintenant que les vaccins fonctionnent suffisamment bien pour que le virus soit stoppé par chaque personne vaccinée », a déclaré Maddow dans son émission le soir du 29 mars 2021. « Une personne vaccinée est exposée au virus, le virus ne l'infecte pas, le virus ne peut pas ensuite utiliser cette personne pour aller ailleurs », a-t-elle ajouté en haussant les épaules. « Il ne peut pas utiliser une personne vaccinée comme hôte pour atteindre d'autres personnes. »
Note du traducteur : Vous aurez sans doute noté la pauvreté du langage censée expliquer le fonctionnement du soi-disant « vaccin »...Et maintenant, ces adeptes sont tous contaminés par ... eh bien, un rhume, en fait, ou sont « infectés mais asymptomatiques », ou que sais-je encore. Et ces personnes envisagent un avenir dans lequel elles devront se soumettre à des « vaccinations » et à des « rappels » tous les trois ou quatre mois pour maintenir à jour leur « certificat de conformité », afin d'être autorisées à occuper un emploi, à fréquenter une école ou à manger dans un restaurant, certes, cela ne dérange pas vraiment les adeptes purs et durs de la secte, mais des millions de personnes s'y conforment, non pas parce qu'elles nagent en plein délire psychotique qui les amèneraient à envelopper la tête de leurs enfants dans du cellophane si Anthony Fauci le leur ordonnait, mais elles s'y conforment par pure « solidarité », ou commodité, ou instinct grégaire, ou... vous savez, par lâcheté.
Parmi ces personnes (c'est-à-dire les non fanatiques), nombreuses sont celles qui commencent à soupçonner que ce que nous — les « extrémistes qui portent un chapeau en aluminium, qui dénoncent le Covid, qui sont opposés au vaccin et qui sont des théoriciens du complot » — leur répétons depuis 22 mois n'est peut-être pas aussi absurde qu'elles le pensaient au départ. Elles rétropédalent, rationalisent, révisent les faits antérieurs et inventent toutes sortes de conneries bien utiles pour confirmer leurs propres croyances, comme le fait que nous sommes désormais dans « un monde post-vaccin », ou que « la Science a changé », ou que « Omicron est différent », tout ça pour éviter d'avoir à admettre qu'elles sont les victimes d'une PsyOp créée par GloboCap et en proie à l'hystérie collective mondiale qu'elle a générée.
Ce qui... très bien, laissons-les se raconter à elles-mêmes tout ce qu'elles veulent au nom de leur vanité, ou de leur réputation de journalistes d'investigation, de célébrités gauchistes, ou de twittos révolutionnaires. Si vous pensez que ces adeptes « en convalescence » de la secte du Covid vont un jour reconnaître publiquement tous les dommages qu'ils ont causés depuis mars 2020 à la société, aux gens et à leurs familles, voire s'excuser pour tous les mauvais traitements qu'ils ont infligés à ceux d'entre nous qui ont relaté les faits... eh bien, vous vous trompez, ils ne le feront pas. Ils vont pirouetter, tergiverser, rationaliser et mentir comme des arracheurs de dents, tout sera bon pour se convaincre et convaincre les autres que, lorsque la situation est devenue critique, ils ne se sont pas mis au garde-à-vous et ne sont pas devenus des « bons Allemands » [en référence au Nazisme - NdT].
Ne vous gênez pas pour leur pourrir la vie en retour si vous en ressentez le besoin. Je me sens aussi en colère et trahi que vous. Mais ne perdons pas de vue les enjeux ultimes de tout cela. Oui, le récit officiel s'effrite enfin, et la secte du Covid commence à imploser, mais cela ne signifie pas que ce combat est terminé. GloboCap et ses marionnettes gouvernementales ne vont pas annuler tout le programme de la « Nouvelle normalité », ni faire comme si les deux dernières années n'avaient jamais existé, pour se retirer gentiment dans leurs somptueux bunkers en Nouvelle-Zélande et sur leurs méga-yachts.
La délicatesse n'accompagne généralement pas la chute des mouvements totalitaires et les sectes de la mort. Ils sombrent le plus souvent dans une outrancière débauche de violence nihiliste, alors que la secte ou le mouvement tente désespérément de maintenir son emprise sur ses membres vacillants et de se défendre contre ce qui empiète sur sa réalité. Et voilà où nous en sommes en ce moment... ou si nous n'y sommes pas encore tout à fait, c'est là que nous nous retrouverons très bientôt.
Alors qu'il n'existe plus aucune justification plausible pour le faire, des villes, des États et des pays dans le monde entier continuent de faire progresser la société de biosécurité « Nouvelle normalité ». L'Autriche progresse dans ce sens avec la « vaccination » forcée. L'Allemagne se prépare à faire de même. La France met en place un système de ségrégation nationale pour punir les « non-vaccinés ». La Grèce impose des amendes aux retraités « non vaccinés ». L'Australie met en place des « camps de quarantaine ». L'Écosse. L'Italie. L'Espagne. Les Pays-Bas. La ville de New York. San Francisco. Toronto. La liste est longue !
Je ne sais pas ce qui va se passer. Je ne suis pas devin. Je suis auteur de satires. Mais nous nous approchons de manière dangereuse du moment où GloboCap aura besoin de devenir ouvertement fasciste pour pouvoir terminer ce qui a été initié. Si cela se produit, tout ne va faire qu'empirer et ce ne sera pas beau à voir. Je sais bien que la situation est déjà terrible, mais je parle de ce qui pointe le bout de son nez et qui est pire encore. Souvenez-vous de [la secte - NdT] Jonestown ou des derniers jours de Hitler dans son bunker, ou des tout derniers mois de la [secte - NdT] Manson Family.
C'est ce qui arrive aux mouvements totalitaires et aux sectes de la mort une fois le sortilège levé** et leur récit officiel désintégré. Quand ils s'écroulent, ils tentent d'emmener avec eux le monde entier. Je ne sais pas pour vous, mais j'espère de mon côté que l'on pourra éviter ça. Parce que de ce que j'ai lu et entendu, ça n'a rien d'une partie de plaisir.
Note du traducteur : ** Voir notre récent Focus : Totalitarisme et guerre psychologique pour le contrôle des esprits — Comment sortir de la transe hypnotique et de la programmation neurolinguistiqueSource
Traduction et emphases : Sott.net
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