Invité ce matin à répondre aux questions d’Apolline de Malherbe sur RMC, Bernard Cohen-Hadad, président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME IDF), risque bien de se faire taper sur les doigts par les chefs d’entreprise.
En effet, le chef de guerre des CPME Paris-Île-de-France abdique avant même le début de la guerre, sa culotte au niveau des chaussures. Les chefs d’entreprise ne peuvent que contempler les millions d’euros qui vont s’envoler et la fermeture définitive de leurs entreprises quand les salariés plieront bagage. A moins que ce ne soit à Bernard Cohen-Hadad de plier bagage pour cause de haute trahison ? Les patrons français ne manqueront pas de le contacter, ici, pour plus d’explications.
Rappelons l’état actuel de l’hôpital où le personnel a disparu, comme nous le dit le Pr Pierre Amarenco, chef du service neurologie. Il soigne depuis vingt ans des infarctus et des AVC, mais à présent doit se débrouiller avec quatre infirmières sur vingt-quatre et seulement quatre lits ouverts sur vingt-huit.
Si la réponse de Bernard Cohen-Hadad est d’abdiquer avant la guerre, en quoi est-il utile aux petites et moyennes entreprises ? Si son boulot est de suivre la folie sanitaire et de couler les entreprises, pourquoi payer des cotisations ? Si les chefs d’entreprise se retrouvent sans salariés et dans l’obligation de fermer boutique, est-ce que Cohen-Hadad ira monter des murs en parpaing pour remédier à la pénurie de main-d’œuvre ?
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