07 décembre 2021

Australie – Eddie Wearne diagnostiqué avec une péricardite : « Je ne reculerai jamais face aux mensonges, à la tyrannie ou à la peur »

Eddie Wearne est l’heureux propriétaire du Shednine, un magasin de surf moto, snow, skate et bodyboard. Cet habitant de Rye, ville balnéaire dans la péninsule de Mornington en Australie, coule des jours heureux avec sa femme Claire et sa fille Chloé. Bon vivant, la fête n’a plus de secret pour lui. Amoureux de la musique, il joue de la guitare, de la batterie, de la clarinette, chante et rappe. Mais son hobby, ça se passe sur les vagues à faire du surf ou du bodyboard.

Dans cet environnement qu’il s’est construit et dont il a toujours rêvé, rien ne laisse présager le pire. C’est pourtant ce qui va arriver. Le 24 octobre 2021, Eddie poste une photo sur Facebook et annonce avoir des douleurs aigües au cœur six jours après avoir été vacciné avec Pfizer. Les médecins de l’hôpital Rosebud diagnostiquent une péricardite. Toutes sortes de tests sont en cours pour examiner ce qu’il se passe. Le 26 octobre son état empire. « Pour moi, cela s’est détérioré aujourd’hui, c’est un mélange de souffrances cardiaques, thoraciques et pulmonaires avec des douleurs tout le long du côté gauche jusqu’à ma hanche… »

De confidence en confidence, les médecins de l’hôpital lui révèlent que c’est très fréquent. « Ce qui est fou, c’est que les médecins me disent que ces réactions sont assez courantes et étrangement, les plus courantes viennent souvent de jeunes en forme et en bonne santé avec une bonne immunité naturelle. »

 
Un vaccin « péricardite » « Laissez nos enfants tranquilles », photo Facebook d’Eddie Wearne.

Aujourd’hui très engagé pour faire connaître son histoire et alerter ses concitoyens, il doit maintenant faire face à la censure des réseaux sociaux. « Je pense que j’ai énervé Big pharma. Vous pouvez voir mon Instagram, mais je ne peux pas le voir ou l’utiliser. » Les effets secondaires, quand ils ne tuent pas, produisent un effet secondaire qui nuit gravement au vaccin en fabriquant des opposants déterminés. Eddie en est un exemple : « J’espère pouvoir surfer à nouveau cette année. Sinon j’attendrai jusqu’à l’année prochaine. Mais je reviendrai ! Une chose que je sais, c’est que je ne reculerai jamais devant les mensonges, la tyrannie ou la peur. »

 
Eddie Wearne lors d’une manifestation à Melbourne pour la liberté. « Nous sommes maintenant les médias ».

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2

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