Les
mois se suivent et se ressemblent : la collectivité prisonnière d’une
formation de masse (ou psychose collective) n’arrive plus à se décoller
d’une narration fallacieuse, mais qu’il faut reconnaître comme
magistralement façonnée par ceux qui l’ont imposée à grands renforts de
propagande.
L’étude « à six mois », publiée dans une sorte
d’indifférence générale il y a quelques semaines, reprend les mêmes
grossières ficelles pour produire ce qui n’est rien d’autre qu’une
nouvelle fraude.
Or (et c’est bien là la caractéristique
psychotique), cela ne change absolument rien à la donne : ces papiers
explicitement frauduleux sont brandis comme valides et valables par la
« communauté des scientifiques dépendant du financement des pharmas pour
leurs carrières » et prises par argent comptant par nos gouvernants.
A l’heure où la mortalité générale explose dans toutes les couches de la population
(sans autre cause identifiable que les campagnes d’injection génique
expérimentale), nous avons publié la démonstration de cette fraude sur Covidhub.ch
(site proposant un travail authentiquement journalistique sur
« l’information manquante », censurée ou occultée par les médias
subventionnés).
On peut raisonnablement douter que cela aura le
moindre effet : le filtre de la censure et de la propagande médiatique
maintient la population dans la confiance (ô combien erronée) que les
« vaccins géniques sont sûrs et efficaces ». L’étude Pfizer à 6 mois
montre quant à elle exactement l’inverse quand on prend la peine de se
pencher sur les données qui y figurent et non la conclusion mensongère
brandie par les auteurs.
Le temps du délire, le réel n’a plus
d’importance et ne veut plus rien dire. Lorsqu’on en sortira et que la
population ouvrira les yeux sur la réalité des mensonges et de la
trahison des élites politico-médiatiques au service d’intérêts mafieux,
les retours de manivelle risquent d’être cinglants. A nier l’évidence,
occulter la réalité et maltraiter gravement la population, le karma des
« élites » ne fait vraiment pas envie.
Nous republions ici le
début de cet article avec l’aimable autorisation de Covidhub.ch, avec un
renvoi sur leur site pour le détail de la démonstration.
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Pfizer contre Pfizer : la dernière étude est frauduleuse
La firme pharmaceutique sort une étude qui incrimine son propre
vaccin anti-Covid. Pourtant, les données présentant une surmortalité des
vaccinés sont dissimulées par un résumé aux conclusions élogieuses.
Les malaises et arrêts cardiaques se multiplient dans le monde, mais les injections sont toujours hors de cause.
Pourtant, la dernière étude de Pfizer sur six mois incrimine son propre vaccin.
Publiée le 28 juillet 2021, puis le 15 septembre dans sa version supposément « revue par les pairs » dans le New England Journal of Medicine, elle est passée complètement inaperçue (voir l’étude ici)
Le titre et le résumé (abstract) sont élogieux, alors que les données
présentées montrent de manière indiscutable que les injections ne sont
ni efficaces, ni sûres. Elles ne protègent pas contre le Sars-Cov 2 et
causent une surmortalité.
Nous sommes donc en présence d’une gigantesque fraude scientifique.
C’est en tout cas la conclusion sans appel à laquelle est parvenue,
après analyse méticuleuse des données de l’étude, un immunologiste dont
nous savons de source sûre qu’il est l’un des meilleurs spécialistes du
domaine. Pour des raisons hélas évidentes, il a préféré rester anonyme
et ne pas s’exposer à visage découvert.
Initialement publiés sur la plate-forme Twitter, ses résultats et critiques ont (sans surprise) été rapidement censurés.
La fraude décortiquée
Selon l’analyste, la fraude repose sur trois piliers :
1. Données sensibles reléguées dans les appendices
Les conclusions avancées contredisent les données montrant une absence
de protection et une surmortalité importante des vaccinés. Ces données
sensibles sont reléguées dans des appendices à l’article, peu
susceptibles d’être épluchées.
2. Viol des règles fondamentales à l’élaboration d’une étude fiable
L’étude a été conçue pour camoufler certains résultats prévisibles et
potentiellement embarrassants. Exemple : une règle d’or est de préserver
rigoureusement l’intégrité des deux groupes testés : celui des sujets
recevant l’injection – dits « vaccinés» – et ceux figurant dans le groupe contrôle recevant un placebo – dits « non-vaccinés ».
Or cette disposition cardinale a été
violée : le groupe contrôle a été liquidé en cours de route. Ceci rend
définitivement impossible toute comparaison des taux d’effets
indésirables dans les deux groupes.
Des « raisons éthiques » ont été
invoquées. Or, sachant que le risque de mortalité générale en 2020 et
2021 n’a pas été modifié en-dessous de 80 ans, donc que les participants
du groupe témoin ne risquaient rien à ne PAS être injectés, cela semble
constituer une malfaçon dont on peine à imaginer qu’elle soit
désintéressée.
3. Non rétractation de l’étude malgré ses malfaçons
Malgré ces procédés frauduleux, contraires à tous les standards, l’étude
n’a pas été rétractée. Au lieu de cela, cet article a servi de prétexte
à une expérimentation médicale rigoureusement prohibée par les
conventions internationales, dont celle d’Oviedo en particulier, ou
encore de la Déclaration d’Helsinki.
En conséquence, les campagnes de vaccination massives, imposées de
manière directe ou indirecte, présentant des risques et des dommages
flagrants, seraient basées sur une fraude scientifique.
En temps normal, avec de telles données, un produit n’aurait jamais
été approuvé et/ou aurait été retiré immédiatement. Pourtant, on ne peut
que constater que les chercheurs, universitaires, médecins et autorités
de santé, restent silencieux – cautionnant ainsi de fait des pratiques
inacceptables voire condamnables – ou répètent des contre-vérités
favorables à la vaccination génique.
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