1.Le droit à l’éducation sous conditions.
À vouloir empêcher quiconque de mourir de la Covid-19, nous avons infligé à une grande partie de la population, et notamment aux plus jeunes, des mesures iniques.
Nouvelle lubie des VRP pharmaceutique pour lutter contre les contaminations de Covid-19 dans les classes : les élèves de 6e vont devoir faire des autotests chaque semaine.
Chaque enfant aura l’obligation de pratiquer deux autotests toutes les semaines à partir du lundi 29 novembre. Ces tests devront être réalisés en famille.
« Les classes de 6e sont un cas particulier, car les enfants ont moins de 12 ans et ne sont pas vaccinés. Je vous annonce une nouvelle mesure que nous allons prendre : la distribution d’autotests aux élèves de 6e, correspondant à deux autotests par semaine », a précisé M. Blanquer.
« On va donner une boîte de dix autotests valant pour cinq semaines aux élèves de 6e (…). L’éducation nationale fournira ces dix autotests qui sont à réaliser en famille », a-t-il précisé sur France Inter.
Le droit à l’éducation pour tous les enfants quelle que soit leur origine, leur sexe, leur croyance, leurs conditions sociales ou leur état de santé a été consacré par la Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant ainsi que par le préambule de la Constitution de 1946.
On retrouve également ce principe à l’article L. 111-1 du code de l’éducation qui prévoit que l’éducation est un droit pour tous les enfants qui résident sur le territoire national, sans aucune distinction
Aujourd’hui, force est de constater que l’accès à l’école, en France, ne sera plus un droit effectif pour de nombreux enfants.
2.Pression vaccinale par le contrôle social.
Le gouvernement a bien noté que l’Agence européenne des médicaments avait émis un avis favorable à la vaccination des enfants de 5 à 11 ans, dans un avis rendu public jeudi 25 novembre.
Et par le plus grand des hasards (sic), Pfizer a été le premier vaccin a recevoir l’aval des autorités. Le comité d’examen de l’administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments (FDA) a estimé mi-octobre que les vaccins Pfizer-BioNTech présentaient plus d’avantages que de risques pour cette tranche d’âge.
Le dimanche 22 août, Jean-Michel Blanquer lors d’une interview pour le Journal du Dimanche a déclaré : « S’il s’agit de rentrer dans un établissement scolaire, il n’y aura pas de pass, ni pour les élèves, ni pour les parents, ni pour les enseignants. L’école doit rester un lieu accessible. C’est notre philosophie depuis le début de la crise »
Constant dans un narratif de la psychologie inversée, l’exécutif, 3 mois après, impose un contrôle « social » aux élèves de 6e.
Le Gouvernement utilise, une nouvelle fois, la méthode appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.
Dans les faits, le gouvernement créé une contrainte : tester 2x par semaines des enfants de 11 ans, puis apportera la solution en proposant la vaccination dans quelques semaines !
Les enfants sont moins sensibles que les adultes aux infections du SARS-CoV-2 et la létalité quasiment nulle et la vaccination de personnes ne permet pas de bloquer la transmission potentielle du virus à d’autres individus, comme cela a été démontré par des études récentes. Autrement dit, la vaccination n’empêche pas la transmission du virus.
Pourtant Véran et sa clique s’apprêtent à lancer, sans base scientifique, une vaccination de masse chez les enfants, sans se soucier des risques potentiels.
Qui
va assumer la responsabilité juridique dans l’hypothèse d’une
catastrophe sanitaire (comme celle du sang contaminé) apparaissant dix,
quinze ou vingt ans après l’inoculation d’un vaccin en phase 3 ?
Pour l’heure personne ne peut répondre. Mais la question doit être posée.
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