Les vaccins dans le monde sont transportés suivant le principe du pont aérien. La guerre est avant tout une entreprise économique, les armes (les vaccins) coûtent chers (à la vente), elles font des destructions énormes (pour les vaccins le pendant est l'incroyable blocage de l'activité économique).
Une fois la cessation des conflits, leurs effets ne sont pas terminés pour autant, certaines armes dites sales laisseront dans la mémoire des gens, dans leur corps et dans l'environnement des effets (traumatismes, radioactivité, pollutions chimiques, effets secondaires non répertoriés ou inavoués) qui se feront sentir parfois pendant plusieurs générations, ensuite il faut reconstruire (relancer l'activité mise en berne), les pays plus ou moins ruinés n'ont pas d'autre alternative que de s'endetter auprès de ceux qui se sont enrichis en finançant les achats d'armements, les biens et les richesses des pays ainsi endettés (comme le nôtre et beaucoup d'autres) tombent dans le giron des financiers.
L'histoire nous présente les guerres, surtout les nôtres, comme un mal nécessaire quand ce n'est pas carrément une mission civilisatrice à accomplir, elles ont leurs volontaires, leurs héros, leurs victimes entrant dans un bilan pertes et profits, risque et bénéfices.
Seulement la guerre ne naît pas toute seule (il semblerait que l'épidémie vedette soit du même tonneau ???), des individus se chargent de la tramer en ensemençant le terrain, cependant il ne peut y avoir de guerres que si nous ne la refusons pas (... ???).
Éradiquer les guerres, la faim, les maladies, la drogue, la prostitution, ..., serait une catastrophe pour la spéculation, pour le profit en général.
Parfois, un peu plus éveillé que d'habitude, nous percevons qu'une minorité de terriens, avec notre tacite acceptation voire complicité, ont fait de notre terre un enfer, et pourtant ils l'habitent avec leur famille et leurs proches, conclusion évidente : soit ils sont fous (des psychopathes), soit ils ne sont pas (plus) des êtres humains.
Encore quelques mots pour conclure, si nous ne cherchons pas la cause première qui dicte notre conduite, alors tous les écrits du monde, qu'ils soient consacrés, encensés, partagés, ne sont que de l'information, que lettres mortes.
Une fois la cessation des conflits, leurs effets ne sont pas terminés pour autant, certaines armes dites sales laisseront dans la mémoire des gens, dans leur corps et dans l'environnement des effets (traumatismes, radioactivité, pollutions chimiques, effets secondaires non répertoriés ou inavoués) qui se feront sentir parfois pendant plusieurs générations, ensuite il faut reconstruire (relancer l'activité mise en berne), les pays plus ou moins ruinés n'ont pas d'autre alternative que de s'endetter auprès de ceux qui se sont enrichis en finançant les achats d'armements, les biens et les richesses des pays ainsi endettés (comme le nôtre et beaucoup d'autres) tombent dans le giron des financiers.
L'histoire nous présente les guerres, surtout les nôtres, comme un mal nécessaire quand ce n'est pas carrément une mission civilisatrice à accomplir, elles ont leurs volontaires, leurs héros, leurs victimes entrant dans un bilan pertes et profits, risque et bénéfices.
Seulement la guerre ne naît pas toute seule (il semblerait que l'épidémie vedette soit du même tonneau ???), des individus se chargent de la tramer en ensemençant le terrain, cependant il ne peut y avoir de guerres que si nous ne la refusons pas (... ???).
Éradiquer les guerres, la faim, les maladies, la drogue, la prostitution, ..., serait une catastrophe pour la spéculation, pour le profit en général.
Parfois, un peu plus éveillé que d'habitude, nous percevons qu'une minorité de terriens, avec notre tacite acceptation voire complicité, ont fait de notre terre un enfer, et pourtant ils l'habitent avec leur famille et leurs proches, conclusion évidente : soit ils sont fous (des psychopathes), soit ils ne sont pas (plus) des êtres humains.
Encore quelques mots pour conclure, si nous ne cherchons pas la cause première qui dicte notre conduite, alors tous les écrits du monde, qu'ils soient consacrés, encensés, partagés, ne sont que de l'information, que lettres mortes.
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