Notons que ce Crémieux, l’« administratif » qui a eu la peau de Raoult, n’a bien sûr rien à voir avec le décret du même nom.
L’interview complète est ici.
À la 8ème minute, Laurence Ferrari lui demande si « les enfants, il faut les vacciner ? », et « est-ce qu’il faut envisager de vacciner les enfants de 3 à 12 ans ? ». Réponse en apparence en touche du professeur, mais lourde de conséquences :
« Écoutez, cette question, après ce sera une question politique, et c’est une question du risque qu’on est susceptible de prendre dans des conditions de cette nature-là. Moi je ne discute pas, j’ai jamais discuté les décisions politiques, le temps trie, le temps est impitoyable, c’est l’histoire qui juge les politiques... »
Évidemment, les Français opposés à la vaccination de masse, donc celle, aberrante, des enfants, et au pass sanitaire, ce symbole de la dictature, ont depuis longtemps pris fait et cause pour celui qui voulait, avant toute chose, soigner. Ce sont les premiers mots de ce professeur que personne ne connaissait, dans le grand public, il y a deux ans encore.
Aujourd’hui, c’est une star mondiale : le président Donald Trump, évincé d’une réélection naturelle par une fraude massive du Système, que l’on peut résumer par l’alliance entre le Pentagone (mais pas les soldats), le Big Pharma et le Big Tech, avait même « prescrit » le protocole Raoult au début de la pandémie de grippe wuhanaise.
C’est Le Parisien, pourtant pas soupçonnable de sympathies antipass ou antivax, qui évoque cette popularité, fort gênante pour les autorités :
L’Histoire tranchera, et elle tranche des têtes. Elle finit toujours par abattre les fausses idoles, et rétablir l’honneur des vrais défenseurs du peuple.
Au fait, l’Histoire, c’est quand ?
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