L’information manquante
Le constat est cinglant : il n’y a pour ainsi dire plus de presse.
En tout cas du côté des médias grand public comme (en Suisse romande, nos voisins ne sont pas mieux lotis) Le Temps, les journaux de Tamédia (Tribune de Genève ou 24 Heures) ou de Ringier sans parler de la RTS qui n’est plus qu’une redingote puant la naphtaline et pourtant mitée de partout.
Ou alors des résidus, ici ou là, surtout d’ailleurs dans les nouvelles sans importance. Au fond, la presse actuelle n’est intéressante que dans les informations locales et à condition qu’elles ne soient pas politiques. Ou alors pour nous aider à bien comprendre ce qu’elle tient tellement à nous faire croire. Mais surtout pas pour appréhender le réel.
Il reste certes, égarés comme les derniers ours blancs perdus sur des morceaux de banquise fondant sous leurs pattes, quelques grands journalistes en fin de carrière (ou au-delà) qui nous rappellent la grandeur passée d’un métier qui fut noble – et même un des piliers de nos agonisantes démocraties.
La presse moribonde ne sait plus qu’ânonner la doxa qu’on lui dicte et poursuivre du peu d’énergie qu’il lui reste les ennemis qu’on lui montre du doigt, entre deux râles.
Pour le reste, vide sidéral, néant de la pensée, renoncement à tout esprit critique et à toute velléité d’investigation. Les médias à leur tour ne sont plus que les officines de marketing et de contrôle de la pensée des pouvoirs en place.
Certes, ils doivent leur survie à l’arrosage décrété en haut lieu. En France, les quelques milliardaires qui se sont emparés de titres prestigieux hérités du passé encaissent des sommes rondelettes de l’état. Ma foi, on ne prête qu’aux riches ! Ce qui leur rend service pour mettre ces instruments efficaces à leur service et à celui de ceux qui font partie du même club qu’eux.
En Suisse, les restes de ce qui eut quand même une certaine tenue (avec cette ouverture d’esprit un peu bon enfant qui caractérisa longtemps notre mentalité collective) n’est plus qu’une machine à mentir et à décérébrer.
La « crise » actuelle en donne la preuve étincelante : nos médias répercutent sans la moindre indépendance d’esprit les informations frauduleuses publiées par les pharmas et répercutées par des hordes de Khmers blancs pétris de conflits d’intérêts qui trônent dans nos hôpitaux et universités.
Les « vaccins » (qui n’en sont pas) sont donc archi-sûrs et à 95 % efficaces (ben tiens !), même si les effets secondaires sont particulièrement fréquents et violents et que s’accumulent les atteintes irréversibles et les morts.
L’efficacité réelle de l’injection génique (pour comprendre la différence, on peut se référer à ma présentation à l’IHU de Marseille ou à cet excellent article de France Soir) est de 0,71%, un taux ridicule et inacceptable pour faire courir le risque d’effets indésirables graves à qui que ce soit ? Peu importe, les journalissss de la doxa triomphante veillent à ne surtout laisser aucun débat avoir lieu à aucun prix.
Ces journalistes-là auraient fait merveille sous Staline ou dans l’ex-RDA.
Reste donc un désastre civilisationnel et sociétal (mais en aucun cas sanitaire) que cette duplicité coupable aura rendu non seulement possible mais imparable.
Et alors que la population est maltraitée depuis quinze mois sans raison valable, on attend toujours quoi que ce soit qui ressemble à un débat démocratique ou scientifique.
Seules les voix du parti communiste pharmaco-fédéral ont droit au chapitre.
Seules les pseudo-informations utiles à la cause du parti communiste pharmaco-fédéral trouvent place dans la presse. Pour ne surtout pas prendre le risque que des idées insidieuses (surtout véridiques) se mettent à circuler !
Et donc, la population, le peuple souverain, les gens honnêtes, vous
et moi, sommes privés d’informations de qualité et de toute réflexion
intelligente sous l’étouffoir de cette propagande.
C’est dire si le besoin d’informations dignes de ce nom était urgent.
Le rôle de la presse (dans l’idéal des nobles temps jadis) était de donner à entendre une diversité d’analyses pour autant qu’elles fussent construites, pertinentes et étayées. Il était de jouer une sorte de rôle d’arbitre au sein des désaccords nécessaires et indispensables à tout débat d’idées digne de ce nom. En faisant cet effort de nommer sans parti-pris les positions des uns et des autres et les arguments convoqués à l’appui de chaque position.
Depuis quinze mois, la presse est juge et partie dans un lamentable parti-pris totalitaire et n’est donc plus la presse.
Des citoyens (dont votre serviteur) se sont regroupés dans cette belle intention : créer une plateforme d’information en ligne, indépendante, qui donne accès à cette information manquante.
Notre intention est limpide : les « médias » étant enfermés dans cette propagande univoque au mépris de toute honnêteté intellectuelle, nous apportons la « partie manquante ». Pour que chacune et chacun puisse entendre autre chose que la voix du parti. Puisse écouter ces grands scientifiques, experts et politiques qui disent autre chose que les âneries assénées en boucle. Puisse être exposé à des points de vie et des perspectives éclairants et inspirants.
Bien sûr il y a aussi des contenus douteux hors des médias mainstream : si ceux-ci s’y cantonnent désormais, ils n’en ont pas pour autant le monopole… Nous nous engageons donc à faire ce travail de discernement et de tri dans les contenus. Mais en aucun cas en référence à une doxa ou à des intérêts auxquels nous serions assujettis.
Notre ligne éditoriale est claire : nous faisons le choix de republier des contenus qui nous apparaissent présenter un intérêt évident au regard de la situation actuelle et de la crise de civilisation qu’elle entraîne.
Nous faisons le choix d’éviter autant que possible les sources contestables ou douteuses. Sauf à ce que des contenus y figurent qui nous semblent malgré tout présenter un réel intérêt thématique et que leur traitement fasse preuve de compétence et de rigueur.
Notre espoir est que les citoyennes et citoyens exposés à la pensée unique des médias subventionnés trouvent ici de quoi contraster et in fine contrebalancer les représentations erronées que l’on se fait inévitablement en ne puisant qu’à une seule source, frelatée de surcroît.
Et puissent dès lors se faire une idée plus juste, plus équilibrée, plus complexe de ce à quoi nous sommes confrontés.
Par la sélection d’articles et de contenus que nous republions, nous restaurons un modeste accès à cette diversité heureuse nécessaire à construire une réflexion et donc une compréhension dignes de ce nom.
Certes, les bourrés de certitude et les obtus ne viendront pas butiner ici. Celles et ceux qui auraient volontiers été maccarthystes, staliniens, délateurs ou collabos, qui collent des étiquettes pour ne surtout pas écouter quelque chose qui diverge de leurs certitudes monolithiques passeront leur chemin. Nous ne nous adressons pas à eux.
Par contre, les personnes honnêtes et ouvertes d’esprit qui comprennent bien que la voix des médias ne donne pas l’entier de ce qu’il y a à voir et à entendre trouveront ici -c’est notre espoir- de quoi faire leur miel.
Non pas en remplaçant des certitudes par d’autres ! Mais en retrouvant le goût de pensée complexe, de la curiosité, du questionnement, de valeurs autres que la conformité et l’obéissance aveugle.
Le collectif qui porte ce beau projet s’est engagé courageusement en ce sens et a déployé une grande et belle énergie pour rendre accessible et porter à votre connaissance cette nouvelle plateforme d’information en ligne appelée CovidHub.ch
Les lectrices et lecteurs y trouveront un nombre important de références de qualité, ordonnées selon quelques grands thèmes et rubriques.
Bienvenue donc au sein du petit univers de CovidHub, que vos explorations et pérégrinations y soient belles et plaisantes, informatives et inspirantes !
Et que revive enfin dans nos pays sinistrés l’art du débat fécond et le goût de l’intelligence !
Lien vers le site Covidhub.ch : cliquer ici.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.