Quelle conscience des enfants avons-nous actuellement ? Après les avoir
muselés, confinés, privés d'école, de vie sociale et sportive, on veut
encore configurer leurs corps selon les concepts de l'opinion unique du
jour.
Alors
que les êtres humains se construisent corps - âme - esprit dans la
pluralité si généreuse de l'existence, le système
politico-scientifico-économique veut imposer un mode de procéder qui va
jusqu'à s'incruster dans les corps. De la sorte, on cherche à
contraindre les enfants en pleine formation dans différentes dimensions
et on prévoit de les astreindre à une thérapie génique.
On veut gérer un problème de santé publique - la covidémie - par une stratégie se limitant à certains avis scientifiques qui relèvent par définition de la science alors que les pathologies relèvent de la médecine qui est une conjonction entre la science et l'art.
Que devient l'art médical quand on voit sur quels critères se basent les décisions gouvernementales, ce qui ne peut surprendre qu'en partie puisque les dirigeants sont issus des hautes écoles de sciences économiques (Macron, Berset) ou de physique (Merkel) ? Par conséquent, ils se basent sur des chiffres pour prendre leurs décisions. Et encore, sur les données faciles à répertorier pour en faire des statistiques. En revanche, comme il est bien plus difficile de codifier l'état de santé mentale de la population, il faut qu'il y ait des chiffres de suicides pour commencer à réfléchir. Même en médecine, on trouve un clivage énorme entre les praticiens au chevet des malades et les professeurs et experts qui se limitent à leurs domaines pointus et s'affirment de docte façon.
Cette focalisation mathématique s'éloigne d'autant plus de l'énergie vitale qui est en pleine expansion chez les jeunes. « La souffrance des jeunes est une réalité ! » Le bilan après une année en est révélateur :
Les services psychiatriques sont inquiets de la recrudescence des prises en charge des adolescents. L'éloignement des copains et le huis-clos familial y sont pour beaucoup.
L'être humain se nourrit aussi de l'air qu'il respire. L'enfant qui bouge selon sa nature en aura par conséquent d'autant plus besoin. Or les directives venant de personnes qui ne courent pas avec les enfants, ou ne s'activent pas sur dans des entreprises, ne tiennent pas compte de l'impact de la respiration sur la santé globale. »
Un autre Professeur en médecine, laryngologue, est bien placé pour voir les lésions possibles suite au port du masques. Il fait référence surtout aux enseignants mais on peut bien percevoir l'impact aussi sur les cordes vocales en voie de développement chez les enfants qui aiment s'exprimer voire crier.
A un niveau plus ontologique, les mesures dites sanitaires, imposées avec coercition, façonnent le psychisme des enfants, les « programment » à penser selon les croyances qu'on leur inculque à force de répétition. Un philosophe illustre cet impact : Un couvre-visage plus symbolique que sanitaire. : « Le masque permet d'entretenir un état anxiogène de peur, justifiant des mesures liberticides que plusieurs jugent disproportionnées ».
J'ai tenu à décrire l'ambiance des différentes situations dans lesquelles se trouve plongée la jeunesse dont la première mission est de se développer pour devenir des adultes responsables de leurs existences. Il paraît clairement aberrant de vouloir encore imposer à leurs corps en formation une épreuve supplémentaire de taille, en violant de plus la frontière naturelle du corps - la peau - par l'injection d'un produit aux ingrédients dont on ne connaît pas grand-chose de leurs propriétés biodégradables. En outre, les essais ne sont de loin pas terminés chez les adultes et on peut se demander ce que devient la science en se contractant pareillement en relation avec les industries pharmaceutiques pour une telle fuite en avant : Covid-19 : Moderna annonce des essais de son vaccin sur des milliers d'enfants,6.750 enfants de 6 mois à 11 ans participent à cet essai clinique aux États-Unis et au Canada. Cet essai, pour lequel les premières doses ont commencé à être injectées, permettra d'étudier « la sûreté, la tolérance, la réactogénicité (production d'effets indésirables, ndlr), et l'efficacité » du vaccin, a déclaré l'entreprise dans un communiqué. Quelle conscience ont les adultes, parents ou soignants pour laisser exécuter de pareils « essais » sur des êtres qui nécessitent une existence la plus confortable possible pour un heureux développement ?
Ainsi, les enfants ne sont plus des individualité ouvertes à la joie de vivre mais des outils de la politique : Pousser à la vaccination en faisant miroiter la libération.
Ils sont aussi utilisés comme des objets humains pour la recherche. Ils ne sont même plus des sujets humains dans la mesure où on ne requiert pas leurs consentements éclairés. Il est affligeant qu'on n'attende pas la fin des essais sur les adultes, d'autant plus que la pandémie évolue beaucoup, ce que démontrent les variants.
Dans les expérimentations cliniques, il y a un autre élément à porter à la connaissance des humains encore candides, l'usage d'ersatz de placebo comme le rapporte un médecin au sujet d'un essai vaccinal contre le paludisme :
Avec toujours la même question : va t-on vacciner pour une maladie moins grave que la grippe et qui ne touche quasiment pas les enfants avec un vaccin qui n'empêche pas les transmissions ?
Même des revues très doxa comme le JIM disent :
Un médecin riche de son bagage tant scientifique que pratique nous offre un panorama très élargi pour être vigilant, avoir confiance sans être aveugle et pouvoir se situer dans un compromis le plus proche possible de ce que nous nous sentons être. Son ouvrage : Les vaccins à l'ère de la Covid-19, pour une pratique vaccinale fondée sur des faits et non plus sur la peur. Chacun doit pouvoir se saisir de ces questions cruciales et exercer son esprit critique pour prendre des décisions médicales éclairées.
Les vaccins et les vaccinations sont les résultantes d'un vaste espace de réflexions, d'observations, de recherches en laboratoire et de mises au point. Par conséquent, il est judicieux de tenter d'en percevoir le maximum d'éléments possibles. Nous en sommes loin avec ce nouveau produit relevant de la thérapie génique. Ce n'est pas à nos enfants d'en faire les frais. Ne quittons pas le chemin direct qui tend à les amener vers leur épanouissement. Sortons de ce labyrinthe covidémique pour suivre le fil d'Ariane qui mène vers une vision globale de la santé et la joie de vivre.
On veut gérer un problème de santé publique - la covidémie - par une stratégie se limitant à certains avis scientifiques qui relèvent par définition de la science alors que les pathologies relèvent de la médecine qui est une conjonction entre la science et l'art.
Que devient l'art médical quand on voit sur quels critères se basent les décisions gouvernementales, ce qui ne peut surprendre qu'en partie puisque les dirigeants sont issus des hautes écoles de sciences économiques (Macron, Berset) ou de physique (Merkel) ? Par conséquent, ils se basent sur des chiffres pour prendre leurs décisions. Et encore, sur les données faciles à répertorier pour en faire des statistiques. En revanche, comme il est bien plus difficile de codifier l'état de santé mentale de la population, il faut qu'il y ait des chiffres de suicides pour commencer à réfléchir. Même en médecine, on trouve un clivage énorme entre les praticiens au chevet des malades et les professeurs et experts qui se limitent à leurs domaines pointus et s'affirment de docte façon.
Cette focalisation mathématique s'éloigne d'autant plus de l'énergie vitale qui est en pleine expansion chez les jeunes. « La souffrance des jeunes est une réalité ! » Le bilan après une année en est révélateur :
Depuis le confinement, des enfants de 11 ans se rendent chez le thérapeute en disant vouloir mourir. *Les hôpitaux pédo-psychiatriques explosent... Or , les enfants ne sont pas une population avec envie de suicide car leur instinct de survie est très développé. Donc s'ils commencent à se suicider, c'est qu'il y a un problème très grave ds la société dans laquelle ils vivent. »Cet auteur vit en France mais en Suisse, nous avons aussi des témoignages poignants :
Les services psychiatriques sont inquiets de la recrudescence des prises en charge des adolescents. L'éloignement des copains et le huis-clos familial y sont pour beaucoup.
L'être humain se nourrit aussi de l'air qu'il respire. L'enfant qui bouge selon sa nature en aura par conséquent d'autant plus besoin. Or les directives venant de personnes qui ne courent pas avec les enfants, ou ne s'activent pas sur dans des entreprises, ne tiennent pas compte de l'impact de la respiration sur la santé globale. »
Le médecin prévient que les « pneumonies bactériennes sont en augmentation » à cause du port du masque« . Bien des avocats sont sensibles à la souffrance des parents qui voient leurs enfants s'amoindrir : Malaises, dépression... Le masque à l'école devant la justice.Des réalisateurs de vidéo nous donnent la possibilité de nous instruire sérieusement, au lieu de nous inciter à des gestes compulsifs comme d'autres, et offrent des entrevues à des connaisseurs qui ont une vision globale pour nous expliquer à quel point Covid-19 : Les masques et les « gestes barrières » sont inutiles (Prof. Denis Rancourt)
Un autre Professeur en médecine, laryngologue, est bien placé pour voir les lésions possibles suite au port du masques. Il fait référence surtout aux enseignants mais on peut bien percevoir l'impact aussi sur les cordes vocales en voie de développement chez les enfants qui aiment s'exprimer voire crier.
A un niveau plus ontologique, les mesures dites sanitaires, imposées avec coercition, façonnent le psychisme des enfants, les « programment » à penser selon les croyances qu'on leur inculque à force de répétition. Un philosophe illustre cet impact : Un couvre-visage plus symbolique que sanitaire. : « Le masque permet d'entretenir un état anxiogène de peur, justifiant des mesures liberticides que plusieurs jugent disproportionnées ».
J'ai tenu à décrire l'ambiance des différentes situations dans lesquelles se trouve plongée la jeunesse dont la première mission est de se développer pour devenir des adultes responsables de leurs existences. Il paraît clairement aberrant de vouloir encore imposer à leurs corps en formation une épreuve supplémentaire de taille, en violant de plus la frontière naturelle du corps - la peau - par l'injection d'un produit aux ingrédients dont on ne connaît pas grand-chose de leurs propriétés biodégradables. En outre, les essais ne sont de loin pas terminés chez les adultes et on peut se demander ce que devient la science en se contractant pareillement en relation avec les industries pharmaceutiques pour une telle fuite en avant : Covid-19 : Moderna annonce des essais de son vaccin sur des milliers d'enfants,6.750 enfants de 6 mois à 11 ans participent à cet essai clinique aux États-Unis et au Canada. Cet essai, pour lequel les premières doses ont commencé à être injectées, permettra d'étudier « la sûreté, la tolérance, la réactogénicité (production d'effets indésirables, ndlr), et l'efficacité » du vaccin, a déclaré l'entreprise dans un communiqué. Quelle conscience ont les adultes, parents ou soignants pour laisser exécuter de pareils « essais » sur des êtres qui nécessitent une existence la plus confortable possible pour un heureux développement ?
Ainsi, les enfants ne sont plus des individualité ouvertes à la joie de vivre mais des outils de la politique : Pousser à la vaccination en faisant miroiter la libération.
Ils sont aussi utilisés comme des objets humains pour la recherche. Ils ne sont même plus des sujets humains dans la mesure où on ne requiert pas leurs consentements éclairés. Il est affligeant qu'on n'attende pas la fin des essais sur les adultes, d'autant plus que la pandémie évolue beaucoup, ce que démontrent les variants.
Dans les expérimentations cliniques, il y a un autre élément à porter à la connaissance des humains encore candides, l'usage d'ersatz de placebo comme le rapporte un médecin au sujet d'un essai vaccinal contre le paludisme :
« Mais il y a encore pire : dans l'étude préliminaire rapportée par Le Figaro et Nature, le groupe témoin (des bébés de 5 à 17 mois) ne recevait pas un placebo mais un autre vaccin, celui contre la rage [4 injections sur une année] dont les effets indésirables dans cette catégorie d'âge sont inconnus. »Que devient la déontologie médicale? Des médecins se regroupent et étudient très scrupuleusement les différentes éléments qui nourrissent et animent l'être humain. Ils mettent en évidence de façon limpide : La vaccination des enfants : la ligne rouge à ne pas franchir.
« Il est d'autant plus grave qu'à l'inverse d'un effet secondaire à long terme chez une personne âgée qui disparaîtra avec elle ; chez des enfants il risque de continuer 80 ans et de se perpétuer dans les générations futures. »Ils avancent aussi le principe du bien-fondé d'un tel acte qui, à la base, devrait être d'abord médical:
Avec toujours la même question : va t-on vacciner pour une maladie moins grave que la grippe et qui ne touche quasiment pas les enfants avec un vaccin qui n'empêche pas les transmissions ?
Même des revues très doxa comme le JIM disent :
« Bénéfice minime pour l'enfant et sans doute nul pour la santé publique. Au vu de ces données, l'auteur pose la question de l'éthique et de la balance bénéfice-risque. Le bénéfice pour l'enfant est minime : il est sans doute absent en termes de santé publique, alors que les effets indésirables à moyen et long terme des vaccins sont encore imprécis pour les enfants ».D'un pays où la vaccination est très avancée, nous recevons des témoignages de leurs expériences très concrètes : En Israël la situation est explosive. En Israël, le gouvernement cherche désespérément à vacciner les enfants. L'IPC souligne qu'une telle démarche peut être désastreuse.
« À la lumière de l'étendue et de la gravité des effets secondaires, nous souhaitons exprimer la position du comité selon laquelle la vaccination des enfants peut également entraîner chez eux des effets secondaires, tels qu'observés chez les adultes, y compris la mort d'enfants en parfaite santé. Comme le coronavirus ne présente aucun danger pour les enfants, le comité estime que l'intention du gouvernement israélien de vacciner les enfants met en danger leur vie, leur santé et leur développement futur. »En outre, l'immunité des enfants se disloque au fur et à mesure que la situation ambiantale perdure, avec le stress multifactoriel et la sédentarité forcée.
Un médecin riche de son bagage tant scientifique que pratique nous offre un panorama très élargi pour être vigilant, avoir confiance sans être aveugle et pouvoir se situer dans un compromis le plus proche possible de ce que nous nous sentons être. Son ouvrage : Les vaccins à l'ère de la Covid-19, pour une pratique vaccinale fondée sur des faits et non plus sur la peur. Chacun doit pouvoir se saisir de ces questions cruciales et exercer son esprit critique pour prendre des décisions médicales éclairées.
Les vaccins et les vaccinations sont les résultantes d'un vaste espace de réflexions, d'observations, de recherches en laboratoire et de mises au point. Par conséquent, il est judicieux de tenter d'en percevoir le maximum d'éléments possibles. Nous en sommes loin avec ce nouveau produit relevant de la thérapie génique. Ce n'est pas à nos enfants d'en faire les frais. Ne quittons pas le chemin direct qui tend à les amener vers leur épanouissement. Sortons de ce labyrinthe covidémique pour suivre le fil d'Ariane qui mène vers une vision globale de la santé et la joie de vivre.
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