01 avril 2021

L’affaire des "20 parents d’élèves morts du Covid" : un bidonnage pour fabriquer du consentement


On va partir de la newsletter de Mediapart, journal d’opposition du trotskiste pro-Empire Edwy Plenel, qui a réagi positivement aux annonces pourtant très négatives du Président le 31 mars (2021) au soir...

La suite est du même tonneau, avec ce titre complètement idiot qui exprime la panique du personnel enseignant, même pas capable, du fait de son handicap mental gauchiste, de comprendre qu’il se fait rouler par le président néolibéral !
 

Rien que ces deux accroches montrent à quel point Mediapart est loin d’être un journal d’opposition : il s’aligne sur les positions du pouvoir profond d’inspiration mondialiste, point à la ligne de coke.

Mediapart relaye la lâcheté et la bêtise de nos enseignants gauchistes, et si le terme « orphelins » semble un peu fort aux rationalistes que nous sommes, c’est qu’il renvoie à une information relayée par toute la presse mainstream : ces 20 parents d’élèves d’un même lycée du 93 morts du Covid.

 

À y regarder de plus près, et c’est pour une fois Libé avec son service de vérification de l’info Checknews qui a fait le boulot, cette « information » est tombée à pic pour fabriquer le consentement de l’opinion sur la décision de fermer les écoles. Alors que rien ne le justifie d’un point de vue sanitaire, les enfants ne souffrant pas (et mourant encore moins) dans leur écrasante majorité de la grippe mondialiste, comme de toutes les grippes d’ailleurs. L’article de Libé étant payant (je journal est déficitaire), on a été chercher le débunkage au Figaro :

Le chiffre apparaît pour la première fois dans une lettre ouverte des personnels mobilisés du lycée, adressée jeudi 25 mars au président de la République, Emmanuel Macron, et au ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer.

Les enseignants, qui dénoncent « une situation sanitaire alarmante dans [leur] établissement particulièrement touché par l’épidémie », déplorent en préambule « le décès d’une vingtaine de parents d’élèves », depuis mars 2020. Dans cette missive, était aussi demandée « la fermeture urgente et temporaire de l’établissement, avec un basculement total en enseignement à distance pour assurer la continuité pédagogique ».

Lundi, « dix-sept classes sur les 105 que compte le lycée général Eugène-Delacroix et le lycée professionnel adjacent [ont été] fermées », indiquait à l’AFP le rectorat de Créteil.

Voici le début de cette lettre en écriture inclusive :
 
Après enquête, on comprend qu’il y a eu exagération et falsification :

Interrogé à ce sujet sur CNews dimanche 28 mars, Daniel Auverlot, recteur de l’académie de Créteil, confirme que « des élèves ont vu partir de la famille proche ou éloignée ». Et d’ajouter « qu’une campagne massive de tests » serait menée mardi 30 et mercredi 31 mars.
De plus, rien ne confirme que ces « parents » issus de l’entourage familial aient été contaminés par les jeunes élèves au lycée. « On ne sait pas si les parents décédés ont été contaminés par leurs enfants ou à l’extérieur » du cadre familial, faisait justement remarquer Pierre Laporte, le vice-président du département en charge de la santé rapporte la chaîne C News.

Cette grosse médiarnaque a été produite de A à Z pour créer un choc dans l’opinion et pousser le Président, dans son allocution du 31 mars au soir, à fermer les écoles. Certes, Macron, poussé par les durs du gouvernement (tous sauf Blanquer et Le Maire), n’avait pas besoin de ça pour prendre cette décision insane, mais il fallait préparer l’opinion. Et dans ce sport – l’intox –, les syndicats d’enseignants et les médias gauchistes sont champions du monde.

Cette fake news aura révélé plusieurs choses à la fois : le Covid, c’est comme la guerre, ça permet de dire et de faire n’importe quoi, le bruit et la fumée autorisant toutes les erreurs, mais aussi toutes les saloperies. En outre – mais ça, on le savait déjà –, Mediapart pousse à la roue de la répression sanitaire. Drôle de position pour un canard théoriquement anti-Macron ! C’est toujours sur les vrais dossiers – on pense aux Gilets jaunes, au sionisme et, bien sûr, et à la covid-arnaque – que l’on juge les vrais opposants, ceux du pouvoirs profond, pas du pouvoir visible.

Le problème, c’est que l’Éducation nationale va encore en prendre un coup, et même deux : un premier de l’intérieur avec l’engeance syndicale gauchiste qui a sapé l’autorité institutionnelle, de là l’irrespect des élèves pour les profs ; un second de l’extérieur avec l’offensive néolibérale contre ce service public essentiel, vital pour la nation. Tout est fait, que ce soit par les libéraux ou les libertaires, pour tuer la belle école publique française, qui faisait honneur à la France jusque dans les années 70. Après, c’est la dégringolade, lente, mais sûre. Jusqu’à ce dramatique 31 mars 2021, où les enseignants demandent eux-mêmes la fermeture de leurs établissements. On appelle ça un suicide collectif. Les antigauchistes applaudiront ces abrutis qui scient la branche sur laquelle ils sont assis, car les libéraux auront raison des gauchistes, qui ne sont que leurs idiots utiles provisoires, car ensuite, ce seront les antigauchistes tendance Zemmour qui leur serviront de marchepied.
Le service public de l’éducation sera bien démembré, mais il le sera avec le soutien, la complicité et les encouragements d’une majorité de ses personnels.
Au piquet, les ânes ! 

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