La ministre de la Culture, positive au Covid-19 depuis samedi, a été hospitalisée, a annoncé son entourage. Dans un tweet, elle déclare bénéficier désormais d'un traitement destiné à rétablir ou maintenir un taux normal d'oxygène dans le sang.
Positive au Covid-19, Roselyne Bachelot a été hospitalisée, mais son «état est stable et n'inspire pas d'inquiétudes», a annoncé mercredi l'entourage de la ministre de la Culture à l'AFP. «Son médecin a préconisé une surveillance accrue à l'hôpital pour les quelques jours à venir», a-t-on ajouté de même source.
Ce jeudi, la ministre de la Culture a été placée sous un traitement d'«oxygénothérapie renforcée», a-t-elle annoncé dans un tweet. Elle ajoute être «prise en charge par des soignants exceptionnels».
Ce traitement vise à apporter artificiellement de l'oxygène à un malade de façon à rétablir ou à maintenir un taux normal d'oxygène dans le sang.
La ministre de la Culture avait annoncé samedi sur Twitter qu'elle avait été testée positive au Covid-19 «à la suite de symptômes respiratoires». «À l'isolement, je vais aménager mon programme pour la semaine qui vient», a-t-elle notamment tweeté.
La veille de son diagnostic, elle remettait les insignes de Commandeur de la Légion d'honneur à Michel Sardou. Le chanteur et son épouse, Anne-Marie Périer, se trouvent, depuis, cas contact.
Roselyne Bachelot est le deuxième membre du gouvernement malade du coronavirus et hospitalisé, après la ministre du Travail Élisabeth Borne, 59 ans, admise lundi dans un établissement de la région parisienne.
«Hier soir, elle ne se sentait plus assez bien avec la dose d'oxygène qui lui était délivrée. Les médecins ont par conséquent décidé de l'augmenter», a dit à l'AFP un membre de l'entourage de la ministre.
Cette même source a expliqué qu'elle «a tenu à faire un tweet pour rassurer les personnes qui lui envoient de nombreux messages inquiets».
Ancienne ministre de la Santé, Mme Bachelot a reçu une première dose de vaccin le 17 mars, trois jours avant d'annoncer qu'elle était contaminée.
Elle a été nommée en juillet à la tête du ministère, succédant à Franck Riester, qui avait lui-même contracté le virus il y a un an.
Depuis son arrivée rue de Valois, elle a eu à gérer les retombées de la crise sanitaire sur le monde culturel, dont les musées, le cinéma et le spectacle vivant, qui sont portes closes depuis le 30 octobre.
Positive au Covid-19, Roselyne Bachelot a été hospitalisée, mais son «état est stable et n'inspire pas d'inquiétudes», a annoncé mercredi l'entourage de la ministre de la Culture à l'AFP. «Son médecin a préconisé une surveillance accrue à l'hôpital pour les quelques jours à venir», a-t-on ajouté de même source.
Ce jeudi, la ministre de la Culture a été placée sous un traitement d'«oxygénothérapie renforcée», a-t-elle annoncé dans un tweet. Elle ajoute être «prise en charge par des soignants exceptionnels».
Ce traitement vise à apporter artificiellement de l'oxygène à un malade de façon à rétablir ou à maintenir un taux normal d'oxygène dans le sang.
La ministre de la Culture avait annoncé samedi sur Twitter qu'elle avait été testée positive au Covid-19 «à la suite de symptômes respiratoires». «À l'isolement, je vais aménager mon programme pour la semaine qui vient», a-t-elle notamment tweeté.
La veille de son diagnostic, elle remettait les insignes de Commandeur de la Légion d'honneur à Michel Sardou. Le chanteur et son épouse, Anne-Marie Périer, se trouvent, depuis, cas contact.
Roselyne Bachelot est le deuxième membre du gouvernement malade du coronavirus et hospitalisé, après la ministre du Travail Élisabeth Borne, 59 ans, admise lundi dans un établissement de la région parisienne.
«Hier soir, elle ne se sentait plus assez bien avec la dose d'oxygène qui lui était délivrée. Les médecins ont par conséquent décidé de l'augmenter», a dit à l'AFP un membre de l'entourage de la ministre.
Cette même source a expliqué qu'elle «a tenu à faire un tweet pour rassurer les personnes qui lui envoient de nombreux messages inquiets».
Ancienne ministre de la Santé, Mme Bachelot a reçu une première dose de vaccin le 17 mars, trois jours avant d'annoncer qu'elle était contaminée.
Elle a été nommée en juillet à la tête du ministère, succédant à Franck Riester, qui avait lui-même contracté le virus il y a un an.
Depuis son arrivée rue de Valois, elle a eu à gérer les retombées de la crise sanitaire sur le monde culturel, dont les musées, le cinéma et le spectacle vivant, qui sont portes closes depuis le 30 octobre.
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