Les experts prévoient que certains produits deviendront introuvables dans les rayons des magasins, à cause de problèmes dans les chaînes d'approvisionnements, qui en affectent presque tous les aspects.
Nous avons souvent dit que quand les médias de l'establishment se mettent à rapporter de vraies informations, c'est que le problème traité est déjà hors de contrôle.
Inévitablement, lorsqu'on parle de pénurie de produits de détail et de flambée des prix, les gens disent : "Pas dans ma région".
Certains se trouvent dans des régions qui n'ont pas été touchées par les dysfonctionnements de la chaîne d'approvisionnement, l'année dernière, et par la fermeture contrainte des magasins par l'État, et ils sont extrêmement chanceux.
D'autres ont remarqué la hausse des prix, la diminution des produits disponibles et des limitations sur d'autres produits. L'augmentation progressive des prix, chaque mois, s'accentue de façon à ne pas être trop perceptible, sauf si on la compare aux années antérieures à la mise en place des contraintes sanitaires.
C'est lorsque les augmentations réelles, non seulement de la semaine ou du mois, mais aussi de l'année, sont démontrées, que les gens commencent à comprendre l'effet de la grenouille dans un bocal d'eau que l'on chauffe lentement, et qui finit par s'ébouillanter.
Commençons donc par les chiffres tels que nous les connaissons, et personne ne peut dire que seuls les médias indépendants sont les seuls à en rendre compte, car les citations suivantes, suivies de mon commentaire, sont tirées du très libéral Washington Post :
- Le coût du transport d'un conteneur de marchandises a augmenté de 80 % depuis début novembre et a presque triplé au cours de l'année dernière, selon le Freightos Baltic Index.
Selon l'article de Wapo, ce sont les changements dans les habitudes de consommation qui ont bouleversé les chaînes d'approvisionnement mondiales.
Citations clés de Wapo, via MSN :
- ..... L'augmentation des prix reflète les changements spectaculaires de la consommation provoquées par les contraintes sanitaires, les consommateurs redirigeant leurs dépenses de loisirs vers l'achat de vêtements, d'ordinateurs, de meubles et d'autres biens importés.
- Il s'agit d'un problème mondial et il pourrait s'aggraver. Selon Ocean Insights, un fournisseur de données, plus d'un tiers des conteneurs qui ont transité par les 20 plus grands ports du monde le mois dernier n'ont pas été expédiés dans les délais prévus.
- Des signes chocs commencent à contrarier les logisticiens des d'entreprises. Le coût des fournitures industrielles importées a fait un bond de 4,2 % en décembre et a augmenté de 27 % depuis avril, les fabricants se plaignant de pénuries de matériaux tels que l'acier.
Ils appellent cela la "poussée d'inflation post-covidienne", nous l'appelons la "poussée d'idiotie". Les réactions excessives de la communauté mondiale (ou idiotie) ont provoqué ces augmentations et ces pénuries, parmi d'autres problèmes qui vont durer bien plus longtemps que le problème initial (ou COVID).
En d'autres termes, si les dirigeants tyranniques n'avaient pas verrouillé des États ou des pays entiers, la chaîne d'approvisionnement n'aurait pas été interrompue et le changement des habitudes de dépense et d'achat n'aurait pas provoqué de pénuries aussi dévastatrices de viandes, de produits, de conserves, de produits de nettoyage, de produits papetiers et d'autres produits de première nécessité.
Les médias indépendants ont constamment averti que le changement de l'offre et de la demande avait submergé le système, et pourtant les points de vente des MSM se sont moqués de ces avertissements, mais maintenant, que disent les MSM ?
"L'augmentation de la demande a submergé le système."
Vous croyez ?
"Il semble que la situation s'aggrave. Je ne pense pas que cela se termine de si tôt", a déclaré Nate Herman, vice-président senior pour la politique de l'American Apparel and Footwear Association.
L'économie mondiale de l'année dernière, avec ses arrêts, a effectivement décalé 5 millions de conteneurs de transport, du premier au second semestre - en plus des flux commerciaux habituels, a déclaré Lars Jensen, directeur général de SeaIntelligence, une société de conseil basée à Copenhague.
"Il y a plusieurs goulets d'étranglement différents en même temps", a déclaré M. Jensen. "C'est comme un accident de train au ralenti."
L'article poursuit en expliquant les problèmes de transport maritime, où parfois de nombreux porte-conteneurs quittent le port avant d'être chargés de produits américains, en déclarant : "Cette pratique a irrité les agriculteurs américains, qui disent que le refus des expéditeurs de faire entrer les conteneurs dans le centre augmente leurs coûts et leur fait perdre des ventes à l'étranger de soja, de céréales et de bois. Une coalition d'exportateurs agricoles a écrit ce mois-ci aux responsables de la transition Biden pour se plaindre du "dysfonctionnement de la chaîne d'approvisionnement" et soutenir une enquête en cours de la Commission maritime fédérale sur le comportement des chargeurs".
Une fois de plus, soit ces agriculteurs absorbent leurs pertes, comme ils ont été contraints de le faire au début des fermetures, après avoir dû détruire leurs propres récoltes et leur propre bétail, soit ils vendent à un prix beaucoup plus élevé, que les détaillants augmentent aussi, de sorte que ce sont les consommateurs qui en absorbent les coûts.
C'est un cercle vicieux et il n'y a pas de fin en vue
DES PÉNURIES CONTINUERONT D'APPARAÎTRE
Nous avons constaté la manière dont les gammes de produits ont été gérés, où les produits les plus populaires sont proposés en quantité et d'autres, secondaires, arrêtés "temporairement" de production.
Nous avons souvent dit que quand les médias de l'establishment se mettent à rapporter de vraies informations, c'est que le problème traité est déjà hors de contrôle.
Inévitablement, lorsqu'on parle de pénurie de produits de détail et de flambée des prix, les gens disent : "Pas dans ma région".
Certains se trouvent dans des régions qui n'ont pas été touchées par les dysfonctionnements de la chaîne d'approvisionnement, l'année dernière, et par la fermeture contrainte des magasins par l'État, et ils sont extrêmement chanceux.
D'autres ont remarqué la hausse des prix, la diminution des produits disponibles et des limitations sur d'autres produits. L'augmentation progressive des prix, chaque mois, s'accentue de façon à ne pas être trop perceptible, sauf si on la compare aux années antérieures à la mise en place des contraintes sanitaires.
C'est lorsque les augmentations réelles, non seulement de la semaine ou du mois, mais aussi de l'année, sont démontrées, que les gens commencent à comprendre l'effet de la grenouille dans un bocal d'eau que l'on chauffe lentement, et qui finit par s'ébouillanter.
Commençons donc par les chiffres tels que nous les connaissons, et personne ne peut dire que seuls les médias indépendants sont les seuls à en rendre compte, car les citations suivantes, suivies de mon commentaire, sont tirées du très libéral Washington Post :
- Le coût du transport d'un conteneur de marchandises a augmenté de 80 % depuis début novembre et a presque triplé au cours de l'année dernière, selon le Freightos Baltic Index.
Si l'inflation diminue, l'augmentation des coûts sera subie par les consommateurs avec des prix plus élevés.
Analogie hypothétique : Au lieu que les détaillants réalisent un profit de 10 $ sur un produit, ils en réalisent maintenant 3 $... ils ne vont pas absorber ces coûts, ils vont forcer les consommateurs à les payer en augmentant les prix de ces produits.
Selon l'article de Wapo, ce sont les changements dans les habitudes de consommation qui ont bouleversé les chaînes d'approvisionnement mondiales.
Citations clés de Wapo, via MSN :
- ..... L'augmentation des prix reflète les changements spectaculaires de la consommation provoquées par les contraintes sanitaires, les consommateurs redirigeant leurs dépenses de loisirs vers l'achat de vêtements, d'ordinateurs, de meubles et d'autres biens importés.
- Il s'agit d'un problème mondial et il pourrait s'aggraver. Selon Ocean Insights, un fournisseur de données, plus d'un tiers des conteneurs qui ont transité par les 20 plus grands ports du monde le mois dernier n'ont pas été expédiés dans les délais prévus.
- Des signes chocs commencent à contrarier les logisticiens des d'entreprises. Le coût des fournitures industrielles importées a fait un bond de 4,2 % en décembre et a augmenté de 27 % depuis avril, les fabricants se plaignant de pénuries de matériaux tels que l'acier.
Ils appellent cela la "poussée d'inflation post-covidienne", nous l'appelons la "poussée d'idiotie". Les réactions excessives de la communauté mondiale (ou idiotie) ont provoqué ces augmentations et ces pénuries, parmi d'autres problèmes qui vont durer bien plus longtemps que le problème initial (ou COVID).
En d'autres termes, si les dirigeants tyranniques n'avaient pas verrouillé des États ou des pays entiers, la chaîne d'approvisionnement n'aurait pas été interrompue et le changement des habitudes de dépense et d'achat n'aurait pas provoqué de pénuries aussi dévastatrices de viandes, de produits, de conserves, de produits de nettoyage, de produits papetiers et d'autres produits de première nécessité.
Les médias indépendants ont constamment averti que le changement de l'offre et de la demande avait submergé le système, et pourtant les points de vente des MSM se sont moqués de ces avertissements, mais maintenant, que disent les MSM ?
"L'augmentation de la demande a submergé le système."
Vous croyez ?
"Il semble que la situation s'aggrave. Je ne pense pas que cela se termine de si tôt", a déclaré Nate Herman, vice-président senior pour la politique de l'American Apparel and Footwear Association.
L'économie mondiale de l'année dernière, avec ses arrêts, a effectivement décalé 5 millions de conteneurs de transport, du premier au second semestre - en plus des flux commerciaux habituels, a déclaré Lars Jensen, directeur général de SeaIntelligence, une société de conseil basée à Copenhague.
"Il y a plusieurs goulets d'étranglement différents en même temps", a déclaré M. Jensen. "C'est comme un accident de train au ralenti."
L'article poursuit en expliquant les problèmes de transport maritime, où parfois de nombreux porte-conteneurs quittent le port avant d'être chargés de produits américains, en déclarant : "Cette pratique a irrité les agriculteurs américains, qui disent que le refus des expéditeurs de faire entrer les conteneurs dans le centre augmente leurs coûts et leur fait perdre des ventes à l'étranger de soja, de céréales et de bois. Une coalition d'exportateurs agricoles a écrit ce mois-ci aux responsables de la transition Biden pour se plaindre du "dysfonctionnement de la chaîne d'approvisionnement" et soutenir une enquête en cours de la Commission maritime fédérale sur le comportement des chargeurs".
Une fois de plus, soit ces agriculteurs absorbent leurs pertes, comme ils ont été contraints de le faire au début des fermetures, après avoir dû détruire leurs propres récoltes et leur propre bétail, soit ils vendent à un prix beaucoup plus élevé, que les détaillants augmentent aussi, de sorte que ce sont les consommateurs qui en absorbent les coûts.
C'est un cercle vicieux et il n'y a pas de fin en vue
DES PÉNURIES CONTINUERONT D'APPARAÎTRE
Nous avons constaté la manière dont les gammes de produits ont été gérés, où les produits les plus populaires sont proposés en quantité et d'autres, secondaires, arrêtés "temporairement" de production.
Ce n'est pas nouveau, car nous avions vu ce genre de pratique au milieu des années 20, mais ils ont souvent été minimisés ou enterrés sous les opinions politiques des journalistes, qui préfèrent se concentrer sur leur activisme plutôt que de rapporter les nouvelles qui affectent la stabilité alimentaire des Américains.
Wall Street Journal à la fin du mois de juin 2020 :
Les entreprises orientées vers les consommateurs ont passé les dernières décennies à essayer de satisfaire tout le monde. La pandémie a rendu cela impossible, et aujourd'hui, certaines ne prévoient plus d'essayer. Les vendeurs de chips, de voitures, de repas et autres ont réduit leur offre depuis que le coronavirus a paralysé les chaînes d'approvisionnement et ramené les consommateurs vers des marques connues.
La liste partielle des entreprises qui modifient leurs produits et leurs choix de variétés comprend : PepsiCo Inc. en Amérique du Nord, Frito-Lay, J.M. Smucker Co, Bolthouse Farms, Nestlé SA abandonne définitivement certaines variétés de Lean Cuisines, IGA, Darden Restaurants Inc, McDonald's Corp, Bloomin' Brands Inc, propriétaire d'Outback Steakhouse, les constructeurs automobiles, les concessionnaires Harley-Davidson, Tysop Foods et d'autres transformateurs de viande, la brasserie Deschutes et les aliments Bumble Bee, ne sont que quelques-unes des entreprises, ce qui montre que ces problèmes de chaîne d'approvisionnement ont affecté presque tous les aspects de la consommation.
Certains grands magasins situés dans des zones plus peuplées ont également réorganisé leurs rayonnages et leur agencement, pour entasser plus d'articles dans une zone plus petite, de manière à ce qu'ils semblent être "pleins", plus remplis qu'ils ne le sont réellement.
Les experts prédisent également que certains aliments frais vont "disparaître" des magasins, comme le lait, le miel et les viandes d'élevage industriel.
Il s'agit d'articles qui peuvent être achetés comme matériel de survie d'urgence, soit en boîtes de conserve individuelles ou en paquets, soit en vrac.
Bien que la PNA dispose d'une page "Still/back in stock" fréquemment mise à jour, certains aliments lyophilisés de survie sont de nouveau en stock... du moins pour l'instant.
[...]
Les médias ont minimisé la gravité des avertissements concernant les pénuries passées et leur impact sur l'approvisionnement déjà tendu, ainsi que les prévisions de nouvelles pénuries à venir et d'articles dont la livraison a déjà été retardée depuis leur commande.
Bien que beaucoup ne remarquent pas à quel point la situation est grave en ce moment, les articles traitant de ces pénuries passées, présentes et attendues, montrent que les industriels, qu'il s'agisse d'appareils électroménagers, de produits alimentaires ou de produits papetiers, appellent cela un "accident de train".
Les médias ont minimisé la gravité des avertissements concernant les pénuries passées et leur impact sur l'approvisionnement déjà tendu, ainsi que les prévisions de nouvelles pénuries à venir et d'articles dont la livraison a déjà été retardée depuis leur commande.
Bien que beaucoup ne remarquent pas à quel point la situation est grave en ce moment, les articles traitant de ces pénuries passées, présentes et attendues, montrent que les industriels, qu'il s'agisse d'appareils électroménagers, de produits alimentaires ou de produits papetiers, appellent cela un "accident de train".
Par Susan Duclos
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