Au Japon, l'association médicale de Tokyo recommande l'administration d'ivermectine pour éviter l'aggravation, d'après un article du site Nikkei dont nous reproduisons un extrait traduit :
Lors d'une conférence de presse le 9 février, le président de l'Association médicale de Tokyo, Haruo Ozaki, a recommandé l'utilisation d'urgence de médicaments, principalement pour prévenir l'aggravation des soignants à domicile afin de répondre à la propagation de la nouvelle infection à coronavirus. Il a souligné que les médicaments antiparasitaires tels que "l'ivermectine" devraient être administrés aux personnes infectées par la corona, affirmant qu'ils se sont avérés efficaces pour prévenir l'aggravation à l'étranger.
En plus de l'ivermectine, il a appelé le gouvernement à approuver l'utilisation de l'anti-inflammatoire stéroïdien dexaméthasone. M. Ozaki a déclaré: «(Les deux) ont peu d'effets secondaires. J'aimerais que le gouvernement envisage de faire en sorte que le traitement puisse être effectué au niveau d'un médecin de famille.
L'ivermectine et la dexaméthasone sont toutes deux prescrites dans le pays. Cependant, il n'a pas été approuvé comme traitement pour corona. En date du 8, il y a environ 1 600 récupérateurs à domicile à Tokyo et environ 1 600 personnes infectées qui sont «sous ajustement» car la destination d'hospitalisation n'a pas été décidée. Comment faire face aux changements soudains de la condition physique des patients de soins à domicile qui sont souvent légers ou asymptomatiques est également un problème.
L'OMS a de son côté annoncé des nouvelles dans six semaines, ce
qui n'a pas manqué de susciter des réactions chez les défenseurs de
traitements précoces, peu chers et disponibles, et éprouvés par des
études qui ont pour seul tort de n'être pas faites dans des pays riches,
occidentaux et industrialisés.
Andrew Hill, que nous avions reçu pour un Debriefing, a présenté sa méta-analyse commanditée par l'OMS lors d'une visioconférence que nous relayons ici, sous-titrée en français et proposée par @Gabinjean3 que nous remercions.
Mise à jour 17h28 : ajout de la vidéo de l'OMS traduite en français ci-après
Mise à jour le 17 février 2021 à 00:54
Un article de AFP datant du 2 février 2021, qui concluait que l'efficacité de l'ivermectine n'est pas scientifiquement prouvée, n'est toujours pas mis à jour. En omettant des informations importantes et ne mettant pas à jour cet article suite aux diverses communications, l'AFP et sa journaliste Julie Charpentrat commettent une fake news. Par exemple, l'AFP ne mentionne pas le debriefing que nous avons effectué avec le Pr Hill ou les diverses analyes, préférant se cantonner à des "opinions" fournis par divers instituts. L'AFP ne mentionne pas non plus le rapport scientifique remis par Me Teissedre à l'ANSM début février qui contient une revue des études et preuves disponibles. De manière additionnelle, Me Teissedre rappelait lors de l'audience au Conseil d'Etat que, pour obtenir une recommandation temporaire d'utilisation, la simple présomption d'efficacité suffit. En résumé l'article de l'AFP ne représente pas une analyse objective de l'état de la science. Nous regrettons que ce manque de discernement induise le lecteur en erreur en omettant des informations critiques. Les preuves s'accumulent en faveur de l'efficactité de l'ivermectine, au Japon, elle est recommandée. Rappelons que l'AFP était très prompt à publier l'information sur l'étude Lancet le 22 mai 2020 et à vanter les mérites du remdesivir sur la base de simple communiqué de presse de son fabricant sans aucune autre forme d'analyse.
La France au travers de son agence du médicament aura démontré qu’elle est incapable de voir seule l’évidence, qu’elle a perdu sa souveraineté et sa clairvoyance en attendant le feu vert d’un escargot.
Ne serions-nous pas aussi en face du plus grand scandale sanitaire de tous les temps? Celui de la perte de chance.
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