Elle était remontée comme une pendule, ce soir, Maryse Joissains, lorsque sont tombées les annonces gouvernementales. "Une catastrophe, je saute sur place, je suis dans une colère monstre", lâchait le maire d’Aix-en-Provence, pour qui ces mesures sont complètement disproportionnées. "Nous avons 5 malades en réanimation, et 10 personnes hospitalisées dans toute la ville" argumente-t-elle.
Le maire pointe du doigt le gouvernement : "Je n’ai jamais vu ça ! Ça va trop loin ! Leur rôle est de protéger, de prévenir, voire de sanctionner, mais pas d’instaurer un climat anxiogène comme cela ! Les gens ne vont plus vouloir mettre leurs enfants à l’école, les commerçants vont faire faillite ! Il faut calmer les gens, ils font tout le contraire... Là, on dérape, moi je dis : ferme-la, Veran ! La haute administration est en train de devenir folle".
Maryse Joissains le dit sans ambage : "Je considère que le gouvernement est directement responsable de la grave crise économique qui s’annonce. Je n’ai pas envie qu’on ruine ma ville, mes commerçants".
Le maire pointe du doigt le gouvernement : "Je n’ai jamais vu ça ! Ça va trop loin ! Leur rôle est de protéger, de prévenir, voire de sanctionner, mais pas d’instaurer un climat anxiogène comme cela ! Les gens ne vont plus vouloir mettre leurs enfants à l’école, les commerçants vont faire faillite ! Il faut calmer les gens, ils font tout le contraire... Là, on dérape, moi je dis : ferme-la, Veran ! La haute administration est en train de devenir folle".
Maryse Joissains le dit sans ambage : "Je considère que le gouvernement est directement responsable de la grave crise économique qui s’annonce. Je n’ai pas envie qu’on ruine ma ville, mes commerçants".
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