08 décembre 2020

Le temps est venu pour les Français de se rebeller


… contre les confinements, les décrets liberticides, les masques et les vaccinations contraintes...

La population est maintenant confrontée à des questions importantes concernant l’avenir de la réponse à la fable pandémique. Le gouvernement a décidé d’introduire une succession sans fin de « décrets » pour restreindre les libertés des citoyens, les ouvertures de magasins, d’entreprises et toutes les activités publiques.

Véran passe son temps à la télévision, exhortant les familles à fuir Noël, répétant aux Français "qu'ils doivent suivre les consignes". Les médias subventionnés insufflent la peur et dépeignent des images apocalyptiques de peste et de mort partout, alors que les hôpitaux sont pratiquement vides. Un énième reconfinement est déjà programmé en janvier...

En avril de cette année, j’ai publié un article intitulé "Vagues de mutilation : La tyrannie médicale et la société sans cash" , qui décrivait un modèle d’ingénierie sociale mis en avant par les globalistes, que j’ai appelé « théorie des vagues ». Ce modèle fonctionne essentiellement de la manière suivante :

Les gouvernements doivent se servir de la pandémie pour justifier des « vagues » de confinements restrictives, suivies de déconfinements contrôlés de l’économie et de l’activité humaine normale. Les globalistes affirment que cela permettra de « ralentir » la propagation du coronavirus et de sauver des vies. Cependant, ils admettent aussi ouvertement que ces cycles de confinements et de déconfinements ont d’autres usages.

Avec le temps, les citoyens s’habituent à l’intrusion des pouvoirs publics dans leur vie quotidienne, et ils s’habituent à l’idée que la bureaucratie leur dise ce qu’ils ne sont pas autorisés à faire dans les activités les plus simples. Le système bloque ainsi toutes les interactions humaines au point que nous demandons constamment la permission. Nous devenons esclaves de la réponse Covid.
Comme l’a déclaré le globaliste Gideon Lichfield du MIT dans son article.


En fin de compte, le gouvernement va rétablir progressivement une capacité de socialiser sécuritaire, en développant des moyens sophistiqués pour identifier qui serait à risque et qui ne le serait pas, en discriminant juridiquement ceux qui le sont.

… on peut imaginer un monde dans lequel, pour prendre un vol, il faudra peut-être présenter un pass numérique. La compagnie aérienne affichera une alerte sur son terminal d'enregistrement si vous n'êtes pas vacciné, testé, ou si vous avez été à proximité de personnes infectées connues, ou de foyers de la maladie. Les mêmes exigences s’appliqueraient à l’entrée des salles de spectacles, de cinémas, des bâtiments publics ou des centres de transport public. Il y aurait des scanners de température partout, et votre employeur pourrait exiger que vous portiez un moniteur qui surveille votre température ou d’autres signes vitaux. Si les boîtes de nuit demandent une preuve d’âge, elles pourraient aussi exiger une preuve d’immunité – votre pass numérique permettant la vérification via une base donnée centralisée que vous vous êtes déjà remis ou que vous avez été vacciné contre les dernières souches de virus.

Notez que certains ont suggéré que pour participer à l’économie normale, vous pourriez avoir besoin de prouver que vous avez été « vacciné contre les dernières souches de virus ». En d’autres termes, les élites programment déjà de nouveaux événements, de nouvelles mutations virales après la fin du Covid-19, et les restrictions et contrôles que nous voyons aujourd’hui sont censés continuer, peut-être pour toujours.

La réalité est que le modèle des vagues n’est pas un plan efficace pour arrêter la propagation virale, mais c’est une méthode parfaite pour conditionner les gens à se soumettre à un niveau élevé de contrôle sur leur vie personnelle, qu’ils n’auraient jamais accepté autrement. La réponse au Covid a également été saluée par les élites au Forum économique mondial comme une « occasion » parfaite pour lancer ce qu’elles appellent le « Grand Reset« . La réinitialisation est un plan visant à déconstruire ce qui reste du système capitaliste du marché libre, à introduire des contrôles autour du carbone au nom de la fraude sur le réchauffement climatique, à instituer un système monétaire global sans cash et, enfin, à faire entrer l’humanité dans ce qu’ils appellent une « économie partagée » dans laquelle le citoyen moyen n’est plus autorisé à posséder une quelconque propriété privée et dépend entièrement du système pour ses besoins de base.

Bien entendu, un système aussi complexe de « solutions » (domination) sur chaque individu devrait être géré de manière très centralisée. Autrement dit, la gouvernance globale par l’establishment élitiste serait le résultat final. Naturellement…. les globalistes prendraient à contrecœur les rênes du pouvoir pour « le plus grand bien ».

C’est la situation globale, la menace sous-jacente au cœur des confinements et des lois Covid. Cela dit, il existe également de nombreux arguments fondés sur la logique et les preuves qui expliquent pourquoi les gens n’ont aucune raison de se soumettre à de telles restrictions. Présentons-les sous la forme d’une simple liste :

Le coronavirus tue moins de 1 % des personnes qu’il infecte

Les études médicales indiquent que le taux de mortalité par coronavirus des citoyens ne vivant pas dans des maisons de retraite se maintient bien en dessous de 1 % en moyenne. Le pourcentage le plus élevé de décès a été enregistré dans les maisons de retraite, pour les personnes âgées souffrant de maladies préexistantes. Les personnes vivant dans des établissements de soins de longue durée représentent 8 % des cas d’infection par les coronavirus, mais 45 % de l’ensemble des décès dus aux coronavirus.

La pneumonie/grippe tue environ 9.000 Français chaque année, et cela malgré les vaccinations. Pourtant, nous sommes censés paniquer et céder toutes nos libertés au nom de l’arrêt d’une maladie qui touche un pourcentage infime de la population ? C’est pourquoi les médias et les gouvernements ont décidé de se focaliser sur le nombre d’infections plutôt que sur les décès. Le nombre de décès ne justifie pas le degré de panique que l’establishment tente de fomenter.

Les confinements détruisent l’économie et c’est l’objectif

C’est une question de mathématiques et de finance de base ; le secteur des petites entreprises de l’économie est en train de mourir. Les petites entreprises représentent environ 50 % de l’emploi. L’argent du renflouement en raison de la Covid-19, n’est pas parvenu à la grande majorité des petites entreprises qui étaient censées le recevoir. Beaucoup d’entreprises qui ont bénéficié d’un prêt sont au bord de la fermeture ou de la faillite. Tout nouveau confinement sera le dernier clou du cercueil pour l’économie française, à l’exception des grandes entreprises qui se taillent la part du lion des fonds de relance.

Combien de vies seront détruites à cause de la pauvreté et de l’effondrement économique, si la tendance actuelle se poursuit ? Ce sera bien plus que le nombre de vies perdues à cause du Covid-19.

Pourquoi personne ne parle-t-il de la solution la plus pratique pour lutter contre la pandémie ? Le petit pourcentage de personnes qui sont les plus exposées au risque peut rester chez lui et prendre les précautions nécessaires, pendant que le reste d’entre nous poursuit sa vie. Pourquoi nous ordonne-t-on de faire exactement le contraire, juste pour que moins de 1 % de la population se sente plus en sécurité ? En quoi cela est-il logique, raisonnable ou scientifique ? La seule réponse logique est que la réaction de confinement vise à contrôler, et non à sauver des vies.

Les lois sur les masques ne sont pas scientifiques

Il semblerait que les masques soient un placebo ; s’ils avaient réellement fonctionné, alors nous devrions connaître une baisse spectaculaire du nombre de cas, et non une augmentation.

En outre, pourquoi le gouvernement tente-t-il de forcer les citoyens à porter des masques à l’extérieur, en plein air et au soleil, alors que les virus ne peuvent pas survivre dans de telles conditions ? La lumière UV du soleil est le stérilisateur de la nature, mais personne dans les médias dominants ou au sein du gouvernement ne reconnaît ce fait scientifique. Cela montre une fois de plus que les lois sur les masques sont une question de contrôle, et non de science ou de sauvetage de vies.

La vaccination est inutile et potentiellement dangereuse

Pourquoi les gens devraient-ils se faire vacciner contre un virus dont plus de 99% d’entre eux survivront facilement de toute façon ? Pourquoi ne pas simplement obtenir une « immunité collective » par la propagation naturelle de l’infection et par des anticorps ? Les médias grand public continueront d’ignorer ces questions parce qu’elles ne sont pas adaptées à l’agenda globaliste.

En outre, pourquoi faire confiance à un vaccin qui a été lancé comme un paquet de lessive en moins d’un an ? La Chine et le reste du monde ont passé plus d’une décennie à essayer de développer un vaccin contre le SRAS sans succès, mais nous sommes censés croire qu’ils ont réussi à créé un vaccin contre le Covid-19, lié au SRAS, en quelques mois ?

La dernière fois qu'un gouvernement s’est empressé de mettre au point un vaccin à la va vite contre une épidémie virale, c’était en 1976, lors de la crise de la grippe porcine, qui s’est soldée par de nombreux décès et des dommages permanents dus aux vaccins défectueux.

Comme je l’ai noté dans mon article « Pourquoi le public devrait se rebeller contre les vaccinations forcées« , publié en mai, il existe de nombreux exemples de tests et de mise en œuvre de vaccins qui ont mal tourné, de Bill Gates et de l’Organisation mondiale de la santé, qui ont vacciné des personnes contre la polio dans différents pays, à Novartis qui a testé un vaccin contre la grippe aviaire sur des sans-abri en Pologne provoquant des morts, en passant par GlaxoSmithCline et la mort d’enfants à cause de son vaccin contre la pneumonie.

Une fois de plus, le risque n’en vaut tout simplement pas la peine, alors que plus de 99 % des gens survivront à un virus. L’idée qu’un tel risque soit imposé au public est totalement inacceptable, mais de nombreux responsables gouvernementaux ont soutenu cette idée au cours des six derniers mois. Il est important que le public fasse clairement savoir dès maintenant qu’il ne permettra pas aux gouvernements des États ou au gouvernement fédéral de rendre la vaccination obligatoire.

La rébellion est nécessaire pour mettre un terme à la machine de la peur

En conclusion, il existe une infinité de raisons pour lesquelles nous devons mettre fin une fois pour toutes au programme de confinement de la fable pandémie. Les mesures de confinement, les masques et les plans de vaccinations massives sont un tremplin vers quelque chose de bien pire : une tyrannie médicale et une centralisation à une échelle sans précédent. Je ne suivrai pas personnellement de telles règles parce qu’elles ne sont pas scientifiquement ou moralement fondées. Ce sont des absurdités destinées à effrayer le public, le briser, et à l’amener à la soumission et au consentement.

Une rébellion contre de telles mesures serait très facile à gagner. Il suffit de refuser de suivre leurs plans. Que vont-ils faire ? Enfermer des millions de personnes ? Nous abattre ? Cela irait à l’encontre du but supposé des mesures qu’ils exigent que nous suivions. Et, s’il s’agit de violence, qu’il en soit ainsi. Je n’ai aucun problème à me battre pour défendre mes libertés et celles des générations futures. Il est peut-être temps que la majorité silencieuse qui s’oppose au confinement s’organise pour ce futur possible.

D’après un texte de Brandon Smith adapté à la France
Traduit par Hervé pour le Saker Francophone

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