02 décembre 2020

Dans les coulisses des Terres du Marigot

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[...] Il y a la question du Kraken. Peut-être Sidney Powell ne parlait-elle pas seulement au sens figuré du monstre des profondeurs. Le Kraken, apparemment, est un véritable système informatique développé par le ministère de la défense (DoD [Pentagone]) pour dénicher des programmes informatiques malveillants qui pourraient être déployés dans le cadre d'une cyberguerre...

ou d'élections louches. Miz Powell a eu toute l'année des relations juridiques avec le général Mike Flynn, l'ancien chef de l'Agence de renseignement de la Défense, accusé à tort par le FBI, maintenant gracié, libre de parler et d'agir. Pensez-vous que le général Flynn ne soit pas au courant des capacités de cyberguerre des agences de renseignement ? Ou qu'il ne connaisse pas de techniciens militaires qualifiés qui peuvent expliquer, par exemple, devant un tribunal, comment le Kraken pourrait être utilisé ? Ou encore comment le Kraken recoupe les deux programmes de piratage des élections propres à la CIA, Hammer et Scorecard ?

Ensuite, il y a la question de savoir où ces agences se situent les unes par rapport aux autres ces jours-ci. Ce n'est pas pour rien que le président a limogé l’insolent et insubordonné secrétaire à la défense (SecDef) Mark Esper et l’a remplacé par Christopher Miller, un membre des Forces Spécial, auparavant adjoint au SecDef chargé de la lutte contre le terrorisme, du programme MISO (Military Information Support Operations), des opérations de guerre de l’information, de la guerre non conventionnelle, de la guerre hybride, de l’“action directe”, des opérations de “reconnaissance spéciale”, de la défense intérieure contre les opérations étrangères, de la lutte contre la prolifération, bref des opérations spéciales sensibles en général.

Cela ressemble un peu à l'ensemble des compétences dont vous auriez besoin pour combattre les opérations de “résistance” (anti-Trump) de plusieurs agences gouvernementales américaines dans leur quête de quatre années pour renverser le chef de l’exécutif, culminant dans ce coup d’éclat électoral, – et, parmi ces agences, spécialement la CIA. D'une certaine manière, quand je pense à la CIA je pense au sinistre John Brennan [l’ancien directeur jusqu’à l’arrivée de Trump], architecte du RussiaGate et probablement aussi d’une certaine manière à l'origine de l'activation de son protégé, le “lanceur d’alerte” (et agent de la CIA) Eric Ciaramella, la taupe qui a été autorisée à se retirer dans la forteresse de la CIA pour se protéger de toute conséquences après son acte séditieux, servant à renforcer le dossier de la destitution de Trump. Remarquez que Brennan a tweeté comme un fou ces derniers jours pour dénoncer les sceptiques électoraux. S’inquiète-t-il de quelque chose ? Tout cela soulève des questions : quel rôle l'agence a-t-elle joué dans l'élection, avec ses irrégularités mystificatrices dans le décompte des votes ? Brennan exerce-t-il toujours une influence au sein de la CIA ? L’Agence est-elle un ennemi du peuple ?

Ensuite, à votre avis que s’est-il réellement passé à la station des serveurs informatiques de Francfort, en Allemagne, après l'élection ? Les conversations sur le web indiquent que le site de Francfort était une installation de la CIA, et qu’une sorte d’unité des Special Forces de l’US Army a fait une descente de force après le 3 novembre, qu’elle a pris possession des serveurs informatiques qui étaient utilisés pour recevoir les résultats des votes des machines Dominion aux États-Unis. Il y a même une rumeur selon laquelle certaines personnes [dont le chef de la station de la CIA] auraient été blessées au cours de l’opération (non confirmée). Ces serveurs contiennent-ils des preuves réelles de falsification des votes ? C'est ce que je pense. Nous le saurons peut-être cette semaine.

Et si la CIA et d’autres acteurs, – peut-être même dans des pays étrangers, – s’efforçaient de truquer l’élection pour s’assurer que Trump soit finalement démis de ses fonctions, cela ne constituerait-il pas une sorte de trahison ? Le gouvernement américain est-il en guerre contre lui-même ? Si oui, le président n'a-t-il pas le devoir de faire quelque chose à ce sujet ? Est-il en train de faire quelque chose... dont le public n'est pas encore conscient pendant et après la semaine des vacances ? Biden et Kamala Harris étaient-ils au courant de tout cela ? Des allégations (accompagnées de preuves concrètes) sont apparues en octobre, selon lesquelles Biden et sa famille auraient reçu de grosses sommes d’argent pour des services rendus par plusieurs pays [dont la Chine] considérés comme non amis des États-Unis. C’est peut-être juste un aparté de l’opération électorale, mais cela sonne grave, compte tenu de la situation. Une autorité raisonnable pourrait désigner Joe Biden comme un risque pour la sécurité nationale. Une telle personne ne devrait pas être autorisée à prêter serment pour occuper la plus haute fonction dans ce pays.

Ainsi, avec Thanksgiving derrière nous, et Noël dans un mois (et un Noël Covid très chargé, en plus), et la date limite pour la certification des votes électoraux des États et la réunion effective des collèges électoraux qui se profilent à l’horizon, nous pourrions nous préparer à assister à des choses très bizarres à et autour de Washington, DC. À moins que tout cela ne soit qu'un mauvais rêve... Une théorie de la conspiration... Un ramassis de dingues déplorables et maussades, qui refusent de se plier aux consignes et qui seront traités durement et fermement par leurs supérieurs, comme ils le méritent. Dans l’attente... tout comme vous... des développements.

James H. Kunstler

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