Lorsque l’on écoute, avec effarement, le nouvel avocat de Didier Raoult (menacé de mort révèle-t-il aussi) indiquer par exemple que le nombre de réanimations est volontairement gonflé en ce sens où certains n’auraient besoin que d’une "simple" oxygénation (ce que Martine Wonner avait déjà signalé, sans parler de Louis Fouché) et qu’existent des pressions pour que des revues n’acceptent plus d’articles favorables au traitement préconisé par Raoult (entre autres) cela interroge; lorsque l’on apprend également que l’hôpital de celui-ci risque de ne plus avoir la possibilité de soigner selon son protocole parce que son fournisseur est empêché de l’approvisionner par le ministère de santé via ses officines, cela inquiète vraiment; et lorsque, par contre, l'on découvre, avec étonnement, les colères, disproportionnées, d’un ministre français de la santé alors qu’il fait tout pour empêcher que cela aille mieux en interdisant par exemple aux médecins de prescrire, les bras en tombent ; enfin, lorsque l'on observe ce qui se passe très troublant dans certains États américains lors de l'élection présidentielle, il s'avère que tout cela, réunis, désigne bien, au-delà de leurs différences et causalités non nécessairement liées, la réalité d’un même état d’esprit imbu de cynisme avare et hypocrite poussé jusqu’à la monstruosité.
Il y a bien, certes, l’entêtement, l’aveuglement, la bêtise, la jalousie, la cupidité, mais aussi, visiblement, la monstruosité humaine, celle d’une cruauté jouissive articulant façon S.M bourreaux et victimes (Portier de Nuit, Stockholm, Salò ou les 120 jours de Sodome...), ce qui nécessite alors une psychologie spécifique : la tératologie.
J’ai pu expliquer dans la réédition de La philosophie cannibale (2019) comment des esprits fascinés par la puissance de pouvoir plier la réalité à leurs fantasmes, et aussi par le prestige d’aller plus loin que la génération précédente dans une telle mise en pratique de ses idées, jouissaient, littéralement de satisfaction avide; surtout lorsque ces deux éléments (pouvoir et prestige) peuvent en même temps exacerber leur narcissisme à travers le miroir démultiplié des médias; sans parler du fait de les enrichir (tout en le niant).
J’ai pu expliquer dans la réédition de La philosophie cannibale (2019) comment des esprits fascinés par la puissance de pouvoir plier la réalité à leurs fantasmes, et aussi par le prestige d’aller plus loin que la génération précédente dans une telle mise en pratique de ses idées, jouissaient, littéralement de satisfaction avide; surtout lorsque ces deux éléments (pouvoir et prestige) peuvent en même temps exacerber leur narcissisme à travers le miroir démultiplié des médias; sans parler du fait de les enrichir (tout en le niant).
J'ai pu montrer comment de tels esprits, placés par ailleurs dans une ambiance intellectuelle considérant le crime comme une preuve de supériorité sur le “bien” de la Tradition, pouvaient s’abîmer dans toute une une ambiance et des comportements démesurés; le tout démultiplié avec la prise de drogues, leurs interventions médiatiques, amplifiant un sentiment d’invincibilité, de supériorité, voyant de haut le monde et tout en bas les “sans dents” ; ce qui démultiplie en retour l’ivresse de puissance et de gloire; classant alors avec mépris et colère tout contradicteur comme étant nuisible à écarter immédiatement par sa mort médiatique et sociale décrétée partout.
Ce dernier élément n’est pas nouveau certes. Mais il y a tout de même ce fait inédit, aujourd’hui, d'une conjonction globale et mondiale instantanée ou quasiment entre cette volonté ratiocinante et scientiste de prétendre détruire tous les virus une fois pour toutes, d’effacer définitivement l’empreinte humaine sur le climat, d’éliminer la différence de genre, de réduire la haine à la seule détestation etc etc, d’une part, et, d’autre part, la prétention d'appliquer pour y arriver l’éternel “whatever it takes” peu importe les moyens si la fin est jugée fondamentale, on ne fait pas d’omelette etc etc.
D’où l’idée de bourrer les urnes puisqu'il s'agit d'écarter le "méchant", d'écarter les mal pensants, de réduire les individus à des prothèses, bref (se) réaliser exactement (dans) l’Idée que l’on prétend combattre officiellement : le totalitarisme.
Aussi diaboliser un traitement, mentir, empêcher, terroriser, tout cela n’est rien si l’on est “au-delà du bien et du mal”, surtout si l’on jouit en permanence tout en haut d’un quartier général affichant comme lustre le Tableau de Commande géant montrant diverses courbes faisant office de Réalité désormais; tandis que les téléphones crépitent et que les machines vivantes et artificielles s’affairent.
Voir le monde s’éteindre rue par rue, âme après âme, et se dire : I do it !
Chère lectrice, cher lecteur,
Ce dernier élément n’est pas nouveau certes. Mais il y a tout de même ce fait inédit, aujourd’hui, d'une conjonction globale et mondiale instantanée ou quasiment entre cette volonté ratiocinante et scientiste de prétendre détruire tous les virus une fois pour toutes, d’effacer définitivement l’empreinte humaine sur le climat, d’éliminer la différence de genre, de réduire la haine à la seule détestation etc etc, d’une part, et, d’autre part, la prétention d'appliquer pour y arriver l’éternel “whatever it takes” peu importe les moyens si la fin est jugée fondamentale, on ne fait pas d’omelette etc etc.
D’où l’idée de bourrer les urnes puisqu'il s'agit d'écarter le "méchant", d'écarter les mal pensants, de réduire les individus à des prothèses, bref (se) réaliser exactement (dans) l’Idée que l’on prétend combattre officiellement : le totalitarisme.
Aussi diaboliser un traitement, mentir, empêcher, terroriser, tout cela n’est rien si l’on est “au-delà du bien et du mal”, surtout si l’on jouit en permanence tout en haut d’un quartier général affichant comme lustre le Tableau de Commande géant montrant diverses courbes faisant office de Réalité désormais; tandis que les téléphones crépitent et que les machines vivantes et artificielles s’affairent.
Voir le monde s’éteindre rue par rue, âme après âme, et se dire : I do it !
Chère lectrice, cher lecteur,
Vous avez lu et apprécié notre article et nous vous en remercions. Pour que nous puissions poursuivre notre travail d’enquête et d’investigation, nous avons besoin de votre aide. FranceSoir est différent de la plupart des medias Français :
- Nous sommes un média indépendant, nous n’appartenons ni à un grand groupe ni à de grands chefs d’entreprises, de ce fait, les sujets que nous traitons et la manière dont nous le faisons sont exempts de préjugés ou d’intérêts particuliers, les analyses que nous publions sont réalisées sans crainte des éventuelles pressions de ceux qui ont le pouvoir.
- Nos journalistes et contributeurs travaillent en collectif, au dessus des motivations individuelles, dans l’objectif d’aller à la recherche du bon sens, à la recherche de la vérité dans l’intérêt général.
- Nous avons choisi de rester gratuit pour tout le monde, afin que chacun ait la possibilité de pouvoir accéder à une information libre et de qualité indépendamment des ressources financières de chacun.
Alors si vous souhaitez nous aider, c’est maintenant. Vous avez le pouvoir de participer au développement de FranceSoir et surtout faire en sorte que nous poursuivions notre mission d’information. Chaque contribution, petite ou grande, est importante pour nous, elle nous permet d'investir sur le long terme. Toute l’équipe vous remercie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.