Ce quelque chose de méchant dont nous avons parlé, qui vient vers nous… ? Eh bien, il est venu. Maintenant, nous savons pourquoi Nancy Pelosi court partout avec un masque d’effroi, les cheveux en feu, et ce n’est pas seulement une anticipation macabre d’Halloween. Son parti Démocrate est en coma dépassé. Il est criblé du cancer du mensonge et des trous de ver du crime, acquis après des décennies de jeu à court terme et lâche avec l’appareil gouvernemental. Nancy en a été informée et elle reste coincée dans la phase de rage du cycle de deuil. Quelqu’un lui a envoyé une copie de ce disque dur. Ce qu’elle voyait mal se finir se révèle en fait pire que ce qu’elle pensait.
J’ai une théorie à propos de Joe Biden : il ne voulait pas se présenter à la présidence. Pas une seule fois. Il voulait une retraite agréable et tranquille, avec sa grosse pension de l’État et les millions qui avaient été versés sur son compte bancaire au fil des ans. Il avait un fabuleux patrimoine de 16 millions de dollars avec lequel il pouvait jouer avec ses petits-enfants bien-aimés. Le brouillard cérébral qui se développait était en fait un réconfort, lui permettant d’oublier les rigueurs du service public et tous les cocktails fastidieux … honorifiques, dirons-nous. Mais ensuite, ils sont venus le chercher… !
Le Parti l’a appelé. Plus précisément, son vieux kemosabe, Barack Obama, l’a appelé pour cette sinistre réunion et lui a annoncé la mauvaise nouvelle : « Joe, tu dois y aller. Bernie, Liz et les autres clowns ne veulent pas s’en mêler. Tu es plongé dans cette histoire aussi profond que nous et ça devient un poil tendu. Tu dois le faire pour le bien du parti, et de tous nos … amis … »
C’est ainsi que Joe Biden a été forcé de se présenter à la présidence. Il s’est vu confier un garde du corps en la personne des médias d’information, y compris les nouveaux venus si importants, les médias sociaux, Twitter et Facebook, où, de plus en plus, l’information est centralisée pour être transmise aux électeurs. Ils le protégeraient infailliblement de tout récit préjudiciable. En fait, ils allaient générer de puissants contre-récits pour maintenir leurs adversaires en porte-à-faux. Si Joe pouvait tenir jusqu’au 3 novembre, ils pourraient laisser tous leurs… problèmes… au repos, enterrer toutes ces insinuations ennuyeuses sur l’État Profond et ses super-bouffons (ha !), et enfin respirer tranquillement.
Ainsi, après avoir été qualifié de vieux raciste par ses adversaires, et avoir été battu dans l’Iowa et le New Hampshire, Joe a en quelque sorte réussi à renverser la table lors du Super Tuesday – apparemment grâce à l’approbation unique et magique d’un membre du Congrès James Clyburn (SC, 6e district), un récit qui a été avalé comme une huître de May River par les crétins de tout le pays. Et ainsi oint, Joe s’est retiré dans son légendaire sous-sol pendant toute la saison électorale, s’aventurant par intermittence dans des parkings vides et des hangars d’avions pour offrir une preuve de vie tandis qu’une campagne de désinformation à coup de sondages menée par son garde du corps médiatique garantissait son inévitable victoire. En septembre, tout semblait acquis… j’en avais pris mon parti …
Et puis, quelque chose s’est cassé. Grace à une info, en fait un miracle compte tenu du fait que le New York Times, le WashPo, CNN, MSNBC et tous les autres avaient sauté dans le train Démocrate. Vers le milieu de l’année 2019, un certain jamoke, dans l’État du Delaware, a pris possession d’ordinateurs portables amenés pour réparation à cause de dégâts des eaux. Quoi ?? Ils seraient tombés dans un jacuzzi ?? Quoi qu’il en soit, le client, un certain R. Hunter Biden, n’a jamais récupéré (ou payé) les ordinateurs qui, selon la loi du Delaware et le contrat de service de l’atelier de réparation informatique, sont devenus la propriété dudit atelier de réparation et de son propriétaire, le jamoke en question, un certain John Paul Mac Issac. Mac Issac a jeté un coup d’œil à l’intérieur de l’un d’entre eux qui fonctionnait encore – maintenant légalement sa propriété – et, voilà qu’il a remarqué des noms familiers parmi les courriels ainsi qu’une vidéo impressionnante du propriétaire de l’ordinateur portable qui consommait de la drogue tout en s’amusant avec une femme nue.
M. Mac Issac a contacté le FBI. Au début, ils l’ont écarté, mais des semaines plus tard, ils se sont présentés avec une assignation à comparaître pour l’ordinateur et l’ont saisi. La période de mise en accusation était arrivée ! L’agent de la CIA Eric Ciaramella, conseillé par son collègue du NSC, le colonel Alexander Vindman, avait préparé une plainte de « dénonciation » pour le membre du Congrès en croisade et impresario de RussiaGate Adam Schiff (D-CA), et le jeu était lancé ! M. Mac Issac a apparemment suivi le feuilleton de mise en accusation sur les ondes. La procédure ne mentionnait pas l’ordinateur portable et les informations, ou, disons, les preuves, qu’il contenait. Il a commencé à comprendre l’importance du matériel jeté sur ses genoux par ce client capricieux, R. Hunter Biden, et s’est demandé pourquoi le FBI ne faisait que s’asseoir sur tout cela. On aurait pu penser que le FBI aurait remis tout cela aux avocats du président, puisque cela équivalait à ce qui pourrait être interprété comme une preuve disculpatoire de haut niveau. Ou que le directeur du FBI Christopher Wray aurait informé le procureur général William Barr de l’existence de l’ordinateur portable. En tout état de cause, les avocats du président ont fait valoir leur droit à la mise en accusation sans celui-ci. Bizarre, pour le moins.
Donc, le temps a passé et M. Mac Issac est devenu un peu méfiant, un peu impatient. Le FBI ne daignait pas répondre à ses appels téléphoniques. Pointilleux, il avait fait une copie du disque dur de l’ordinateur portable. Il en a donc remis une autre copie à Rudy Giuliani, un ancien procureur fédéral de renom, et l’un des avocats du président Donald Trump. M. Giuliani a facilement reconnu ce qui se trouvait là : une carte détaillée des opérations d’escroquerie de la famille Biden dans le monde entier, ainsi que des preuves graphiques de la dépravation morale de R. Hunter Biden. Ce qui nous a permis d’être au courant… presque.
Le garde du corps de Biden, c’est à dire les médias d’information, s’est brisé sous le poids de toute cette mauvaise foi, cette perfidie, cette hypocrisie, ce mensonge, ce gaspillage d’argent et cette dépravation. L’histoire des agissements de la famille Biden, de style gothique, s’est retrouvé à la vue de tous dans le pays, malgré tous les efforts déployés pour la cacher, et maintenant ceux qui cachaient cela commencent à avoir l’air vraiment mauvais… si mauvais que le fondateur de Twitter, Jack Dorsey, est sur le point d’être traîné devant le Comité judiciaire du Sénat pour quelques « explications », c’est-à-dire un rappel discret du fait qu’il n’est pas le maître de l’univers qu’il se croit être, mais plutôt un membre d’une société basée sur des règles, des traditions et une compréhension consensuelle du comportement décent.
Ce n’est que le début de ce qui va se passer. D’autres fuites se produisent dans la grande digue Démocrate, et il manque de petits Hollandais volontaires pour boucher les trous qui retiennent une mer froide d’infamie. Il y a, par exemple, le légendaire ordinateur portable d’Anthony Weiner, oui, celui qui a été saisi en 2016 dans le cadre de l’enquête sur le courrier électronique d’Hillary Clinton. Il s’est retrouvé en quelque sorte en possession de la police de la ville de New York. Il s’avère qu’il contient 340 000 courriels entre Hillary et son meilleur assistant depuis vingt ans, Huma Abedin, épouse du député déshonoré Anthony Weiner. Le problème, c’est que M. Weiner n’avait pas d’autorisation de sécurité et que c’était, après tout, son ordinateur portable. La rumeur veut que Mme Abedin parle maintenant aux procureurs. Est-ce que cela aura des conséquences ?
Il s’avère également que Bevan Cooney, un ancien associé de R. Hunter Biden, qui mijote dans un prison fédérale pour une conspiration de fraude aux valeurs mobilières, était assez énervé d’avoir été abandonné au point qu’il a donné son compte de messagerie et son mot de passe au journaliste d’investigation Peter Schweizer, auteur du livre Clinton Cash and Profiles in Corruption, qui examine maintenant les 26 000 courriels échangés entre les différents partenaires commerciaux. Attendons de voir ce qui va en ressortir …
Il s’avère également que Devon Archer, un autre partenaire de R. Hunter Biden et membre du conseil d’administration de Burisma, vient de voir sa condamnation rétablie dans la même affaire de fraude boursière que celle dans laquelle M. Cooney a été condamné. M. Archer risque jusqu’à dix ans de prison pour ses accusations – une incitation, peut-être, à conclure un marché pour obtenir des informations sur sa carrière historique avec R. Hunter Biden en échange d’une réduction de peine.
La campagne Biden a annoncé dimanche qu’elle « mettait un couvercle » sur les activités du candidat pour la semaine afin qu’il puisse étudier pour le « débat » final avec le Président Trump. Je soupçonne qu’il y a beaucoup plus que cela qui se passe au sous-sol, à savoir des discussions sur la façon dont M. Biden pourrait encore se retirer gracieusement de la course. Soyons réalistes, il a à peine fait ses preuves ces trois derniers mois. Joe Biden est un mort-vivant en marche. S’il reste, le parti Démocrate est fini. Nancy Pelosi peut arrêter de se préoccuper de sa coiffure. Elle sera entièrement cramée.
James Howard Kunstler
Traduit par Hervé, relu par Wayan pour le Saker Francophone
Le Parti l’a appelé. Plus précisément, son vieux kemosabe, Barack Obama, l’a appelé pour cette sinistre réunion et lui a annoncé la mauvaise nouvelle : « Joe, tu dois y aller. Bernie, Liz et les autres clowns ne veulent pas s’en mêler. Tu es plongé dans cette histoire aussi profond que nous et ça devient un poil tendu. Tu dois le faire pour le bien du parti, et de tous nos … amis … »
C’est ainsi que Joe Biden a été forcé de se présenter à la présidence. Il s’est vu confier un garde du corps en la personne des médias d’information, y compris les nouveaux venus si importants, les médias sociaux, Twitter et Facebook, où, de plus en plus, l’information est centralisée pour être transmise aux électeurs. Ils le protégeraient infailliblement de tout récit préjudiciable. En fait, ils allaient générer de puissants contre-récits pour maintenir leurs adversaires en porte-à-faux. Si Joe pouvait tenir jusqu’au 3 novembre, ils pourraient laisser tous leurs… problèmes… au repos, enterrer toutes ces insinuations ennuyeuses sur l’État Profond et ses super-bouffons (ha !), et enfin respirer tranquillement.
Ainsi, après avoir été qualifié de vieux raciste par ses adversaires, et avoir été battu dans l’Iowa et le New Hampshire, Joe a en quelque sorte réussi à renverser la table lors du Super Tuesday – apparemment grâce à l’approbation unique et magique d’un membre du Congrès James Clyburn (SC, 6e district), un récit qui a été avalé comme une huître de May River par les crétins de tout le pays. Et ainsi oint, Joe s’est retiré dans son légendaire sous-sol pendant toute la saison électorale, s’aventurant par intermittence dans des parkings vides et des hangars d’avions pour offrir une preuve de vie tandis qu’une campagne de désinformation à coup de sondages menée par son garde du corps médiatique garantissait son inévitable victoire. En septembre, tout semblait acquis… j’en avais pris mon parti …
Et puis, quelque chose s’est cassé. Grace à une info, en fait un miracle compte tenu du fait que le New York Times, le WashPo, CNN, MSNBC et tous les autres avaient sauté dans le train Démocrate. Vers le milieu de l’année 2019, un certain jamoke, dans l’État du Delaware, a pris possession d’ordinateurs portables amenés pour réparation à cause de dégâts des eaux. Quoi ?? Ils seraient tombés dans un jacuzzi ?? Quoi qu’il en soit, le client, un certain R. Hunter Biden, n’a jamais récupéré (ou payé) les ordinateurs qui, selon la loi du Delaware et le contrat de service de l’atelier de réparation informatique, sont devenus la propriété dudit atelier de réparation et de son propriétaire, le jamoke en question, un certain John Paul Mac Issac. Mac Issac a jeté un coup d’œil à l’intérieur de l’un d’entre eux qui fonctionnait encore – maintenant légalement sa propriété – et, voilà qu’il a remarqué des noms familiers parmi les courriels ainsi qu’une vidéo impressionnante du propriétaire de l’ordinateur portable qui consommait de la drogue tout en s’amusant avec une femme nue.
M. Mac Issac a contacté le FBI. Au début, ils l’ont écarté, mais des semaines plus tard, ils se sont présentés avec une assignation à comparaître pour l’ordinateur et l’ont saisi. La période de mise en accusation était arrivée ! L’agent de la CIA Eric Ciaramella, conseillé par son collègue du NSC, le colonel Alexander Vindman, avait préparé une plainte de « dénonciation » pour le membre du Congrès en croisade et impresario de RussiaGate Adam Schiff (D-CA), et le jeu était lancé ! M. Mac Issac a apparemment suivi le feuilleton de mise en accusation sur les ondes. La procédure ne mentionnait pas l’ordinateur portable et les informations, ou, disons, les preuves, qu’il contenait. Il a commencé à comprendre l’importance du matériel jeté sur ses genoux par ce client capricieux, R. Hunter Biden, et s’est demandé pourquoi le FBI ne faisait que s’asseoir sur tout cela. On aurait pu penser que le FBI aurait remis tout cela aux avocats du président, puisque cela équivalait à ce qui pourrait être interprété comme une preuve disculpatoire de haut niveau. Ou que le directeur du FBI Christopher Wray aurait informé le procureur général William Barr de l’existence de l’ordinateur portable. En tout état de cause, les avocats du président ont fait valoir leur droit à la mise en accusation sans celui-ci. Bizarre, pour le moins.
Donc, le temps a passé et M. Mac Issac est devenu un peu méfiant, un peu impatient. Le FBI ne daignait pas répondre à ses appels téléphoniques. Pointilleux, il avait fait une copie du disque dur de l’ordinateur portable. Il en a donc remis une autre copie à Rudy Giuliani, un ancien procureur fédéral de renom, et l’un des avocats du président Donald Trump. M. Giuliani a facilement reconnu ce qui se trouvait là : une carte détaillée des opérations d’escroquerie de la famille Biden dans le monde entier, ainsi que des preuves graphiques de la dépravation morale de R. Hunter Biden. Ce qui nous a permis d’être au courant… presque.
Le garde du corps de Biden, c’est à dire les médias d’information, s’est brisé sous le poids de toute cette mauvaise foi, cette perfidie, cette hypocrisie, ce mensonge, ce gaspillage d’argent et cette dépravation. L’histoire des agissements de la famille Biden, de style gothique, s’est retrouvé à la vue de tous dans le pays, malgré tous les efforts déployés pour la cacher, et maintenant ceux qui cachaient cela commencent à avoir l’air vraiment mauvais… si mauvais que le fondateur de Twitter, Jack Dorsey, est sur le point d’être traîné devant le Comité judiciaire du Sénat pour quelques « explications », c’est-à-dire un rappel discret du fait qu’il n’est pas le maître de l’univers qu’il se croit être, mais plutôt un membre d’une société basée sur des règles, des traditions et une compréhension consensuelle du comportement décent.
Ce n’est que le début de ce qui va se passer. D’autres fuites se produisent dans la grande digue Démocrate, et il manque de petits Hollandais volontaires pour boucher les trous qui retiennent une mer froide d’infamie. Il y a, par exemple, le légendaire ordinateur portable d’Anthony Weiner, oui, celui qui a été saisi en 2016 dans le cadre de l’enquête sur le courrier électronique d’Hillary Clinton. Il s’est retrouvé en quelque sorte en possession de la police de la ville de New York. Il s’avère qu’il contient 340 000 courriels entre Hillary et son meilleur assistant depuis vingt ans, Huma Abedin, épouse du député déshonoré Anthony Weiner. Le problème, c’est que M. Weiner n’avait pas d’autorisation de sécurité et que c’était, après tout, son ordinateur portable. La rumeur veut que Mme Abedin parle maintenant aux procureurs. Est-ce que cela aura des conséquences ?
Il s’avère également que Bevan Cooney, un ancien associé de R. Hunter Biden, qui mijote dans un prison fédérale pour une conspiration de fraude aux valeurs mobilières, était assez énervé d’avoir été abandonné au point qu’il a donné son compte de messagerie et son mot de passe au journaliste d’investigation Peter Schweizer, auteur du livre Clinton Cash and Profiles in Corruption, qui examine maintenant les 26 000 courriels échangés entre les différents partenaires commerciaux. Attendons de voir ce qui va en ressortir …
Il s’avère également que Devon Archer, un autre partenaire de R. Hunter Biden et membre du conseil d’administration de Burisma, vient de voir sa condamnation rétablie dans la même affaire de fraude boursière que celle dans laquelle M. Cooney a été condamné. M. Archer risque jusqu’à dix ans de prison pour ses accusations – une incitation, peut-être, à conclure un marché pour obtenir des informations sur sa carrière historique avec R. Hunter Biden en échange d’une réduction de peine.
La campagne Biden a annoncé dimanche qu’elle « mettait un couvercle » sur les activités du candidat pour la semaine afin qu’il puisse étudier pour le « débat » final avec le Président Trump. Je soupçonne qu’il y a beaucoup plus que cela qui se passe au sous-sol, à savoir des discussions sur la façon dont M. Biden pourrait encore se retirer gracieusement de la course. Soyons réalistes, il a à peine fait ses preuves ces trois derniers mois. Joe Biden est un mort-vivant en marche. S’il reste, le parti Démocrate est fini. Nancy Pelosi peut arrêter de se préoccuper de sa coiffure. Elle sera entièrement cramée.
James Howard Kunstler
Traduit par Hervé, relu par Wayan pour le Saker Francophone
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