27 septembre 2020

Sus aux Curés !


Dans un français approximatif sublimé par un accent beur à découper à la tronçonneuse, il nous a expliqué, Alain… oui, enfin, cherchons pas… toute sa surprise à propos du massacre au hachoir de boucher perpétré ce vendredi par le jeune Pakistanais dont l’éducation lui fut naguère confiée par l’Aide Sociale à l’Enfance.

A vrai dire il ne l’avait pas beaucoup éduqué, le susnommé Alain, car le moutard en question vivait tranquillement sa vie sans trop se laisser envahir par l’intervention parasite d’un mandataire de l’Administration franchouille. Il l’avait suffisamment connu, cependant, pour nous le décrire comme un gentil gamin, certes un peu introverti, mais tout à fait sans histoire et incapable de mal agir. Bon, on observera au passage la manière surprenante dont les éducateurs éduquent, étant précisé, d’ailleurs, que les gens n’ont jamais été aussi mal éduqués que depuis qu’il existe des éducateurs et, aussi, que l’Instruction Publique s’est muée en Éducation Nationale. Toujours est il que le jouvenceau en cause -appelons le Auguste, si vous le voulez bien, ça ira plus vite et nous serons ainsi dans le bon ton-donnait forcément tous les signes de la placidité la plus inoffensive, tout juste s’il ne montrait pas quelque gratitude à l’égard de ce pays d’accueil où l’on entre comme dans un chiotte d’autoroute. Bon, faut pas déconner, mais tout de même, un bon garçon, Auguste, à l’évidence une Chance Pour la France, c’est en tout cas ce qu’il promettait, Alain dixit. Car il s’intégrait déjà, n’est-ce pas, un boulot de peintre en bâtiment l’attendait de pied ferme, voyez vous, vraiment un brave gars, propre sur lui et tout, y a pas. Après, bien sûr, on peut aussi s’interroger sur l’âge véritable de l’enfant en question, vu qu’on lui donnerait facilement trente ans bien sonnés, à ce brave Auguste! L’Administration elle-même, c’est vous dire, saisie d’un soupçon de doute à cet égard, s’en était inquiétée devant un de ces innombrables juges chargés d’un tas de choses dépourvues de tout rapport avec leur mission régalienne; celui-là refusa catégoriquement de faire examiner Auguste, au motif qu’il importait de lui laisser toutes ses chances de s’insérer harmonieusement dans la société. Encore une belle réussite à verser à l’actif de la Justice de la République, elle n’en rate pas une! Pareil lorsqu’en Juin dernier, notre jeune ami s’est fait gauler dans Paris en possession d’un tournevis, ce qui lui valut un rappel à la loi bien senti…alors, me direz vous, un tournevis ça n’a rien de répréhensible. D’accord mais bon, quand l’outil mesure vingt centimètres et qu’il présente une pointe bien affûtée à la meuleuse… En tout cas, l’aventure aura permis à ce cher Auguste de constater qu’on ne risque rien à se promener avec ce genre d’ustensile. Alors pourquoi pas un hachoir de boucher, pas vrai?
Et comme, par dessus le marché, il est con comme une valise pakistanaise, Auguste, il s’en est allé Vendredi dernier Rue Nicolas Appert zigouiller les blasphémateurs de Charlie-Hebdo, lesquels, toutefois, ont foutu leur camp en d’autres lieus depuis bientôt cinq ans.
Et tape, et tape, et tape avec ton hachoir,
Et tape, et tape, tu dormiras mieux ce soir
!
Comme le chantait si délicieusement le regretté Luis Mariano à propos des Lavandières du Portugal… Ah, bon, c’était un battoir et non pas un hachoir? Oui, sans doute, pour faire la lessive c’est mieux approprié, j’en conviens…cela dit je m’en fous, faudra le prendre comme ça, c’est moi qui décide, vain dieu! Et ce n’est pas cette vieille pédale de feu Luis qui pourra me faire changer d’avis, paix à son âme.
Et donc ce couillon d’Auguste, incapable de soupçonner le changement d’adresse du torchon satirique et convaincu, par conséquent, d’avoir affaire aux ordures qui insultent le Prophète, s’en prit à deux infortunés salariés de la société Premières Lignes, laquelle fait de la production télé, avec la dame Elise Lucet comme porte-flingue. Et tape, et tape…bref, en l’espace de quelques secondes, Auguste transforma en chair à saucisse ces deux employés qui se contentaient de cloper sur le trottoir. Après quoi notre charcuteur prit le métro direction Bastille où les poulets purent le coxer sans difficulté aucune. Car il demeure serein, l’ex-faux mineur, un bon rappel à la loi et ça repart, pas vrai? Il fait confiance à la Justice de son pays… même si ce n’est pas encore tout à fait son pays ça le devient, vu la foule sans nombre des Musulmans qui inondent ici les portiques et le reste. Sans compter qu’après tout, même à supposer que des juges le collent au trou au mépris de ses états de service en tant que Défenseur de la Foi, en taule il se trouvera comme un coq en pâte, choyé à bloc par ses petits camarades, ceux qui font la loi dans les geôles de la Répupu. Par dessus le marché le temps travaille pour lui, non seulement il pourra se constituer un chouette réseau, l’ami Auguste, mais encore cela augmentera mécaniquement sa durée de séjour en France ce qui le rendra encore moins expulsable, si tant est que le risque de reconduite à la frontière existât vraiment chez nous pour un bon musulman comme ce garçon.

Bien évidemment, l’aventure sanguinolente de notre héros du jour soulève un certain nombre de questions, au premier rang desquelles figure la désinvolture un peu criminelle sur les bords, de nos Pouvoirs Publics. Ces derniers autorisent allégrement l’accueil de myriades d’individus potentiellement dangereux, sous des prétextes divers qui relèvent tous de la bisounourserie la plus humanitaristement naïve. C’est bien sympa de se gargariser des droidlom et autres jolies idées issues des Lumières. Toutefois ce n’est pas Rousseau qui se fait hachoirdiser en pleine rue pendant qu’il grille innocemment une cousue, comme on disait avant l’arrivée de l’envahisseur. Il ne risque rien, Rousseau, et il n’a jamais rien risqué, d’ailleurs, ce sale con. En revanche, nous oui! Avec l’armée de sympathiques assassins pour la gloire d’Allah qu’on constitue sur notre sol depuis des décennies, l’avenir est assuré! Nous, pour ce qu’il en reste, d’avenir, ça ira toujours, mais nos fils, nos filles et leurs descendants auront, hélas, à déguster la compagnie délétère desdits nouveaux arrivants. Vous allez observer que je me répète, je n’en disconviens pas, c’est le propre de ceux qui ont atteint un certain âge…
Cela dit, pour ce qui concerne singulièrement Auguste, en voilà encore un qui, s’il était resté en dehors de nos frontières, aurait évité à deux pauvres fumeurs des ennuis en comparaison desquels les méfaits du tabac semblent roupie de sansonnet. C’est d’ailleurs vrai d’une partie des très nombreux auteurs d’attentats allahou-akbar, les non bénéficiaires du droit du sol. Quant aux autres, ceux qui naquirent en France par la grâce du regroupement familial et des allocations éponymes, nous pouvons considérer comme co-auteurs de leurs actes criminels tous les aimables corniauds qui ont œuvré à des titres divers pour nous offrir en victimes expiatoires à la fureur vengeresse du Très Miséricordieux.
Et, parmi tous ces misérables crétins, il nous faut bien compter nos amis de Charlie-Hebdo. Alors ceux-là tiennent le pompon! A ma connaissance, en effet, ces hurluberlus participent de cette mouvance gauchiarde qui a toujours encouragé l’invasion. Pas question chez ces abrutis d’émettre la moindre réserve sur le laxisme migratoire, bien au contraire, y a bon les immigrés, les vrais veux-je dire, les Mahométans quoi! La France colonialiste qui a une dette imprescriptible envers ces malheureux, tout ça, le dogme à la con des libertaires de la Gauche la plus hermétique, celle dont procède Charlie. Et donc, laissez venir à moi les petits musulmans…oui, sauf qu’ensuite ces aliénés du dessin dégueulasse ne trouvent rien de mieux que de se payer méchamment la gueule de leurs petits protégés dans ce qu’ils ont de plus sacré: l’Islam! Vous faites entrer le tigre dans le salon et, histoire de rigoler, vous lui passez la flamme du briquet sous les roustons! Après vous vous étonnez de la réaction du fauve! Et pour bien montrer que même pas peur, les survivants, bien planqués désormais dans un bunker tenu secret, récidivent paisiblement. Le rôle du tigre fut donc cette fois tenu par ce cher Auguste mais ça ne s’arrêtera pas là, la bête apprécie peu les brûlures, surtout aux endroits le plus stratégiques.
Il s’agit donc, selon ces connards de Charlie et tous les enfoirés qui les soutiennent, de défendre bec et ongles la liberté d’expression et, singulièrement, la liberté de blasphémer! Moi je veux bien, mais alors qu’on se contente de conchier les Catholiques, ceux-là tendront toujours la joue gauche. En revanche, les Muz on les a fait entrer chez nous, ils y sont et on les dorlote amoureusement de toutes les manières possibles, alors allons donc jusqu’au bout du raisonnement: ou bien on continue à les dorloter et on laisse en paix leur Prophète, ou bien on commence à s’en occuper vraiment et on les fout dehors à la première incartade. Il n’y a pas de moyen terme, vous savez, au point où nous en sommes rendus, c’est la soumission ou l’expulsion des dangereux… Bon ben je crois que le choix coule de source, pas vrai? Allez Charlie, oublie le Prophète, courage, sus aux Curés!

Passez donc une bonne semaine et faites bien attention où vous mettez les pieds.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

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