Un article important a été rédigé par le professeur Valentina Zharkova, intitulé: « Le grand minimum solaire moderne mène au refroidissement terrestre ». Publiée le 4 août 2020, la dernière analyse du Pr. Zharkova suggère que le 8 juin 2020 était la date à laquelle nous sommes entrés dans le Grand Minimum Solaire Moderne.
«Dans cet éditorial, je démontrerai avec le champ magnétique lié à l'activité solaire, nouvellement découvert, que le Soleil est entré dans le Grand Minimum Solaire moderne (2020–2053), qui conduira à une réduction significative du champ magnétique solaire et de l'activité solaire, comme pendant le minimum de Maunder. Nous allons donc vers une réduction notable des températures terrestres.»
Un autre passage :
«Actuellement, le Soleil a terminé le cycle 24, le cycle le plus faible des 100 dernières années, et en 2020 a commencé le cycle 25. Pendant les périodes de faible activité solaire, comme le grand minimum solaire moderne, le Soleil sera souvent dépourvu de taches solaires. C'est ce que l'on observe maintenant au début de ce minimum, car en 2020, le Soleil a connu au total 115 jours sans tache (soit 78%), ce qui signifie que 2020 est en bonne voie pour dépasser le record de 281 jours sans tache ( ou 77%) observé en 2019. Cependant, le démarrage du cycle 25 est encore lent dans les régions actives, donc avec chaque jour / semaine / mois qui passe, la valeur nulle de l'activité solaire est prolongée, marquant un début de grand minimum solaire. »
Quelles sont les conséquences pour la Terre ?
«De 1645 à 1710, les températures, dans une grande partie de l'hémisphère nord ont plongé lorsque le Soleil est entré dans une phase de calme, appelée le minimum de Maunder. Cela s'est probablement produit parce que l'irradiance solaire totale a été réduite de 0,22% », illustré ci-dessous (graphique du haut); «Qui a conduit à une diminution de 1,0 à 1,5°C de la température terrestre moyenne, mesurée principalement dans l'hémisphère nord, en Europe», également ci-dessous (graphique du bas):
«La température de surface de la Terre a été réduite partout dans le monde, en particulier dans les pays de l'hémisphère nord», poursuit l'éditorial du Pr. Zharkova. «L'Europe et l'Amérique du Nord ont plongé dans un gel profond : les glaciers alpins s'étendaient sur les terres agricoles des vallées; la glace de mer s'est propagée au sud de l'Arctique; les rivières Dunab et Tamise ont gelé régulièrement pendant ces années, ainsi que les célèbres canaux des Pays-Bas.
La dernière analyse du Pr. Zharkova suggère qu'une répétition d'un minimum de Maunder, style refroidissement global, se déroulera à travers les cycles solaires 25-27 (2020-2053). Elle écrit: «De la même manière que pour le minimum de Maunder, la réduction du champ magnétique solaire entraînera une diminution de l'irradiance solaire d'environ 0,22% pendant une durée de trois cycles solaires (25–27).» Le Pr. Zharkova détermine que cette baisse de la TSI (en conjonction avec le rôle «souvent négligé» du champ magnétique solaire, ainsi qu'avec les rayons cosmiques nucléant les nuages) entraînera «une baisse de la température terrestre jusqu'à 1,0°C par rapport au températures actuelles, pendant les trois cycles suivants (25–27)… à seulement 0,4°C de plus que la température mesurée en 1710, "avec les plus fortes baisses de température" pendant les minima lentre les cycles 25-26 et les cycles 26-27."
Et surtout, le Pr. Zharkova expose les implications de ces changements.
Elle conclut :
«La réduction de la température terrestre, au cours des 30 prochaines années, peut avoir des implications importantes pour différentes parties de la planète, sur la croissance de la végétation, l'agriculture, les approvisionnements alimentaires et les besoins de chauffage dans les hémisphères nord et sud. Ce refroidissement global pendant le prochain grand minimum solaire (2020-2053) peut compenser pendant trois décennies tout signe de réchauffement climatique [...].
Un réveil brutal pour tous ceux qui ont conservé foi dans les sciences du climat modernes. Je n'ai aucune idée de combien de temps la désinformation peut durer, combien de temps on pourra soutenir ces faux graphiques de température mondiale - et alors que nous sommes tous dans une course chaotique vers un refroidissement, il sera amusant de regarder les visages suffisants et bien-pensants des membres du parti du "réchauffement", alors que tombera leur religion orchestrée de toute pièce [...].
Pour lire l'intégralité de l'éditorial fascinant du professeur Valentina Zharkova, cliquez ici .
Préparez-vous au froid, observez les faits, déménagez si nécessaire et cultivez vous.
Source
«Dans cet éditorial, je démontrerai avec le champ magnétique lié à l'activité solaire, nouvellement découvert, que le Soleil est entré dans le Grand Minimum Solaire moderne (2020–2053), qui conduira à une réduction significative du champ magnétique solaire et de l'activité solaire, comme pendant le minimum de Maunder. Nous allons donc vers une réduction notable des températures terrestres.»
Un autre passage :
«Actuellement, le Soleil a terminé le cycle 24, le cycle le plus faible des 100 dernières années, et en 2020 a commencé le cycle 25. Pendant les périodes de faible activité solaire, comme le grand minimum solaire moderne, le Soleil sera souvent dépourvu de taches solaires. C'est ce que l'on observe maintenant au début de ce minimum, car en 2020, le Soleil a connu au total 115 jours sans tache (soit 78%), ce qui signifie que 2020 est en bonne voie pour dépasser le record de 281 jours sans tache ( ou 77%) observé en 2019. Cependant, le démarrage du cycle 25 est encore lent dans les régions actives, donc avec chaque jour / semaine / mois qui passe, la valeur nulle de l'activité solaire est prolongée, marquant un début de grand minimum solaire. »
Quelles sont les conséquences pour la Terre ?
«De 1645 à 1710, les températures, dans une grande partie de l'hémisphère nord ont plongé lorsque le Soleil est entré dans une phase de calme, appelée le minimum de Maunder. Cela s'est probablement produit parce que l'irradiance solaire totale a été réduite de 0,22% », illustré ci-dessous (graphique du haut); «Qui a conduit à une diminution de 1,0 à 1,5°C de la température terrestre moyenne, mesurée principalement dans l'hémisphère nord, en Europe», également ci-dessous (graphique du bas):
«La température de surface de la Terre a été réduite partout dans le monde, en particulier dans les pays de l'hémisphère nord», poursuit l'éditorial du Pr. Zharkova. «L'Europe et l'Amérique du Nord ont plongé dans un gel profond : les glaciers alpins s'étendaient sur les terres agricoles des vallées; la glace de mer s'est propagée au sud de l'Arctique; les rivières Dunab et Tamise ont gelé régulièrement pendant ces années, ainsi que les célèbres canaux des Pays-Bas.
La dernière analyse du Pr. Zharkova suggère qu'une répétition d'un minimum de Maunder, style refroidissement global, se déroulera à travers les cycles solaires 25-27 (2020-2053). Elle écrit: «De la même manière que pour le minimum de Maunder, la réduction du champ magnétique solaire entraînera une diminution de l'irradiance solaire d'environ 0,22% pendant une durée de trois cycles solaires (25–27).» Le Pr. Zharkova détermine que cette baisse de la TSI (en conjonction avec le rôle «souvent négligé» du champ magnétique solaire, ainsi qu'avec les rayons cosmiques nucléant les nuages) entraînera «une baisse de la température terrestre jusqu'à 1,0°C par rapport au températures actuelles, pendant les trois cycles suivants (25–27)… à seulement 0,4°C de plus que la température mesurée en 1710, "avec les plus fortes baisses de température" pendant les minima lentre les cycles 25-26 et les cycles 26-27."
Et surtout, le Pr. Zharkova expose les implications de ces changements.
Elle conclut :
«La réduction de la température terrestre, au cours des 30 prochaines années, peut avoir des implications importantes pour différentes parties de la planète, sur la croissance de la végétation, l'agriculture, les approvisionnements alimentaires et les besoins de chauffage dans les hémisphères nord et sud. Ce refroidissement global pendant le prochain grand minimum solaire (2020-2053) peut compenser pendant trois décennies tout signe de réchauffement climatique [...].
Un réveil brutal pour tous ceux qui ont conservé foi dans les sciences du climat modernes. Je n'ai aucune idée de combien de temps la désinformation peut durer, combien de temps on pourra soutenir ces faux graphiques de température mondiale - et alors que nous sommes tous dans une course chaotique vers un refroidissement, il sera amusant de regarder les visages suffisants et bien-pensants des membres du parti du "réchauffement", alors que tombera leur religion orchestrée de toute pièce [...].
Pour lire l'intégralité de l'éditorial fascinant du professeur Valentina Zharkova, cliquez ici .
Les temps froids reviennent, les latitudes moyennes se refroidissent; en rapport avec une activité solaire historiquement faible , des rayons cosmiques nucléant les nuages et un flux de courant-jet méridien. Même la NASA semble d'accord, si vous lisez entre les lignes, avec leurs prévisions pour ce cycle solaire à venir (25), le considérant comme « le plus faible des 200 dernières années », l'agence corrélant les arrêts solaires précédents à des périodes prolongées de refroidissement global. ici .
Préparez-vous au froid, observez les faits, déménagez si nécessaire et cultivez vous.
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