Ils sont l’Amour, ils sont le Métissage, ils sont l’Intelligence, ils sont la lutte contre la pauvreté, ils... ils sont le Bien. C’est Esther Duflo et Abhijit Banerjee son mari, deux économistes qui cochent toutes les cases possibles et imaginables d’un mondialisme au sourire carnassier derrière une façade idéale. Leur CV, recomposé sur Wikipédia, leur vaudra un jour une accusation de complotisme mondialiste. Mais on n’en est pas encore là. Pour l’instant, les deux époux sont les rois du monde, néolibéral s’entend, et ils s’entendent comme larrons en foire pour rafler tous les prix possibles dans toutes les universités ou les officines mondialistes qui traînent.
« Enfant, j’étais déjà perturbée par la pauvreté »
« Enfant, j’étais déjà perturbée par la pauvreté »
On va vous donner quelques exemples de leurs ramifications dans tous les bons secteurs de la dominance avant de passer à la tribune qu’ils ont signée dans Le Monde, décidément le réceptacle de toutes les offensives mondialistes contre la France. Car il s’agit de ça. Notre pays, nos traditions, sont attaqués dans cette lettre qui ressemble à un ultimatum, à un chantage. Mais d’abord, les CV tentaculaires.
D’abord, Esther : Henri-IV, ENS, Piketty, agreg, Jeffrey Sachs et Daniel Cohen. Qui est Jeffrey Sachs ?
« Il est connu pour ses travaux comme consultant économique auprès des gouvernements d’Amérique latine, d’Europe de l’Est, d’ex-Yougoslavie, d’ex-Union soviétique, d’Asie, et d’Afrique. Il a proposé une thérapie de choc (bien qu’il n’apprécie pas personnellement ce terme) comme solution aux crises économiques vécues en Bolivie, en Pologne et en Russie (politique qui aurait provoqué 3,2 millions de victimes en Russie, selon l’UNICEF et l’IRC). » (Wikipédia)
La thérapie de choc (une rigueur économique néolibérale destructrice) s’explique : Sachs a été conseiller auprès du FMI, de la Banque mondiale, de l’OCDE (l’équivalent économique de l’OTAN) et de l’OMS !
Pour en revenir à Esther, son tableau de chasse est pas mal non plus : MIT, think tank de Barack Obama, rubrique dans Libé, tout cela au nom du Bien, évidemment, de la lutte contre la pauvreté (mais d’où vient-elle, cette pauvreté, hein ?). Pour elle, la pauvreté est un produit, l’éducation aussi, et dans ces domaines, il faut « innover ». Esther et son mari, Abhijit Banerjee, trustent un paquet de prix, dont le Nobel d’économie en 2019. Lui est passé par l’université de Columbia, grande pépinière des agents de la CIA. On dit ça, on dit rien.
L’étrange mariage de la pop hindoue et du marketing protestant de l’Empire...
Écoutez maintenant ce que ces deux amis de l’humanité nous proposent. D’abord, le chapô du Monde, le journal des Marchés et des Lobbies (on rajoute « des Lobbies » parce que l’extrême gauche ne met que « des Marchés » et oublie les réseaux de pouvoir occultes, c’est ballot) :
« Les prix Nobel d’économie 2019 Abhijit Banerjee et Esther Duflo proposent, dans une tribune au “Monde”, d’anticiper la progression de l’épidémie. Ils recommandent la mise en place d’un confinement de tout le territoire du 1er au 20 décembre, pour permettre aux Français de retrouver leur famille lors des fêtes de fin d’année. »
L’adorable couple mondialiste veut tout simplement refoutre les Français en taule pendant la période de Noël, dont ils n’ont rien à faire, et on se demande si le but de leur proposition ne serait pas, au fond, antireligieux, ou même autrement religieux...
« Le gouvernement navigue à vue au milieu des écueils. La perspective d’un reconfinement, même local, est un repoussoir et l’on sent une résistance forte à limiter les activités, en particulier les plus lucratives. Il a fallu attendre une dégradation forte de la situation pour que les salles de sport, véritables bouillons de culture, soient fermées dans les grandes villes. L’annonce de la fermeture des bars et restaurants à Marseille a été immédiatement décrite comme une “punition collective” par les responsables de la région, et la maire Anne Hidalgo regrette publiquement celle des bars à Paris à… 22 heures. »
Voyez maintenant comment ils veulent condamner la tradition, les réunions familiales, bref, tout ce qui fait Noël :
« Les rassemblements familiaux, avec leurs longs moments de convivialité autour d’une table (sans parler des cantiques et des chansons à boire), sont malheureusement propices aux contaminations. Aux Etats-Unis, les longs week-ends du Memorial Day fin mai et du 4 juillet, jour de l’indépendance, ont été suivis de pics de contaminations. »
Pour info, Esther est protestante. Alors, quelle est la solution, protéger les plus fragiles ?
« Que faire pour éviter cela ? Certains ont suggéré un confinement des personnes âgées. Cela semble absolument impossible à mettre en œuvre. Si on laisse par ailleurs l’épidémie se propager, il faudrait qu’il dure pendant des mois pour réellement les protéger. Cela ne paraît ni possible ni humain. »
Et là, la solution humaine arrive sur un plateau d’argent :
« Il y a pourtant une solution possible : décréter un confinement dans tout le territoire pour la période de l’Avent, disons du 1er au 20 décembre, en demandant aux familles de rester chez elles et de ne pas anticiper les vacances en se précipitant chez les grands-parents. »
On jurerait une punition antichrétienne, mais fi du complotisme, allons jusqu’au bout de la proposition néolibéralo-humaniste :
« Le coût pour l’économie serait important, mais moins que d’avoir à annuler Noël ou qu’un reconfinement dans des circonstances bien pires quinze jours plus tard. Les achats de Noël pourraient être encouragés pendant le mois de novembre (en autorisant les ouvertures tardives, les soldes, etc.), et les magasins pourraient rester ouverts pour les commandes pendant le confinement.
D’ici au 21 décembre, il serait possible d’organiser une grande campagne de tests gratuits que les gens pourraient faire au moindre doute à leur sortie de confinement, avant de se rendre dans leurs familles. C’est une solution qui a le mérite de prendre, pour une fois, de l’avance sur le virus, d’être claire, uniforme et transparente. Elle pourrait, de plus, être perçue comme le prix à payer pour une récompense immédiate, un effort collectif pour sauver Noël… »
D’ici au 21 décembre, il serait possible d’organiser une grande campagne de tests gratuits que les gens pourraient faire au moindre doute à leur sortie de confinement, avant de se rendre dans leurs familles. C’est une solution qui a le mérite de prendre, pour une fois, de l’avance sur le virus, d’être claire, uniforme et transparente. Elle pourrait, de plus, être perçue comme le prix à payer pour une récompense immédiate, un effort collectif pour sauver Noël… »
On sent, derrière ce coup de pouce économico-mondialiste à la politique de répression sanitaire du couple gouvernemental Castex-Véran, qu’il existe en France une volonté, derrière l’objectif officiel de protéger les gens, de détruire l’âme d’une nation. Il ne manquerait plus qu’un second attentat contre Notre-Dame, histoire d’achever 2000 ans de chrétienté en France, pour que le messie néolibéral sioniste advienne. Pas sûr qu’il soit reçu avec des fleurs...
Manquerait plus que les Français le crucifient !
Pour ceux qui veulent « repenser la pauvreté » avec Esther...
Tiens, on dirait du Emmanuelle Wargon et du Jacques Attali... Le mondialisme, c’est comme le bambou, ça rhizome à mort !
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