03 août 2020

Les journalistes, policiers et juges, sont des hommes politisés, ils servent toujours le pouvoir en place


N'oublions jamais que les journalistes sont des hommes et femmes politisées, formées dans des écoles aux mains d’organisation politiques et que leurs carrières, comme celles des juges et des policiers, dépendent de leur adhésion a la pensée politique de leurs époque. Rappelez-vous que 100 % des journalistes furent les portes voix de Vichy, qu'ils ont servi avec zèle, comme la police et la justice. Il n'y eu pas de résistant chez eux, comme chez les artistes, dans la police ou la justice, sauf en 1945 bien sûr !

Il y a toujours des exceptions, comme Zemmour, ou quelques uns qui marchent aujourd'hui dans ses pas ...(quand le régime commence à tomber ?) comme Louis Terrenoire, compagnon de la libération, secrétaire de la rédaction de L’Aube, puis rédacteur en chef de 1938 à 1939, où il tient une chronique de politique extérieure, il y dénonce les menaces du nazisme et prend position pour les républicains espagnols. C'est un proche de Georges Bidault. Il est mobilisé en 1939 dans un régiment d’artillerie. Il revient à Lyon en juillet 1940, et entre dans la Résistance en fondant, avec Stanislas Fumet, l’hebdomadaire Temps nouveau qui est rapidement saisi, puis avec Georges Bidault, Le Bulletin de la France combattante.

En 1943, il est nommé secrétaire du CNR. Arrêté par la Gestapo le 10 décembre 1943, il est relâché puis recherché de nouveau et arrêté une seconde fois le 23 mars 1944. Il est torturé, puis le 18 juin 1944, déporté à Dachau, où il retrouve le démocrate-chrétien Edmond Michelet. Il est libéré le 27 avril 1945 par les Alliés. Hélas il était déjà contaminé par la peste marxiste. Il fut un Gaulliste humaniste (gaulliste de Gauche), ce qui amena la France là où elle est aujourd’hui, une république dévoyé et sans honneur ! Une Nation sans patrie et sans identité !

Guy Terrenoire

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