L’impact économique de la pandémie a fait chuter le montant global des dividendes au cours du second trimestre. La chute est plus forte en Europe et en particulier au Royaume-Uni.
Plombés par les effets de la pandémie de Covid-19, les dividendes ont chuté de 22% dans le monde au second trimestre 2020, avec une baisse encore plus marquée en Europe, selon un rapport publié le 24 août par la société de gestion d’actifs basée à Londres Janus Henderson Investors.
Le rapport souligne que cette baisse constitue la plus lourde chute trimestrielle depuis la crise financière mondiale et que plus de la moitié des entreprises ont purement et simplement supprimé les dividendes.
Au niveau mondial, les dividendes ont chuté de 108,1 milliards de dollars (91 milliards d’euros) pour s'établir à 382,2 milliards de dollars (323 milliards d’euros) au cours du deuxième trimestre.
«2020 est appelée à être la pire année depuis au moins la crise financière mondiale», prévoit le gestionnaire d’actifs, qui n'a pas connu pareille dégringolade depuis le lancement de son rapport en 2009.
La chute est inégale selon les régions du monde et les secteurs d’activité. Ainsi, en Europe et au Royaume-Uni, les dividendes ont chuté respectivement de 45% et de 54%, alors qu’ils sont restés stables en Amérique du Nord, la moyenne étant portée par les chiffres canadiens. En France, les versements ont été à leur plus bas depuis «au moins une décennie», précise Janus Henderson Investors.
Les dividendes ont bien résisté dans les secteurs de la santé et des communications, alors qu’ils ont chuté pour les entreprises de secteurs comme la finance et de la consommation de produits et services non essentiels.
Au premier semestre, les 37 sociétés de l'indice vedette parisien CAC 40 qui ont déjà diffusé leurs résultats semestriels ont accumulé 400 millions d'euros de perte nette, contre 44 milliards d'euros de bénéfices sur la même période l'an dernier, selon un calcul effectué par l'AFP.
Sur l'ensemble de l'année 2020, Janus Henderson Investors prévoit une baisse de 17% à 23% des dividendes mondiaux. Ils devraient tout de même représenter un montant global de 1 100 milliards à 1 180 milliards de dollars (938 à 980 milliards d’euros).
Plombés par les effets de la pandémie de Covid-19, les dividendes ont chuté de 22% dans le monde au second trimestre 2020, avec une baisse encore plus marquée en Europe, selon un rapport publié le 24 août par la société de gestion d’actifs basée à Londres Janus Henderson Investors.
Le rapport souligne que cette baisse constitue la plus lourde chute trimestrielle depuis la crise financière mondiale et que plus de la moitié des entreprises ont purement et simplement supprimé les dividendes.
Au niveau mondial, les dividendes ont chuté de 108,1 milliards de dollars (91 milliards d’euros) pour s'établir à 382,2 milliards de dollars (323 milliards d’euros) au cours du deuxième trimestre.
«2020 est appelée à être la pire année depuis au moins la crise financière mondiale», prévoit le gestionnaire d’actifs, qui n'a pas connu pareille dégringolade depuis le lancement de son rapport en 2009.
La chute est inégale selon les régions du monde et les secteurs d’activité. Ainsi, en Europe et au Royaume-Uni, les dividendes ont chuté respectivement de 45% et de 54%, alors qu’ils sont restés stables en Amérique du Nord, la moyenne étant portée par les chiffres canadiens. En France, les versements ont été à leur plus bas depuis «au moins une décennie», précise Janus Henderson Investors.
Les dividendes ont bien résisté dans les secteurs de la santé et des communications, alors qu’ils ont chuté pour les entreprises de secteurs comme la finance et de la consommation de produits et services non essentiels.
Au premier semestre, les 37 sociétés de l'indice vedette parisien CAC 40 qui ont déjà diffusé leurs résultats semestriels ont accumulé 400 millions d'euros de perte nette, contre 44 milliards d'euros de bénéfices sur la même période l'an dernier, selon un calcul effectué par l'AFP.
Sur l'ensemble de l'année 2020, Janus Henderson Investors prévoit une baisse de 17% à 23% des dividendes mondiaux. Ils devraient tout de même représenter un montant global de 1 100 milliards à 1 180 milliards de dollars (938 à 980 milliards d’euros).
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