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Le suspect de l’incendie de la cathédrale de Nantes, mis en examen et écroué depuis samedi soir, faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français depuis novembre 2019.
L’étau s’est définitivement resserré pour le bénévole rwandais, suspecté d’être lié à l’incendie de la cathédrale de Nantes. Si la presse a récemment appris qu’il a été mis en examen et écroué, l’individu ferait aussi l’objet d'une obligation de quitter le territoire français. Le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès a révélé que l’homme avait demandé sa régularisation la semaine dernière. Il souhaitait obtenir le statut de réfugié en France, révèle Ouest France. Le bénévole était notamment protégé par l’évêché qui avait demandé au préfet de la « bienveillance » concernant son dossier. Chose impossible pour le préfet. Pierre Sennès a d’ailleurs indiqué qu’il avait envoyé des e-mails à des membres du diocèse concernant l’individu. Il demandait notamment d’être soutenu dans cette démarche. Le Rwandais était donc censé bientôt repartir dans son pays…
Le suspect encourt 10 ans de prison
Pour rappel, samedi 25 juillet, le procureur de la République de Nantes avait fait savoir que le suspect avait été à nouveau placé en garde à vue samedi matin à 6 heures. Le parquet de Nantes a ouvert dans la soirée « une information judiciaire des chefs de dégradations, détériorations ou destruction du bien d'autrui par incendie et requis la saisine du juge des libertés et de la détention aux fins de placement de l'intéressé en détention provisoire ». Le Rwandais avait par la suite été placé en détention provisoire et encourt « une peine de 10 ans d'emprisonnement et 150 000 euros d’amende », avait détaillé Pierre Sennès.
Ce Rwandais, notamment chargé de la sécurité de la cathédrale, avait pourtant été remis en liberté dimanche 19 juillet. Au lendemain de l’incendie de la cathédrale de Nantes, il avait été placé en garde à vue puis relâché après plusieurs heures d’interrogatoire. Le laboratoire central de la préfecture de police de Paris avait dépêché à Nantes des ingénieurs spécialisés après l’incendie. Pierre Sennès avait également souligné que les premiers résultats de leurs investigations « amènent à privilégier la piste criminelle ».
Commentaires
On est bien loin de la chrétienté conquérante de nos Croisés et Bâtisseurs de cathédrales .., place désormais à une chrétienté soumise, suicidaire qui creuse sa tombe et s’efface devant un islam conquérant... écœurant !
Un paroissien nantais vient de déclarer :
« C’est un geste de désespoir », ce migrant rwandais est « charmant » et « a voulu crier sa douleur ».
Pardon, mais je n'en peux plus ; ces cathos sont vraiment trop cons !
Ils n'ont que ce qu'ils méritent !
Tout le monde sait qu'en France, il vaut mieux être africain ou afghan et brûler une voiture ou une Cathédrale qu'être breton ou auvergnat et brûler un stop.
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