Les politiques libanais sont toujours aussi curieux. Alors que la famine commence à monter progressivement dans les villes, et que le dollar est toujours aussi rare, les Libanais se sont lancés dans le troc comme vous pouvez le voir sur cette photo.
"Harrowing Facebook posts in Lebanon of people offering furniture, glassware, and even shoes in exchange for diapers, cooking oil and baby formula. The country's remaining middle class is being destroyed, and the working class decapitated. This is the economic crisis".
Le criminel à la tête de la Banque Centrale du Liban, Riah Salamé, agit exactement comme Rudolf von Havenstein, lors de la République de Weimar (voir le livre AH). C'est tout à fait extraordinaire d'observer que les leçons du passé n'ont strictement servi à rien. Il continue à imprimer sa livre libanaise qui va prendre le chemin du bolivar vénézuélien.
Le Liban ne fabrique rien et son industrie bancaire est désormais à classer au musée de Beyrouth. Ceux qui sont abonnés à mon fil Twitter voient passer presque chaque jour les différentes manifestations qui ont lieu chaque soir, un peu partout dans le pays.
La dette étant de 92 milliards de dollars (170 % du PIB) et avec 35% de chômeurs, la situation est intenable et on ne voit pas trop comment le FMI pourrait y remédier quoi que ce soit, vu que le Hezbollah (parti pro Iran) n'a pas l'intention de se dissoudre. Et comme le disait beaucoup de Libanais, "encore une situation qui arrange Israel" qui n'a pas digéré sa défaite.
Le point consiste maintenant à affamer aussi bien la partie du Liban contrôlée par le Hzbollah que l'Iran !
"Harrowing Facebook posts in Lebanon of people offering furniture, glassware, and even shoes in exchange for diapers, cooking oil and baby formula. The country's remaining middle class is being destroyed, and the working class decapitated. This is the economic crisis".
Le criminel à la tête de la Banque Centrale du Liban, Riah Salamé, agit exactement comme Rudolf von Havenstein, lors de la République de Weimar (voir le livre AH). C'est tout à fait extraordinaire d'observer que les leçons du passé n'ont strictement servi à rien. Il continue à imprimer sa livre libanaise qui va prendre le chemin du bolivar vénézuélien.
Le Liban ne fabrique rien et son industrie bancaire est désormais à classer au musée de Beyrouth. Ceux qui sont abonnés à mon fil Twitter voient passer presque chaque jour les différentes manifestations qui ont lieu chaque soir, un peu partout dans le pays.
La dette étant de 92 milliards de dollars (170 % du PIB) et avec 35% de chômeurs, la situation est intenable et on ne voit pas trop comment le FMI pourrait y remédier quoi que ce soit, vu que le Hezbollah (parti pro Iran) n'a pas l'intention de se dissoudre. Et comme le disait beaucoup de Libanais, "encore une situation qui arrange Israel" qui n'a pas digéré sa défaite.
Le point consiste maintenant à affamer aussi bien la partie du Liban contrôlée par le Hzbollah que l'Iran !
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