20 mai 2020

On nous prend pour des cons. Quota pour la prime de 1 500 € pour les soignants, mais on pourra donner nos RTT !


Ce gouvernement est une vaste blague à part Bruno le Maire et Edouard Philippe, le reste…

Je vous passe les derniers propos pathétiques de mamamouchi 1er celui du palais qui a expliqué droit dans les yeux que « jamais notre pays n’a connu de pénurie de masques »… parfois il faut se pincer lorsque l’on entend ce genre d’imbécillité de la part du chef de l’Etat. Il y a de quoi frémir sur ce qui se passe dans leurs esprits alambiqués.

Le summum nous sommes en train de l’atteindre avec cette histoire de prime de 1 500 euros pour les soignants !

« Un quota envisagé pour la prime de 1.500 euros dans certains hôpitaux.
Versés sans distinction dans 40 départements, les 1.500 euros de la « prime Covid » maximale pourraient n’être attribués qu’à 40 % des effectifs dans 79 autres hôpitaux ».


Voilà ce que dit un article du Figaro, qu’il faut mettre en relation avec un autre article du même Figaro qui nous explique que « l’Assemblée nationale examinera le 3 juin une proposition de loi LREM visant à permettre le « don de congés payés sous forme de chèques-vacances » aux soignants, un texte soutenu par le gouvernement ».

En clair, les gueux que nous sommes vont donner leurs RTT à d’autres gueux payés 1.500 balles par mois tandis que tous les gueux qui gagnent 4 sous se font allumer par les taxes et les impôts qui remplissent des caisses chaque année encore plus vides que l’année d’avant, pour ne même pas avoir de masque à 10 centimes fournis par L’État lorsqu’il y a une pandémie mondiale.

En image cela donne ça…



Oui, je crois que l’on se fout de notre gueule à un niveau rarement atteint !

Pour le reste vous devez comprendre que le président se livre à des provocations à l’égard de sa population car oser dire qu’il n’y a jamais eu de pénurie de masques est une terrible provocation , de même que de mettre des quotas de primes.

En toutes circonstances il ne faut jamais céder aux provocations et devenir tellement furieux que l’on peut en oublier la politesse.

Par exemple on ne casse pas la figure du président, on ne lui coupe pas non plus la tête.

En revanche, on vote pour quelqu’un d’autre et on le renvoie démocratiquement dans ses pénates. D’ailleurs pour éviter tout débordement, le triste sire du Palais, ferait mieux de faire voter dans des législatives anticipées suite à une dissolution de l’Assemblée. Ce serait le minimum syndical démocratique vu la situation de notre pays depuis deux ans.

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