Cela va très mal finir, et le mouvement des gilets jaunes, qui n’a en réalité jamais cessé depuis des dizaines de semaines, va resurgir puissance 10 à la libération !
Et oui.
Nous sommes en guerre a dit le président, qui est lui même notre chef de « guère ». Non il n’y a pas de faute !
Il n’est pas un chef de guerre avec une stratégie, une vision, des troupes et des moyens sans oublier la nécessaire adhésion des troupes.
Il est un chefaillon de guère !
Tout juste bon à parader dans les rues désertes de Pantin, où il se fait copieusement insulter depuis les balcons, confinement oblige. Mais où les zactualités de radio Paris ment, Radio Paris c’est le préfet Lallemand, ne montre que des fausses images de liesse populaire et de bain de foule… en plein confinement !
Il n’y a guère de réflexion là dedans hormis le réflexe pavlovien de « communication ».
Il n’y a guère de stratégie… personne ne sachant comment déconfiner sans que cela ne tourne à la déconfiture.
Il n’y a guère de masques, Il n’y a guère de de tests, Il n’y a guère de gants, Il n’y a guère de blouses pour nos soignants, de charlottes etc , je ne vous refais pas la longue litanie…
Non seulement ils sont d’une nullité crasse, et l’Etat est en train de saisir les masques que d’autres arrivent à se faire livrer… Disons que ceux qui veulent des masques, trouvent des masques, et je peux vous assurer que nous et je dis bien nous, ne les volons pas. Nous pouvons les acheter… à l’étranger… Là où des privés où des régions y arrivent, l’Etat est impuissant. Donc non seulement ils sont affligeants d’incompétence, de mensonge, et d’imprévoyance, mais en plus ils cherchent, je crois avec une grande constance, à ce que nous leur mettions des coups de pieds au cul !
Ils font tout pour que cela se termine très mal, et cela va très mal finir
Nous pouvons faire des nominations aux césars des mamamouchis ayant le moins d’instinct de survie politique en général et de survie tout court s’ils continuent ainsi.
En bonne place notre porte parolesse du gouvernent qui ne sait toujours pas enfiler un masque mais n’a aucun problème avec ses pyjamas dont elle égaye les conférences de presse comme une marque de fabrique dont elle est très fière…et qui pense que nous sommes trop cons pour y arriver. Mais je crois que même elle n’arrivera pas à surpasser la star actuelle et montante au firmament de la connerie mamamouchesque à savoir le chef de l’ARS du grand Est…
Cette lumière dans la tempête qui dirige l’ARS, donc l’agence régionale de santé de l’Est qui est la région la plus touchée de notre pays et qui compte le plus de cadavres, n’a rien trouvé de plus brillant à dire qu’il ne voyait pas pourquoi il devrait changer la « trajectoire de modernisation de son hôpital » et qu’il « fallait continuer à réduire les postes »… C’est vrai ça, je ne vois pas pour quelles raisons… Certains verraient dans les centaines de cercueils qui s’alignent autant de raisons… mais ce sont des esprits chagrin. Il faut réformer… C’est bien la réforme.
Le problème voyez-vous c’est que leurs réformes menées depuis 30 ans par eux, et les zautres, nous ont menés dans ce mur douloureux. Alors nous n’oublierons pas à la libération.
Bon il a été limogé. C’est bien.
Maintenant il va falloir virer, celui qui n’aurait jamais du, en tant qu’ancien président de BNP Paribas, devenir le gouverneur de la banque de France.
« Il n’y a pas de miracle : nous devrons porter plus longtemps des dettes publiques plus élevées »
« François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, affirme dans une tribune au « Monde » que le traitement des dettes héritées de la crise supposera nécessairement un effort budgétaire rigoureux et des dépenses publiques plus sélectives ».
Et bien moi j’affirme qu’il va falloir limoger et virer le gouverneur et je m’en vais vous dire pourquoi.
Les dettes ne seront pas payées.
La dette actuelle et avant-covid était déjà impayable.
Avec une croissance négative de 6 % au premier trimestre et je ne vous raconte pas à la fin de l’année, l’argent qui ne rentre pas et tous les sous qui sortent, il ne faut pas être gouverneur ni ministre de l’économie qui disait « impact de la crise 0.1 point de croissance », pour savoir que l’on finira l’année à -10 % de récession et pas de croissance négative. De RECESSION.
Bref, la dette va prendre un bon tiers, et un bon tiers de plus de 2.500 milliards d’euros c’est en gros et à la louche un petit billet de 1 000 milliards…
C’est impayable.
Dit autrement, les conséquences de la politique à mener pour payer cette dette ou les conséquences de la faillite pour ne pas payer cette dette seront sensiblement les mêmes, en un mot… horrible.
Parler d’austérité aujourd’hui de la part du gouverneur de la banque de France, c’est comme parler de fermeture de lits dans les hôpitaux de l’Est quand on est directeur de l’ARS. C’est aussi inconséquent, qu’indécent.
Un problème de logiciel « mondialisation 2.0 » avec bug d’origine…
Cette austérité qui a commencé depuis des années nous a également menés là où nous en sommes aujourd’hui, à savoir compter tous les soirs nos morts.
Cette politique, cette mondialisation, cette union européenne, nous ont menés là.
Ce sans-frontiérisme stupide et idéologue nous a amenés à nous enfermer par milliards sur toute la planète.
Cela va très mal finir sauf si…
Sauf si, les mamamouchis, font deux choses.
Prenez soin de nous !
La première qu’ils démissionnent en nombre. Cela nous fera le plus grand bien. S’ils veulent qu’à la libération, la rue ne décide pas, c’est très simple… Il faut a minima une dissolution. Le mieux serait une présidentielle et que notre chef de guère aille se faire recruter par ses petits copains de Blackrock aux Etats-Unis. C’est chouette les USA pour ceux qui pensent que ceux qui font tourner ce pays, tenir ce pays, ne sont rien… et coûtent un pognon de dingue.
La seconde, c’est que tout simplement ils s’occupent de nous.
Qu’ils s’occupent des gens.
En réalité, la libération pourrait très bien se passer, il suffirait simplement que les hommes politiques décident de prendre soin des âmes dont ils ont la charge. Rien de bien compliqué là dedans. Il faut remplir les gamelles. Des banlieues aux villages de notre pays, il faut remplir les gamelles, mettre des hôpitaux et soigner les gens, il faut donner du travail.
Pour cela c’est également assez simple.
Les godasses c’est fabriqué ici et pas là-bas.
Les médicaments c’est fabriqué ici et pas là-bas.
Les voitures c’est fabriqué ici et pas là-bas.
Les fruits et légumes c’est fabriqué ici et pas là-bas.
Pour cela, il faut évidemment revoir tout le logiciel qui a été téléchargé dès la fabrication dans nos usines à mamamouchis et dont Macron n’est que l’ultime version d’une lente dérive.
J’ai entendu dire que nos mamamouchis redoutent la « libération » du confinement.
Ils ont raison.
Ils n’ont pas idée à quel point ils ont raison.
Ils ont échoué sur toute la ligne.
Mais, il ne tient finalement qu’à eux de faire en sorte que cela se passe bien.
Cela passe, par les urnes, par le débat démocratique, par la transition démocratique vers un monde que l’immense majorité de ce peuple voudra plus juste et moins « austérité germanique ».
C’est à eux de faire le choix d’une transition pacifiée et démocratique… ou d’une libération tumultueuse.
Parce qu’effectivement, nous n’oublierons rien. Pas cette fois.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous et désormais protégez-vous !
Charles SANNAT
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.