Regardez donc l’histoire d’Abdallah, ce sympathique réfugié soudanais si bien accueilli par la Répupu, tout comme une chiée de ses compatriotes et autres coreligionnaires débarqués d’Afrique pour se blottir dans les bras de Marianne et profiter de ses largesses socialo-droidelhommistes. Il est donc venu se réfugier chez nous, Abdallah, logé aux frais de la princesse dans ce petit appartement de Romans sur Isère qu’il partageait avec deux potes de chez lui, sans doute clandestins ou en instance de régularisation. Pas très sympa, en tout cas, de remercier les connards qui l’ont si gentiment accueilli en égorgeant les braves gens pendant leurs pauvres emplettes de confinés. Allahou akbar! Voilà tout! Il faut dire qu’il n’en pouvait plus, Abdallah, de vivre au milieu de tous ces mécréants. Il l’a écrit, ça, et il fallait absolument qu’il fasse quelque chose de bien pour punir cette bande de salauds qui n’en a rien à foutre ni de Dieu, ni de son Prophète. Et qu’est-ce qu’on peut faire de bien, quand on est un bon musulman vivant au milieu des Kouffar gibiers d’enfer islamiste? Ben oui, en zigouiller le plus possible, conformément aux prescriptions de la Religion! Normal, logique et incontestable!
Alors, me direz vous, mais la reconnaissance, qu’en fait-il, ce gentil réfugié? Et je vous répondrai que la reconnaissance il n’en a rien à branler, vu que s’il se trimballe en terre de conquête c’est juste et exclusivement par la volonté d’Allah! D’ailleurs si ça se trouve c’est bien d’une Mission Divine qu’il se trouvait investi, par le fait, et il lui appartenait en conséquence de se comporter conformément à celle-ci. Vous n’allez tout de même pas vous imaginer, chiens d’infidèles, que ces personnes issues de l’immigration islamiste pourraient gober les sornettes et les calembredaines véhiculées par l’Occident impie. Allah, seul est grand et tout le reste n’est que pipi de chat et roupie de sansonnet. En foi de quoi, lorsqu’on voit des salopards vautrés dans la négation de tout ce qu’il y a de saint, on les élimine sans état d’âme comme s’il s’agissait du germe malfaisant d’une épidémie mortelle.
Bien entendu, les crimes d’Abdallah non plus que ceux de ses prédécesseurs, dont la longue liste laisse de marbre nos bons samaritains républicouilles tenants inconditionnels de l’immigration débridée, ne changeront rigoureusement rien à nos habitudes généreuses d’accueil des porteurs malsains du coranovirus. Depuis quarante ans, au bas mot, que les moins aveugles d’entre nous tirent la sonnette d’alarme, on comprend bien qu’ils auraient tout autant intérêt à souffler dans un violon (comme quoi j’essaie d’éviter autant que possible la grossièreté gratuite) on ne les entendrait ni plus ni moins.
Alors, vous savez, cette affaire de virus ne manque pas d’inspirer les stratèges, dans les milieux islamistes. L’Occident affaibli et obnubilé par l’explosion imprévue de l’épidémie, découvre son flanc, c’est le moment d’attaquer, à l’évidence! Déjà l’État Islamique diffuse des vidéos pour appeler ses « combattants » à semer le chaos chez nous, les premiers effets en sont perceptibles dans les prisons, où les taulards attaquent les matons au cri d’Allahou akbar! Les réseaux islamistes se réorganisent, les mosquées profitent de l’occasion covid 19 pour lancer leurs appels à la prière par haut-parleur, personne ne viendra leur en faire reproche et seule la mère Le Pen, vox clamans in deserto, ouvre sa gueule pour condamner -symboliquement- le fait.
Et dans le même temps les autorités compétentes donnent pour consigne aux patrouilles de banlieue, les pauvres flics qu’on envoie à l’abattoir dans les « quartchiers », d' »agir avec discernement« , ô qu’en termes galants ces choses-là sont mises… En bon français: foutez leur une paix royale, nous avons d’autres chats à fouetter! Et il est vrai que le feu couve sous la cendre…les affaires vont plutôt mal pour nos amis droguistes, le marché subit les contrecoups du virus. On a beau mettre en place des systèmes de drive, voire de click and collect les ventes se font plus rares, le client se montre prudent, surtout pas se faire gauler, et, bien entendu, la livraison à domicile ne reste envisageable que grâce aux copains livreurs de profession dans les boîtes qui ont pignon sur rue, ça limite les possibilités tout de même. Donc ça va plutôt mal et les observateurs des cités sans cible craignent désormais une explosion des banlieues dans le genre de celle de 2005, en plus gratiné sans doute. La Répupu apparaît tellement affaiblie et les Forcedelordres tellement fourbues, harassées et dégoûtées, sans parler de la surveillance des resquilleurs du confinement, qu’on a du souci à se faire sur leur capacité à réprimer une éventuelle grosse révolte. Voilà pourquoi on laisse pisser le mérinos de banlieue. Pas de contrôle des attestations sur l’honneur…rien que l’idée fait déjà rigoler à s’en inonder le sarouel…du coup la vie continue sans entrave et les conséquences se font déjà sentir…le neuf-trois enregistre en deux semaines une surmortalité de soixante-trois pour cent, un record absolu! Bon, nous attendrons les évènements, comme toujours, sans les prévenir, juste en évitant de jeter de l’huile sur le feu, de toute façon, sauf à posséder une bonne paire de c… , il n’y a pas grand chose d’autre à faire.
Voilà, sur le front du coranovirus, bien sûr, ce n’est pas la joie…pour ce qui concerne le coronavirus, en revanche, le grand chef Salomon entrevoit une lueur d’espoir. Ce n’est pas que je me méfie du jugement de Salomon, à Dieu ne plaise, cependant je ne voudrais pas non plus verser dans un optimisme béat. Tant que les populations restent bien sagement confinées -hormis les peuplades banlieusardes, bien sûr- la circulation du virus ralentit, évidemment. Sauf que là, depuis quelques jours il y a du mou dans la corde à nœuds, on voit de plus en plus de monde dehors, ça remue, ça veut prendre le soleil, tout ça…et ça voudrait même partir en vacances! Non mais! Alors c’est là qu’intervient notre vieux camarade le préfet Lallement, vous savez, celui qui porte si bien la casquette à feuilles de chêne trop grosse pour sa tronche d’avorton enrhumé. Il ne le leur a pas envoyé dire, aux petits rigolos contrôlés sur le périph avec femme, gosses et bagages plein la bagnole! « C’est les types comme vous qu’on retrouve en réanimation à faire suer les pauvres personnels de soins et à nous bouffer l’oxygène et le curare qui se fait rare ». Mâche pas ses mots, le Préfet Lallement…sauf que là, il eût été mieux inspiré de fermer sa gueule! Je ne vous dis pas le scandale, tout le monde lui est tombé dessus à bras raccourcis, comme quoi il insultait tous les malheureux, grièvement frappés du virus, qui mènent par l’entremise de leur machine à respirer un combat héroïque contre la mort! A commencer par les professionnels de santé, lesquels paient un si lourd tribut au fléau chinetoque! Oh la vache, d’accord il n’a jamais voulu dire ça, le Préfet de Police, juste il entendait remonter les bretelles aux tricheurs candidats à l’évasion, en fait on lui cherche une querelle d’allemand, enfin de Lallement si vous préférez, mais en attendant il a fallu qu’il s’excuse platement et publiquement, ce couillon! Un vrai bonheur, le pourfendeur des Gilets-Jaunes qui se prend les pieds dans le tapis du covid 19 ! J’ai bien rigolé je vous l’avoue, rien qu’à voir sa tronche…faut se contenter de ce qui vient, par ces temps de disette, on aura sans doute de meilleures occases dans deux ou trois mois…si Dieu nous prête vie…
Alors, passez une bonne semaine, sainte autant que confinée, rendez vous à Pâques, on fêtera sobrement!
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN
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