Hormis les familles des victimes de cette grippe saisonnière un peu spéciale, des familles qui ont perdu un être cher, nous avons trouvé 10 points positifs dans cette ingénierie d’une ampleur inégalée jusqu’à présent. Inégalée car elle couvre le monde entier, et touche surtout les pays industrialisés, ceux qu’on dit avancés.
Dans ces pays – avec quelques différences dues à la culture locale, culture qui fait la politique –, l’ingénierie a suivi à peu près le même agenda : une grippe saisonnière créée de toutes pièces a fuité d’un laboratoire de recherches sur les maladies infectieuses dans la région de Wuhan, en Chine. Puis cette grippe s’est propagée dans le monde entier, probablement du fait de Jeux mondiaux militaires qui rassemblaient des milliers de participants de toutes les grandes nations. Moins de deux mois plus tard, ces dernières étaient touchées par l’épidémie d’une pathologie qui ressemble grosso modo à la grippe saisonnière, une maladie contagieuse qui touche tout le monde, qui passe sur 95 % des gens et qui s’arrête sur les 5 % les plus fragiles, et parmi ceux-là, un sur 10 connaît des complications d’ordre respiratoire. Et dans cette dernière catégorie, il y a ceux qui sont mis sous assistance respiratoire, dans un coma artificiel, donnant deux dernières catégories : ceux qui se réveillent, et ceux qui ne se réveillent pas. Nous ne sommes pas médecins, mais c’est le résumé de trois mois de folie dans le monde occidental. Et nous plaçons la Chine dans le monde occidental, au sens d’industrialisé.
Les populations concernées sont passées par plusieurs états : l’indifférence à la grippe chinoise, l’inquiétude, puis la panique. Mais cette panique a été, on le sait, organisée par une coproduction entre gouvernements et médias, sauf dans quelques pays du Nord, qui ont su garder raison (Allemagne, Suède). Ailleurs, c’est la psychose qui s’est substituée à l’épidémie et qui a créé plus de dégâts psychologiques et sociaux que la grippe elle-même. Et aussi des dégâts d’ordre politique, puisque l’ordre politique ancien a été touché, mais pas comme il le croit. Les gouvernants qui ont mené bataille contre le virus, ou qui l’ont fait croire, ont en réalité mené bataille contre leurs administrés. Ils ont à cette occasion détenu plus de pouvoir(s) qu’aucun dictateur n’en a jamais eu(s).
Le déconfinement, c’est la fin de leur pouvoir d’exception ou de leurs lois d’exception. On comprend alors pourquoi ils font traîner la libération. Mais quels sont ces 10 points positifs, alors que tout a l’air si négatif ?
1– Le réveil de la conscience citoyenne
Le programme « Covid-19 contre les peuples » a réveillé des colères enfouies. D’abord parce que la gestion de la crise a été catastrophique, pour ce qui concerne les administrés, ou les victimes. Du côté du gouvernement, et là on focalise sur notre pays, la reprise en main du paquebot France, qui commençait à barrer dangereusement, a été une réussite. Et le confinement a été la grande idée d’un quinquennat à l’agonie.
Mais le remède a été tel que beaucoup de gens ont compris qu’on les menait en bateau, et on ne va pas revenir sur toutes les incohérences de l’ingénierie : le nombre de morts égal ou inférieur en 2020 aux autres années, les décès extrêmement douteux dans les maisons de retraite, l’insistance des soignants à relayer la panique alors qu’ils réclamaient des embauches et des augmentations de salaires quelques mois plus tôt, la soumission des médias aux injonctions d’un gouvernement totalement soumis aux forces du Marché incarnées par le Big Pharma, un Big Pharma qui avait ses entrées et ses hommes dans le gouvernement des Français, et qui les a toujours...
Tout ceci a fait remonter une colère qui ne s’éteindra pas de sitôt, et c’est une bonne chose.
2– La puissance des réseaux sociaux
Les médias dit dominants ne le sont plus. Le simple exemple de l’imposition médiatique de la triste Karine Lacombe vaut toutes les démonstrations : la représentante du Big Pharma déguisée en chercheuse indépendante a été délogée des médias mainstream par une poussée de mécontentement venue de Twitter. Ce qui veut dire que les médias à la botte des marchés ne font plus la loi, ou l’opinion. L’opinion est devenue une bête difficile à dompter, à tromper, à diriger. En général, les RS vont dans un sens, celui de l’intérêt des gens, on pourrait dire du peuple mais le terme fâcherait les éditorialistes, alors on va le dire : les RS sont le médias du peuple, le média populaire par excellence, et aucun des agents de la dominance médiatico-politique qui y sont infiltrés n’y font la moindre loi.
Pour exemple, dernièrement, Jean-Michel Aphatie, qui représente ce qu’il y a à peu près de plus veule en matière de journalisme couché – à part Patrick Liste Noire Cohen – s’est ridiculisé en commentant un tweet issu d’un compte parodique de Marine Le Pen. C’est une Botul, comme quand BHL avait analysé dans un de ses livres (écrit par ses nègres) les « concepts » du philosophe Botul, fruit de l’imagination parodique d’un journaliste du Canard enchaîné... Inutile d’ajouter que la puissance montante des RS va de pair avec la chute des médias mainstream, une chute économique et morale. Dans toutes les guerres, les traîtres, collabos et autres kapos, finissent lynchés.
3– La fronde contre la médecine d’État
L’axe Buzyn-Salomon-Hirsch-Cymes-Steg est la colonne vertébrale d’une médecine qui s’intéresse plus au pouvoir ou à l’argent qu’aux malades et à la maladie. Les décisions prises par ces responsables politiques ou médiatiques ont toujours été du côté des grands intérêts des labos pharmaceutiques, rarement celui des Français. Certains ont même eu l’impression d’être sacrifiés sur l’autel du Profit ou d’un pouvoir communautaire. Pour parler plus franchement, beaucoup de Français ont compris que la santé publique était devenue une affaire, plus que l’affaire de tous. Une affaire bien privée sous couvert d’intérêt public.
Et ceux qui crient à l’antisémitisme parce que ces représentants de la médecine d’État ont été dénoncés par le peuple devraient se demander pourquoi une telle concentration communautaire, avant toute chose. Et on ne reviendra pas sur les arnaques aux masques parties d’Israël et volant des Français, ou les disparitions de stocks de chloroquine et de respirateurs au moment où les services israéliens se vantaient d’avoir braqué du matériel à d’autres pays...
4– Les Français découvrent que leur santé leur appartient
La gestion de la crise dite du coronavirus a été tellement contradictoire, incohérente, aberrante, que de nombreux Français, autrefois croyants dans la médecine officielle, ont compris qu’ils devaient prendre leur santé et leur immunité en charge. Il en est de même pour la sécurité publique, puisque police et justice ne s’occupent plus de la délinquance venue des cités qui pourrit la vie quotidienne des Français.
À cette occasion, les plus crédules ont découvert des termes inconnus comme immunité, alimentation saine, sport ou marche à pied. Les vidéos de médecins ou de non-médecins qui parlaient immunité au lieu de parler répression ont redonné confiance à un peuple qui en était dépourvu, à qui la caste au pouvoir avait cassé le moral. Et le moral, c’est le terme populaire pour immunité.
5– Le pouvoir a montré son vrai visage
Ceux qui croyaient en la démocratie peuvent aller se rhabiller, ou ils ont changé de camp : le pouvoir visible n’est que l’habillage rassurant du pouvoir profond, qui n’a aucune pitié, aucune empathie, et qui est prêt à sacrifier toute une nation pour ses intérêts et sa survie. La Banque nous a attaqués par les côtés, cachée derrière un virus bidon, une grippe saisonnière plus ou moins trafiquée en laboratoire ou importée en des endroits précis, histoire de mettre le feu à des nations un peu trop récalcitrantes.
Dans ces pays – avec quelques différences dues à la culture locale, culture qui fait la politique –, l’ingénierie a suivi à peu près le même agenda : une grippe saisonnière créée de toutes pièces a fuité d’un laboratoire de recherches sur les maladies infectieuses dans la région de Wuhan, en Chine. Puis cette grippe s’est propagée dans le monde entier, probablement du fait de Jeux mondiaux militaires qui rassemblaient des milliers de participants de toutes les grandes nations. Moins de deux mois plus tard, ces dernières étaient touchées par l’épidémie d’une pathologie qui ressemble grosso modo à la grippe saisonnière, une maladie contagieuse qui touche tout le monde, qui passe sur 95 % des gens et qui s’arrête sur les 5 % les plus fragiles, et parmi ceux-là, un sur 10 connaît des complications d’ordre respiratoire. Et dans cette dernière catégorie, il y a ceux qui sont mis sous assistance respiratoire, dans un coma artificiel, donnant deux dernières catégories : ceux qui se réveillent, et ceux qui ne se réveillent pas. Nous ne sommes pas médecins, mais c’est le résumé de trois mois de folie dans le monde occidental. Et nous plaçons la Chine dans le monde occidental, au sens d’industrialisé.
Les populations concernées sont passées par plusieurs états : l’indifférence à la grippe chinoise, l’inquiétude, puis la panique. Mais cette panique a été, on le sait, organisée par une coproduction entre gouvernements et médias, sauf dans quelques pays du Nord, qui ont su garder raison (Allemagne, Suède). Ailleurs, c’est la psychose qui s’est substituée à l’épidémie et qui a créé plus de dégâts psychologiques et sociaux que la grippe elle-même. Et aussi des dégâts d’ordre politique, puisque l’ordre politique ancien a été touché, mais pas comme il le croit. Les gouvernants qui ont mené bataille contre le virus, ou qui l’ont fait croire, ont en réalité mené bataille contre leurs administrés. Ils ont à cette occasion détenu plus de pouvoir(s) qu’aucun dictateur n’en a jamais eu(s).
Le déconfinement, c’est la fin de leur pouvoir d’exception ou de leurs lois d’exception. On comprend alors pourquoi ils font traîner la libération. Mais quels sont ces 10 points positifs, alors que tout a l’air si négatif ?
1– Le réveil de la conscience citoyenne
Le programme « Covid-19 contre les peuples » a réveillé des colères enfouies. D’abord parce que la gestion de la crise a été catastrophique, pour ce qui concerne les administrés, ou les victimes. Du côté du gouvernement, et là on focalise sur notre pays, la reprise en main du paquebot France, qui commençait à barrer dangereusement, a été une réussite. Et le confinement a été la grande idée d’un quinquennat à l’agonie.
Mais le remède a été tel que beaucoup de gens ont compris qu’on les menait en bateau, et on ne va pas revenir sur toutes les incohérences de l’ingénierie : le nombre de morts égal ou inférieur en 2020 aux autres années, les décès extrêmement douteux dans les maisons de retraite, l’insistance des soignants à relayer la panique alors qu’ils réclamaient des embauches et des augmentations de salaires quelques mois plus tôt, la soumission des médias aux injonctions d’un gouvernement totalement soumis aux forces du Marché incarnées par le Big Pharma, un Big Pharma qui avait ses entrées et ses hommes dans le gouvernement des Français, et qui les a toujours...
Tout ceci a fait remonter une colère qui ne s’éteindra pas de sitôt, et c’est une bonne chose.
2– La puissance des réseaux sociaux
Les médias dit dominants ne le sont plus. Le simple exemple de l’imposition médiatique de la triste Karine Lacombe vaut toutes les démonstrations : la représentante du Big Pharma déguisée en chercheuse indépendante a été délogée des médias mainstream par une poussée de mécontentement venue de Twitter. Ce qui veut dire que les médias à la botte des marchés ne font plus la loi, ou l’opinion. L’opinion est devenue une bête difficile à dompter, à tromper, à diriger. En général, les RS vont dans un sens, celui de l’intérêt des gens, on pourrait dire du peuple mais le terme fâcherait les éditorialistes, alors on va le dire : les RS sont le médias du peuple, le média populaire par excellence, et aucun des agents de la dominance médiatico-politique qui y sont infiltrés n’y font la moindre loi.
Pour exemple, dernièrement, Jean-Michel Aphatie, qui représente ce qu’il y a à peu près de plus veule en matière de journalisme couché – à part Patrick Liste Noire Cohen – s’est ridiculisé en commentant un tweet issu d’un compte parodique de Marine Le Pen. C’est une Botul, comme quand BHL avait analysé dans un de ses livres (écrit par ses nègres) les « concepts » du philosophe Botul, fruit de l’imagination parodique d’un journaliste du Canard enchaîné... Inutile d’ajouter que la puissance montante des RS va de pair avec la chute des médias mainstream, une chute économique et morale. Dans toutes les guerres, les traîtres, collabos et autres kapos, finissent lynchés.
3– La fronde contre la médecine d’État
L’axe Buzyn-Salomon-Hirsch-Cymes-Steg est la colonne vertébrale d’une médecine qui s’intéresse plus au pouvoir ou à l’argent qu’aux malades et à la maladie. Les décisions prises par ces responsables politiques ou médiatiques ont toujours été du côté des grands intérêts des labos pharmaceutiques, rarement celui des Français. Certains ont même eu l’impression d’être sacrifiés sur l’autel du Profit ou d’un pouvoir communautaire. Pour parler plus franchement, beaucoup de Français ont compris que la santé publique était devenue une affaire, plus que l’affaire de tous. Une affaire bien privée sous couvert d’intérêt public.
Et ceux qui crient à l’antisémitisme parce que ces représentants de la médecine d’État ont été dénoncés par le peuple devraient se demander pourquoi une telle concentration communautaire, avant toute chose. Et on ne reviendra pas sur les arnaques aux masques parties d’Israël et volant des Français, ou les disparitions de stocks de chloroquine et de respirateurs au moment où les services israéliens se vantaient d’avoir braqué du matériel à d’autres pays...
4– Les Français découvrent que leur santé leur appartient
La gestion de la crise dite du coronavirus a été tellement contradictoire, incohérente, aberrante, que de nombreux Français, autrefois croyants dans la médecine officielle, ont compris qu’ils devaient prendre leur santé et leur immunité en charge. Il en est de même pour la sécurité publique, puisque police et justice ne s’occupent plus de la délinquance venue des cités qui pourrit la vie quotidienne des Français.
À cette occasion, les plus crédules ont découvert des termes inconnus comme immunité, alimentation saine, sport ou marche à pied. Les vidéos de médecins ou de non-médecins qui parlaient immunité au lieu de parler répression ont redonné confiance à un peuple qui en était dépourvu, à qui la caste au pouvoir avait cassé le moral. Et le moral, c’est le terme populaire pour immunité.
5– Le pouvoir a montré son vrai visage
Ceux qui croyaient en la démocratie peuvent aller se rhabiller, ou ils ont changé de camp : le pouvoir visible n’est que l’habillage rassurant du pouvoir profond, qui n’a aucune pitié, aucune empathie, et qui est prêt à sacrifier toute une nation pour ses intérêts et sa survie. La Banque nous a attaqués par les côtés, cachée derrière un virus bidon, une grippe saisonnière plus ou moins trafiquée en laboratoire ou importée en des endroits précis, histoire de mettre le feu à des nations un peu trop récalcitrantes.
Double page de Paris Match légèrement retouchée par la Rédaction
La Banque, avec les dettes qui se profilent, a resserré ses griffes autour du cou des nations. Car la Banque vit de l’intérêt, de l’usure, elle vit de son argent qui est au départ l’argent de tous. La Banque n’est qu’un immense braquage sur l’argent des peuples, dont elle use et abuse. Et quand elle a trop joué avec, que toute la machinerie se déglingue, elle punit les peuples par la paupérisation et la répression. Car la Banque tient (sur) le pouvoir politique, qui tient (sur) la police. Retirez la police, et tout s’effondre.
6– Les Français (ré)apprennent à désobéir
Les Français, ce peuple magnifique qui a fait de grandes choses par le passé, s’est réveillé à l’occasion de la révolte des Gilets jaunes. Cette révolte met un point final à 50 ans de mensonge démocratique depuis Mai 68. Mais ce soulèvement n’a pas entraîné le reste de la population, qui était pourtant majoritairement solidaire. Il faudra, on le sait, plus de souffrance pour réveiller toutes les consciences, et l’ingénierie mondialiste baptisée « Covid-19 » est l’occasion d’ouvrir les yeux et de désobéir. Désobéir, on le sait, est une obligation quand le pouvoir devient fou, dangereux, meurtrier.
Depuis la sanglante répression des Gilets jaunes, on sait que les larbins de la Banque peuvent aller très loin pour conserver leur pouvoir. Maintenant, nous sommes occupés, et il y aura deux sortes de Français, comme en 1940 : ceux qui obéissent et ceux qui désobéissent. Ceux qui ferment les yeux et ceux qui les ouvrent. L’expérience du confinement est pour cela sociologiquement intéressante : on a vu, nous qui sortons tous les jours sans problème à n’importe quelle heure, qui sont ceux qui sauront résister à la dictature de la Banque et de ses sbires. Les regards se sont croisés de bons résistants. Des bons Français, quoi.
7– Le bon grain se sépare de l’ivraie
Une des choses qui a désorienté les Français, c’est la difficulté à lire l’information dans un monde où la propagande fait rage et où elle attaque tout ce qui n’est pas elle. Difficile alors pour un quidam de basculer dans le monde de la réinformation, ou plutôt de l’information authentique, celle qui n’est pas transformée, comme un produit alimentaire, par les intérêts des pouvoirs en place.
Aujourd’hui, la colère est telle – et encore, beaucoup de Français ne savent même pas qu’ils sont en colère, ni après qui ! – après la punition de plus de 60 millions d’innocents, foutus en cage sans raison valable, que l’instinct fait le tri tout seul à la place de l’intelligence : un Didier Raoult est applaudi quand un Salomon est désavoué, un Perronne est écouté quand une Lacombe est sifflée...
L’arnaque de l’ingénierie du Covid-19, après l’écran de fumée dû à l’explosion de peur, a laissé place à une lucidité nouvelle, qui a même touché des agents de la dominance médiatico-politique. Les cas d’un Jean-Pierre Pernaut ou d’une Françoise Laborde, en charge des JT des télés privée et publique, en disent long sur ce changement. On ne peut pas durablement lutter contre la vérité ou promouvoir le mensonge, il y a toujours un moment où tout se casse la gueule. C’est pour cela que la Banque, avant le crash mondial prévu – car la Banque est l’organisation la mieux renseignée du monde, avant même les gouvernements, relire notre étude ni complotiste ni antisémite sur la puissance des Rothschild – a été à l’origine de ce chaos sanitaire mondial, qui n’est qu’un écran de fumée sur ses calculs malsains.
8– La victoire du complotisme intelligent
La presse, bousculée par les avancées de l’information sur l’Internet qui a mis en pièces l’ingénierie mondialiste appelée Covid-19, a tenté d’éteindre l’incendie de sa propre défaite en hurlant au « complotisme » et en convoquant l’andouille de service, le Patacrif, Rudy IIIe Reichstadt. Ce qui a eu le même effet qu’envoyer une bouée de plomb à un noyé. L’information indépendante a fait, de manière rhizomique, des pas de géants dans le décryptage de l’arnaque mondialiste, en dévoilant l’incroyable réseau Epstein et ses tentacules dans tous les pays dits avancés. De plus, l’information non alignée a mis en pièces le travail de communication de l’escroc eugéniste Bill Gates, qui cache derrière sa philanthropie les pires intérêts transhumanistes des multinationales. De fait, l’ingénierie du réchauffisme s’est effondrée sur elle-même, comme s’effondre aujourd’hui l’ingénierie « Covid ».
Les peuples, grâce aux journalistes naturels, mus par la passion de la vérité, des citoyens curieux et généreux qui travaillent pour les autres ou pour le bien de l’humanité, bénéficient d’une information qui privilégie leurs intérêts et qui se heurte aux intérêts des puissants, qui ne sont pas les amis des peuples, même s’ils serinent le contraire du matin au soir dans leurs journaux corrompus. Corrompus par l’argent, le marché, la Banque. Et les réseaux de pouvoir.
Le complotisme est donc le nom de la nouvelle intelligence qui avance horizontalement, en rhizome, et qui bénéficie de l’apport de tous. Sur E&R, jamais nous n’aurions pu vous offrir un point de vue global lucide, cohérent et durable sur l’ingénierie en cours sans le concours de centaines de sympathisants qui nous ont envoyé des milliers d’informations, que nous avons absorbées, recoupées, et utilisées. C’est un travail collectif d’intérêt général, auquel vous avez participé.
9– Ceux qui ont survécu à cette agression mondialiste en sortent plus forts
Pas la peine de re-citer Nietzsche, tout le monde a compris : nous sortons de cette ingénierie plus lucides, plus forts et plus déterminés. C’est la conséquence de toutes les attaques qui échouent.
Au foot, pour prendre cet exemple que nous connaissons – et en avant la métaphore filée ! –, quand une équipe bien soudée résiste à une forte attaque par une équipe supérieure en nombre ou en qualité, en général, l’attaque finit par se déliter et la contre-attaque est souvent mortelle. Celui qui ne tue pas est tué, il en est ainsi dans toutes les guerres et nous sommes en guerre, le Président l’a dit, et, pour une fois, on est d’accord avec lui. Peu importe si le pouvoir augmente sa répression à court terme ou qu’il nous paupérise encore un peu plus, il faudra venir nous chercher avec les dents, maintenant...
10– Tout est à faire
Ne croyez pas les menteurs de l’ancien monde qui nous disent qu’ils vont changer, que la crise sanitaire les a changés : ce sont des menteurs, des voleurs et des assassins. Ils sont déjà dans les poubelles de l’Histoire et s’accrochent à leurs prébendes, mais la politique est déjà ailleurs, chez ceux qui s’en sont emparés. Toute la caste médiatico-politique a trahi, journaux et gouvernement réunis, ils ne sont plus rien, moralement.
Seul un résidu de crédulité dans la population terrorisée leur permet de croire encore à leur pouvoir, mais il a déjà changé de camp, car la confiance les a fuis. Et sans la confiance, tout s’écroule. Aujourd’hui, la bataille politique fait rage autour d’une seule question : à qui le peuple fait-il désormais confiance pour le guider ? À moins qu’il ne se guide tout seul, ce n’est plus aux vieilles organisations pourries, au moins...
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