On distingue deux composants majeurs dans le traitement de l’épidémie du virus chinois (Covid 19) : l’un relève du domaine médical et l’autre du pouvoir politique. Depuis la fin du XIXème siècle et jusqu’à janvier 2020, toutes les maladies, épidémies relevaient du champ d’activité des médecins et des chercheurs. La grippe chinoise dite du Covid 19, inaugure une attitude radicalement différente. Quelque chose d’absolument nouveau se produit.
Quels que soient la gravité de la maladie et le nombre de morts qu’elle entraînait, le pouvoir invariablement s’en remettait à la relation médecins-malades. En 1918 où l’épidémie de grippe tue plus de 20.000.000 de personnes, la vie continue normalement.
Le travail des politiques consistait, à se mettre à l’écoute des demandes du corps médical et à répondre autant que faire se peut, à leurs besoins en matériel, personnel etc.
Quels que soient la gravité de la maladie et le nombre de morts qu’elle entraînait, le pouvoir invariablement s’en remettait à la relation médecins-malades. En 1918 où l’épidémie de grippe tue plus de 20.000.000 de personnes, la vie continue normalement.
Le travail des politiques consistait, à se mettre à l’écoute des demandes du corps médical et à répondre autant que faire se peut, à leurs besoins en matériel, personnel etc.
Le modèle des despotes chinois
Très vite, les dirigeants politiques chinois se sont emparés de l’épidémie, c’est-à-dire du pouvoir médicale et des patients, de tous les patients, les malades et ceux qui ne le sont pas.
Une fusion s’opère entre ces deux univers et de cette fusion née une nouvelle forme de pouvoir : le biopouvoir duquel découle un régime que j’ai appelé « biocratie », littéralement « pouvoir sur la vie » ou « pouvoir au nom de la vie ».
Ce régime a deux caractéristiques majeures : c’est un régime totalitaire qui s’empare de l’existence de toute la population, malade ou saine, et la soumet à son diktat sans contestation possible et qui est prêt à tout sacrifier pour parvenir à ses fins.
En s’emparant de l’épidémie, les despotes chinois ont en fait un problème dont la solution n’est plus seulement médicale mais sociale. C’est comme si le virus avait contaminé non un certain nombre de malades, mais toute la population, toute l’économie, la culture au sens large du terme, et qu’elle avait pollué ou intoxiqué tous les esprits.
C’est ainsi qu’en politisant l’épidémie, en propageant la peur, les dirigeants chinois ont fait d’un drame humain, une catastrophe mondiale.
Car en politisant le virus, celui-ci a eu pour effet d’enfermer les gens et de paralyser de proche en proche les centres vitaux des pays concernés. La méthode chinoise de traitement de l’épidémie agit sur la société comme une sorte de curare.
Le cycle de la catastrophe mondiale va être enclenché à partir du moment où le modèle chinois est copié, imité par les grandes démocraties. Lorsque cela s’est produit dans le passé, le monde a basculé dans la folie.(cf. l’intégration du modèle fasciste par les peuples européens, notamment la France, l’Italie, l’Espagne…)
Le modèle chinois est importé par la France
Après un moment d’hésitation et de flottement, la France adopte le modèle chinois de gestion de l’épidémie ou du moins la représentation qu’elle s’en fait.
Pourquoi Macron s’empare-t-il du pouvoir médical ?
La France depuis de nombreuses années fonctionne sur fond de crise permanente : le chômage est devenu une réalité endémique ; la balance commerciale est déficitaire ; l’endettement est énorme, la France se désindustrialise à vitesse grand V… le monde agricole est en colère, les enseignants également. La violence et l’insécurité inquiètent fortement l’opinion publique. A cette crise structurelle, à cette désorganisation généralisée, s’ajoutent des crises conjoncturelles qui éclatent violemment en 2018 et 2019 : la plus grave est indéniablement le Brexit, mais également la crise migratoire, l’Affaire Benala, les manifestations des Gilets-Jaunes, les élections nationales et européennes qui toutes expriment une poussée des mouvements dit « populistes » violemment hostiles à la poursuite de l’intégration européenne ; les négociations budgétaires difficiles, les guerres commerciales avec les Etats-Unis, le leadership d’Angela Meckel fortement contesté…
Macron doit ensuite affronter le très dur conflit social autour de la réforme des retraites. Enfin il doit également faire face à la grogne des avocats, de la police, des personnels des transports. Last but not least, les agents hospitaliers tirent la sonnette d’alarme, alertent l’opinion publique et le gouvernement sur la situation catastrophique dans laquelle se trouvent entre autres, les urgences. Victime d’une politique de réduction des effectifs, du nombre de lits, de la fermeture de nombreux centres jugés non-rentables, le secteur de la santé public est sinistré.
C’est donc sur fond de crises graves structurelles et conjoncturelles, affectant tous les domaines de la société, qu’éclate la crise du coronavirus.
En France comme en Chine, le pouvoir politique s’est emparé du pouvoir médical. Les médecins ont perdu la liberté de prescrire leur traitement.
Sous prétexte de guerre, le Président de la république est devenu le Médecin en chef comme jadis certains chefs d’Etat se bombardaient Chef des armées.
Un groupe de médecins marseillais sauve l’honneur du pays et de leur profession
Ces médecins, dont le Professeur Raoult est le plus célèbre, persistent à appliquer un traitement que le pouvoir politique, pour des raisons qui restent à expliciter, interdit.
Le professeur Raoult est montré du doigt, critiqué ou adulé. Que fait-il de si spécial ? Rien de particulier, si ce n’est son travail de médecin.
Après pression de l’opinion publique, Emmanuel Macron autorise le docteur Raoult a simplement faire son travail. Mais Macron a-t-il passé commande de masques, de gans, de respirateurs, de lits… ?
Pendant qu’un autre groupe de médecins, va totalement dans le sens du pouvoir
Saisi par un syndicat de jeunes médecins qui souhaite inciter le gouvernement à pratiquer un confinement total de type chinois, le Conseil d’Etat a, ce dimanche 22 mars, opposé un refus catégorique à cette demande. Un tel confinement dit le Président de la section du contentieux, mettrait en danger la vie des Français.
Le Conseil d’Etat limite les tendances totalitaires du biopouvoir
Mais, en dépit de l’incontestable acte de courage du Conseil d’Etat, les Français sont livrés sans réelle défense, à l’épidémie et à l’arbitraire du pouvoir. Nous savons que le confinement sans dépistage systématique, sans extraction et prise en charge des malades, est non seulement inefficace mais dangereux.
L’origine du drame que nous vivons vient de l’exécutif qui s’est emparé de l’épidémie de grippe pour pérenniser un pouvoir fortement contesté.
La grippe n’est qu’un prétexte et non la cause de la panique mondiale
Les politiques ont instrumentalisé la peur pour imposer leur diktat. Maintenant, leur visée totalitaire conduit le pays dans une impasse, voire à la catastrophe.
Déjà 1 300 000 chômeurs de plus, 100 000 entreprises sinistrées…
Le confinement prolongé provoque des drames, des conflits dans les couples, dans les familles. Le nombre de suicide augmente. La violence intraconjugale également. Dans les Ehpad, les vieux abandonnés par leur famille et leurs proches, meurent faute de soins élémentaires, Pour mettre un terme le plus rapidement possible à cette situation extrêmement dangereuse, il suffit et il faut impérativement que le pouvoir politique cesse de commander au pouvoir médical.
Le pouvoir doit s’atteler uniquement à fournir masques, tests, respirateurs, lits, personnels…il doit faire confiance aux médecins et aux malades pour résoudre cette épidémie.
C’est au médecin de dire au commerçant, à l’ouvrier, à l’employer… s’il peut continuer à travailler ou non, et si oui, à quelles conditions. Il n’existe aucune autre solution possible. Le confinement est un leurre extrêmement nocif. A terme il est tout à fait possible qu’il expose des dizaines de millions de personnes à une mort certaine et qu’il soit la cause de l’inversion de la courbe des épidémies de grippe :
En 1958, la grippe asiatique tue 100 000 français et 2 000 000 de personnes dans le monde. En 1968-69 la grippe de Hong Kong tue 31 000 personnes en France et 1 000 000 dans le monde. En 2018-2019, la grippe saisonnière tue 8500 personnes en France et 650 000 dans le monde.
Nous constatons que le nombre de victimes est en baisse constante. Cela est du en partie à la pratique de la vaccination, à l’hygiène et à un autre phénomène, celui de l’auto-vaccination. La grande majorité des gens s’immunisent spontanément en étant en contact avec le virus. C’est le raisonnement suivi jusqu’à ce jour par la Hollande pour refuser le confinement.
Si l’on supprime ce contact, on supprime la faculté de produire des anticorps adaptés au nouveau virus. Conséquences : lors de la prochaine épidémie de grippe, une grande partie de la population n’ayant pas produit d’anticorps, risque, en l’absence de vaccin efficace, de développer des formes aigües c’est-à-dire potentiellement mortelles de la maladie.
L’histoire enseigne que les personnes n’ayant jamais rencontré de gens grippées, meurent au moindre contact avec le virus.(cf. les pauvres indiens).
Le sort du monde est entre les mains du président Trump.
Les Etats démocrates aux Etats-Unis ont adopté, comme la France, l’option des despotes chinois
Le but des démocrates pro-chinois est de mettre les Etats-Unis en récession, créer des millions de chômeurs supplémentaires, pour affaiblir Trump et le disqualifier, non de combatte la grippe.
Il ne faut surtout pas que le Président Trump cède au chantage des démocrates pro-chinois. La tâche est ardue dès lors que ces derniers détiennent l’essentiel des médias ; qu’ils sont d’une extrême mauvaise foi, et qu’ils pratiquent un ignoble chantage.
Trump doit faire globalement confiance à la relation médecins-malades pour endiguer et combattre l’épidémie. Qu’il réponde aux besoins du système médical, mais qu’il ne se substitut pas à lui. Il ne faut pas qu’il mette en berne l’économie. La pauvreté rendra très difficile et la lutte contre l’actuel virus et la lutte contre toutes les autres maladies.
S’il cédait à ce chantage, alors la catastrophe mondiale serait inévitable. Le monde plongerait dans un invraisemblable chaos.
Les dégâts occasionnés non par le virus, mais par la gestion chinoise de l’épidémie, seront comparables aux destructions qu’aurait produites une troisième guerre mondiale.
[...]
Encore une fois, je rappelle la règle simple qui nous a permis jusqu’à présent de combattre toutes les épidémies : les arrêts de maladie, le traitement adéquat… sont prescrits par le médecin, non par le chef de l’Etat.
Le culte de la vie qui est à la base de cet immense chaos planétaire, est toxique. Il faut revenir aux vraies valeurs : la première et la plus importante a pour nom « Liberté ».
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
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