On a bien rigolé, tout de même, la semaine dernière! L’histoire de la quéquette à Benjamin ça restera comme un must du comique républicain. Plus fort que Félix (Faure) lequel y avait pourtant laissé les quilles, plus drôle que les minableries pédophiles du vieux camarade Le Troquer (1), plus spectaculaire que les aventures new-yorkaises de Minou la Tringlette, plus graveleux que les petites escapades Hollandouilliennes Rue du Cirque au point du jour! Ce ne sont pas les comédies grivoises qui manquent, au sein de notre admirable Démocratie, reconnaissons que la bande de rigolos qui nous gouverne ne manque ni de libido ni d’imagination pour la satisfaire! Cela remonte même à l’Ancien Régime qui, lui aussi, savait y faire dans le domaine de la fornication crapuleuse.
Sauf qu’aujourd’hui nous avons le digital, enfin le numérique, je veux dire le smartphone, cet appendice de nous mêmes aussi indissociable de nos personnes que nos yeux, nos cheveux (pour ceux qui en ont encore) ou, bien sûr, notre appareil pornographique, celui que l’infortuné candidat à la Mairie Parisienne filmait si complaisamment en pleine action onaniste. De nos jours vous pouvez pratiquement tout faire et tout de suite, grâce à votre auxiliaire de poche, la prothèse magique qui vous met le monde entier à portée de main et vous propulse partout où vous le souhaitez à la vitesse de la lumière. C’est quelque chose, vous savez, faut reconnaître! Moi qui suis né dans la première moitié du siècle dernier, je sais de quoi je parle! Mon enfance, au demeurant plutôt paisible, s’est passée sans téléphone à la maison, la haute technologie communicatrice se trouvait alors exclusivement représentée, chez nous, par ce meuble admirable que mon père appelait « le poste de T.S.F.« . L’objet en question, fort décoratif au demeurant puisque fruit d’un design art-déco du plus heureux effet, nous permettait, à l’issue d’un délai de pré-chauffage inférieur à deux minutes, d’accéder aux « informations » -durant lesquelles la puissance paternelle recommandait de fermer sa gueule sous peine d’un coup de pied au cul à ne pas s’asseoir pendant plusieurs heures- ainsi qu’à diverses émissions de divertissement depuis les chansons de Gloria Lasso, d’André Clavaud, sans oublier (déjà) Line Renaud et sa « Cabane au Canada », jusqu’au théâtre radiophonique, lequel nécessitait juste un peu d’imagination pour se figurer le décor ainsi que les tronches des protagonistes. Jamais, alors, ni même plusieurs décennies plus tard, nous n’aurions imaginé nous trimballer un jour munis d’un ustensile diabolique capable de nous tenir lieu de téléphone, certes, mais aussi d’ordinateur, d’appareil-photo, d’encyclopédie… bref de tout un tas de merveilles trop longues à énumérer et, aussi, de cerveau auxiliaire, sinon principal dans la plupart des cas.
On a peine à évoquer ces temps où le premier ancêtre venu du petit Grivois à son Présipède, s’il eût souhaité se filmer les plaisirs solitaires pour en faire profiter la dame de ses pensées, se fût retrouvé bien embêté avec sa caméra 8mm qu’il fallait tenir à deux mains, sans parler d’un mécanisme à remonter à chaque minute. N’oublions pas, ensuite, le développement de la pelloche, envoyée à l’usine Kodak et retournée sous quinzaine, bonjour discrétion et immédiateté! Même pour une simple photo, je m’en souviens comme si c’était hier, et pourtant on dirait la préhistoire! On apportait le petit rouleau impressionné au photographe du coin, lequel, sous quelques jours, vous rendait votre petit paquet de clichés accompagné des négatifs…il regardait les tirages, le type, pour contrôler la qualité de son boulot! Vous n’imaginez pas qu’on allait se risquer à l’ image compromettante, tout le pays l’aurait su en pas vingt-quatre heures! Pour vous dire à quel point la vie s’est trouvée totalement transfigurée par le smartphone, n’est ce pas, quand on y songe un peu on réalise le bouleversement.
Et pour ce qui concerne le pauvre couillon d’ex-candidat, fût-il venu au monde quarante ans plus tôt, sans doute eût il échappé au scandale masturbatoire … et aux suites indéfinies que lui réservera Piotr, l' »artiste » ruskof, lequel s’apprêterait, comme promis, à balancer sur la toile un nouveau petit stock de cochonneries griveauoises! Il ne s’en remettra pas, le Benjamin, la haute technologie nous aura apporté au moins ça, bon débarras!
En revanche, là où nous commençons à moins rigoler, car la haute technologie ne nous y sera pas d’un grand secours, c’est sur le terrain du virus chinetoque. Voilà une affaire qui me semblait plutôt bénigne, voire négligeable, vu toutes les aventures tragi-comiques que nous vécûmes par le passé en matière de nouvelles maladies plus ou moins aviaires et généralement pas bien méchantes pour notre espèce. Je me souviens notamment de l’époque Roselyne Bachelot, la grosse gourde qui nous avait acheté, sous Sarko, je ne sais plus combien de millions de doses de vaccin contre la « grippe porcine »! Elle nous en avait collé pour deux milliards d’Euros, l’andouille, puis concocté des séances de vaccination collectives sur l’ensemble du territoire, le tout aboutissant à un flop absolu, la quasi-totalité des produits en cause ayant fini à la poubelle. Elle n’avait même pas, semble-t-il, pris de pognon au passage… ou alors vraiment pas beaucoup, c’est vous dire! Bécassine au ministère!
Mais aujourd’hui, même si la dame Lévy née Buzin s’en est allée en campagne parisienne en suppléance du montreur de bite dont nous parlions plus haut, nous avons encore une sacrée pointure à la tête du ministère en cause, le sieur Véran, socialiste macronnisé de la plus belle eau, le même format que Griveaux, si vous voyez, ça donne une idée… Et ce garçon risque maintenant de se retrouver aux prises avec un gros-gros problème, je ne vous dis pas!
Enfin si, je vous dis, au contraire, je vous dis ce que vient de sortir Xi Jin Ping soi-même, c’est du lourd, vous l’allez voir! » Le coronavirus est la plus grave urgence sanitaire en chine depuis 1949! » voilà ses propos retranscrits tel-quel, lapidaires, sans altération ni nuance, dans leur simplicité tragique! Malgré toutes les calamités qui leur sont tombées dessus depuis la Longue Marche et l’apothéose du Président Mao, ils n’avaient pas encore connu ça, les Magots! De l’aveu même de l’hyper big-boss du pays au milliard et demi d’habitants, le plus grave c’est ce putain de Covid 19! Personne n’avait vraiment vu venir le coup! Et moi, ce qui m’inquiète dans cette affaire c’est qu’ils y laissent des plumes, les Chinetoques, leur économie est en train de se ratatiner comme une vieille mandarine de Zu-Chuan! Je ne vois pas bien l’intérêt qu’ils auraient à la jouer de la sorte s’ils n’avaient pas réellement la sainte-trouille de l’épidémie dévastatrice. Quand on voit leurs rues vides, les rares passants masqués qui foncent se terrer dans leurs cagnas et les avions à l’arrêt, bloqués sur les tarmacs jusqu’à rien de nouveau, on ne croit plus trop à la blagounette du virus coquin, on balise!
Et c’est le cas des Coréens qui ont décrété aujourd’hui l’alerte maximale! Et ça commence aussi à barder en Iran, en Turquie, au Pakistan! La Jordanie ferme ses frontières, les passagers du Diamond Princess, bloqué à Yokohama, claquent les uns après les autres…la frousse gagne du terrain à chaque instant… Toutefois, le plus embêtant c’est l’Italie!
Embêtant surtout parce que ça se passe à deux-cents kilomètres de votre serviteur! Et faut voir les mesures! Les magasins fermés, les rues désertes, les flics masqués qui patrouillent, les barrages à l’entrée et à la sortie des agglomérations, le carnaval de Venise annulé, Milan et sa Fashion-week qui paniquent…mince, on dirait la peste, le choléra, Ebola, ou je ne sais encore trop quelle saloperie mortelle! Donc c’est là, quoi, ça arrive, la chape de plomb ne devrait pas tarder à nous tomber dessus! Je pense que nous allons déguster, nous aussi! Déjà, comme dit la mère Le Pen, ce serait le cas d’en profiter pour bloquer un peu la frontière avec l’Italie, on ferait d’une pierre deux coups, on arrêterait le virus et les « migrants » en même temps…oui enfin, seulement les migrants qui auraient un peu de fièvre, vous savez, faut pas mélanger les procédures!
Allez, préparez vous, les amis, notre nouveau ministre s’est empressé de commander des masques, ça a même été sa première action d’éclat, allez vite chez votre pharmacien en réserver un petit stock! Je ne plaisante pas, vous savez, si ça se trouve la semaine prochaine vous en aurez besoin, ne serait-ce que pour aller faire pisser Mirza, ça va devenir obligatoire!
Courage, en faisant bien attention, certains d’entre nous survivront peut-être…oui, je dis ça parce que le Covid 19, sa cible favorite c’est le vieux… »Ils n’en mouraient pas tous, mais tous étaient frappés« …
Bonne semaine tout de même et à Dimanche prochain…au moins pour les plus costauds.
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN
(1) L’affaire des Ballets Roses, en 1959…le Socialo Le Troquer Président de l’Assemblée Nationale sous la Quatrième, un solide républicain, organisait des parties fines, joliment agrémentées de petites jeunes filles entre quinze et vingt ans…
Sauf qu’aujourd’hui nous avons le digital, enfin le numérique, je veux dire le smartphone, cet appendice de nous mêmes aussi indissociable de nos personnes que nos yeux, nos cheveux (pour ceux qui en ont encore) ou, bien sûr, notre appareil pornographique, celui que l’infortuné candidat à la Mairie Parisienne filmait si complaisamment en pleine action onaniste. De nos jours vous pouvez pratiquement tout faire et tout de suite, grâce à votre auxiliaire de poche, la prothèse magique qui vous met le monde entier à portée de main et vous propulse partout où vous le souhaitez à la vitesse de la lumière. C’est quelque chose, vous savez, faut reconnaître! Moi qui suis né dans la première moitié du siècle dernier, je sais de quoi je parle! Mon enfance, au demeurant plutôt paisible, s’est passée sans téléphone à la maison, la haute technologie communicatrice se trouvait alors exclusivement représentée, chez nous, par ce meuble admirable que mon père appelait « le poste de T.S.F.« . L’objet en question, fort décoratif au demeurant puisque fruit d’un design art-déco du plus heureux effet, nous permettait, à l’issue d’un délai de pré-chauffage inférieur à deux minutes, d’accéder aux « informations » -durant lesquelles la puissance paternelle recommandait de fermer sa gueule sous peine d’un coup de pied au cul à ne pas s’asseoir pendant plusieurs heures- ainsi qu’à diverses émissions de divertissement depuis les chansons de Gloria Lasso, d’André Clavaud, sans oublier (déjà) Line Renaud et sa « Cabane au Canada », jusqu’au théâtre radiophonique, lequel nécessitait juste un peu d’imagination pour se figurer le décor ainsi que les tronches des protagonistes. Jamais, alors, ni même plusieurs décennies plus tard, nous n’aurions imaginé nous trimballer un jour munis d’un ustensile diabolique capable de nous tenir lieu de téléphone, certes, mais aussi d’ordinateur, d’appareil-photo, d’encyclopédie… bref de tout un tas de merveilles trop longues à énumérer et, aussi, de cerveau auxiliaire, sinon principal dans la plupart des cas.
On a peine à évoquer ces temps où le premier ancêtre venu du petit Grivois à son Présipède, s’il eût souhaité se filmer les plaisirs solitaires pour en faire profiter la dame de ses pensées, se fût retrouvé bien embêté avec sa caméra 8mm qu’il fallait tenir à deux mains, sans parler d’un mécanisme à remonter à chaque minute. N’oublions pas, ensuite, le développement de la pelloche, envoyée à l’usine Kodak et retournée sous quinzaine, bonjour discrétion et immédiateté! Même pour une simple photo, je m’en souviens comme si c’était hier, et pourtant on dirait la préhistoire! On apportait le petit rouleau impressionné au photographe du coin, lequel, sous quelques jours, vous rendait votre petit paquet de clichés accompagné des négatifs…il regardait les tirages, le type, pour contrôler la qualité de son boulot! Vous n’imaginez pas qu’on allait se risquer à l’ image compromettante, tout le pays l’aurait su en pas vingt-quatre heures! Pour vous dire à quel point la vie s’est trouvée totalement transfigurée par le smartphone, n’est ce pas, quand on y songe un peu on réalise le bouleversement.
Et pour ce qui concerne le pauvre couillon d’ex-candidat, fût-il venu au monde quarante ans plus tôt, sans doute eût il échappé au scandale masturbatoire … et aux suites indéfinies que lui réservera Piotr, l' »artiste » ruskof, lequel s’apprêterait, comme promis, à balancer sur la toile un nouveau petit stock de cochonneries griveauoises! Il ne s’en remettra pas, le Benjamin, la haute technologie nous aura apporté au moins ça, bon débarras!
En revanche, là où nous commençons à moins rigoler, car la haute technologie ne nous y sera pas d’un grand secours, c’est sur le terrain du virus chinetoque. Voilà une affaire qui me semblait plutôt bénigne, voire négligeable, vu toutes les aventures tragi-comiques que nous vécûmes par le passé en matière de nouvelles maladies plus ou moins aviaires et généralement pas bien méchantes pour notre espèce. Je me souviens notamment de l’époque Roselyne Bachelot, la grosse gourde qui nous avait acheté, sous Sarko, je ne sais plus combien de millions de doses de vaccin contre la « grippe porcine »! Elle nous en avait collé pour deux milliards d’Euros, l’andouille, puis concocté des séances de vaccination collectives sur l’ensemble du territoire, le tout aboutissant à un flop absolu, la quasi-totalité des produits en cause ayant fini à la poubelle. Elle n’avait même pas, semble-t-il, pris de pognon au passage… ou alors vraiment pas beaucoup, c’est vous dire! Bécassine au ministère!
Mais aujourd’hui, même si la dame Lévy née Buzin s’en est allée en campagne parisienne en suppléance du montreur de bite dont nous parlions plus haut, nous avons encore une sacrée pointure à la tête du ministère en cause, le sieur Véran, socialiste macronnisé de la plus belle eau, le même format que Griveaux, si vous voyez, ça donne une idée… Et ce garçon risque maintenant de se retrouver aux prises avec un gros-gros problème, je ne vous dis pas!
Enfin si, je vous dis, au contraire, je vous dis ce que vient de sortir Xi Jin Ping soi-même, c’est du lourd, vous l’allez voir! » Le coronavirus est la plus grave urgence sanitaire en chine depuis 1949! » voilà ses propos retranscrits tel-quel, lapidaires, sans altération ni nuance, dans leur simplicité tragique! Malgré toutes les calamités qui leur sont tombées dessus depuis la Longue Marche et l’apothéose du Président Mao, ils n’avaient pas encore connu ça, les Magots! De l’aveu même de l’hyper big-boss du pays au milliard et demi d’habitants, le plus grave c’est ce putain de Covid 19! Personne n’avait vraiment vu venir le coup! Et moi, ce qui m’inquiète dans cette affaire c’est qu’ils y laissent des plumes, les Chinetoques, leur économie est en train de se ratatiner comme une vieille mandarine de Zu-Chuan! Je ne vois pas bien l’intérêt qu’ils auraient à la jouer de la sorte s’ils n’avaient pas réellement la sainte-trouille de l’épidémie dévastatrice. Quand on voit leurs rues vides, les rares passants masqués qui foncent se terrer dans leurs cagnas et les avions à l’arrêt, bloqués sur les tarmacs jusqu’à rien de nouveau, on ne croit plus trop à la blagounette du virus coquin, on balise!
Et c’est le cas des Coréens qui ont décrété aujourd’hui l’alerte maximale! Et ça commence aussi à barder en Iran, en Turquie, au Pakistan! La Jordanie ferme ses frontières, les passagers du Diamond Princess, bloqué à Yokohama, claquent les uns après les autres…la frousse gagne du terrain à chaque instant… Toutefois, le plus embêtant c’est l’Italie!
Embêtant surtout parce que ça se passe à deux-cents kilomètres de votre serviteur! Et faut voir les mesures! Les magasins fermés, les rues désertes, les flics masqués qui patrouillent, les barrages à l’entrée et à la sortie des agglomérations, le carnaval de Venise annulé, Milan et sa Fashion-week qui paniquent…mince, on dirait la peste, le choléra, Ebola, ou je ne sais encore trop quelle saloperie mortelle! Donc c’est là, quoi, ça arrive, la chape de plomb ne devrait pas tarder à nous tomber dessus! Je pense que nous allons déguster, nous aussi! Déjà, comme dit la mère Le Pen, ce serait le cas d’en profiter pour bloquer un peu la frontière avec l’Italie, on ferait d’une pierre deux coups, on arrêterait le virus et les « migrants » en même temps…oui enfin, seulement les migrants qui auraient un peu de fièvre, vous savez, faut pas mélanger les procédures!
Allez, préparez vous, les amis, notre nouveau ministre s’est empressé de commander des masques, ça a même été sa première action d’éclat, allez vite chez votre pharmacien en réserver un petit stock! Je ne plaisante pas, vous savez, si ça se trouve la semaine prochaine vous en aurez besoin, ne serait-ce que pour aller faire pisser Mirza, ça va devenir obligatoire!
Courage, en faisant bien attention, certains d’entre nous survivront peut-être…oui, je dis ça parce que le Covid 19, sa cible favorite c’est le vieux… »Ils n’en mouraient pas tous, mais tous étaient frappés« …
Bonne semaine tout de même et à Dimanche prochain…au moins pour les plus costauds.
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN
(1) L’affaire des Ballets Roses, en 1959…le Socialo Le Troquer Président de l’Assemblée Nationale sous la Quatrième, un solide républicain, organisait des parties fines, joliment agrémentées de petites jeunes filles entre quinze et vingt ans…
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