«Le renseignement a intercepté des conversations en Irak et en Iran et a averti les forces américaines qu’il fallait attendre une frappe à peu près à 17h30 heure de l’Est (23h30 à Paris)», a indiqué Fox News. Peu avant les frappes, les autorités irakiennes ont également averti les États-Unis après avoir reçu l’information de Téhéran.
L’envergure de l’attaque ignorée
«À l’heure de l’arrivée de l’avertissement irakien, les militaires américains savaient déjà depuis plusieurs heures que l’Iran planifiait une frappe de missiles. Comme nous l’a dit un porte-parole militaire, ils savaient même l’heure approximative de l’attaque. Ils savaient d’où et où frapperaient les missiles, mais ils ignoraient seulement l’envergure exacte de l’attaque», a indiqué la chaîne.
Frappes iraniennes
Dans la nuit du 7 au 8 janvier, l’Iran a tiré des missiles sur les bases américaines d’al-Assad et d’Erbil, lesquelles abritent des contingents militaires de l’armée américaine. L’attaque a suivi le meurtre du général iranien Qassem Soleimani.
La chaîne de télévision iranienne Press TV a affirmé que 80 personnes avaient été tuées dans cette attaque, tandis que Donald Trump a déclaré qu’aucun Américain n’avait été blessé ou tué.
Source
L’armée canadienne affirme que la frappe de missiles iraniens contre des bases militaires en Irak souligne la nécessité d’un nouveau système pour défendre les troupes canadiennes contre les attaques aériennes ennemies par des avions, des missiles et des drones.
L’Iran a tiré mardi des missiles sur deux bases militaires en Irak, dont une qui abrite des troupes canadiennes depuis plus de cinq ans dans le cadre de la lutte contre Daech.
Lors d’une conférence de presse, mercredi, le premier ministre Justin Trudeau s’est dit soulagé que personne n’ait été blessé dans cette attaque en représailles au meurtre du haut gradé iranien Qassem Soleimani par un drone américain la semaine dernière.
Les troupes canadiennes en Irak et ailleurs sont régulièrement déployées avec des alliés qui ont ce qu’on appelle des «défenses antiaériennes au sol», ou l’acronyme GBAD en anglais dans le jargon militaire, ce qui peut inclure des intercepteurs de missiles, des canons antiaériens et des dispositifs de brouillage électroniques et aux lasers.
Mais la porte-parole de l’armée canadienne Karla Gimby, s’exprimant au nom du commandant de l’armée, le lieutenant-général Wayne Eyre, a fait valoir mercredi que l’attaque au missile illustrait la nécessité d’obtenir un nouveau système de défense aérienne pour les troupes au sol.
L’absence d’un tel système a été signalée par des commandants successifs de l’armée canadienne comme une lacune critique depuis que l’armée a retiré la dernière de ses armes de défense aérienne en 2012.
Les soldats de la coalition menées par les USA ne disposaient pas de défenses antiaériennes efficaces
L’armée canadienne affirme que la frappe de missiles iraniens contre des bases militaires en Irak souligne la nécessité d’un nouveau système pour défendre les troupes canadiennes contre les attaques aériennes ennemies par des avions, des missiles et des drones.
L’Iran a tiré mardi des missiles sur deux bases militaires en Irak, dont une qui abrite des troupes canadiennes depuis plus de cinq ans dans le cadre de la lutte contre Daech.
Lors d’une conférence de presse, mercredi, le premier ministre Justin Trudeau s’est dit soulagé que personne n’ait été blessé dans cette attaque en représailles au meurtre du haut gradé iranien Qassem Soleimani par un drone américain la semaine dernière.
Les troupes canadiennes en Irak et ailleurs sont régulièrement déployées avec des alliés qui ont ce qu’on appelle des «défenses antiaériennes au sol», ou l’acronyme GBAD en anglais dans le jargon militaire, ce qui peut inclure des intercepteurs de missiles, des canons antiaériens et des dispositifs de brouillage électroniques et aux lasers.
Mais la porte-parole de l’armée canadienne Karla Gimby, s’exprimant au nom du commandant de l’armée, le lieutenant-général Wayne Eyre, a fait valoir mercredi que l’attaque au missile illustrait la nécessité d’obtenir un nouveau système de défense aérienne pour les troupes au sol.
L’absence d’un tel système a été signalée par des commandants successifs de l’armée canadienne comme une lacune critique depuis que l’armée a retiré la dernière de ses armes de défense aérienne en 2012.
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