Les images parlent d’elles mêmes. ( tout ça en plein milieu de l’autoroute, c des malades mentaux) pic.twitter.com/TFHFnMBHxs— Embarek🐊 (@EmbaSTBZ) 21 décembre 2019
Près de 450 supporters du Nîmes Olympique ont dénoncé l'attaque policières du 21 décembre, alors qu’ils venaient assister à la rencontre face à l’OM. Après un arrêté préfectoral, seulement 200 étaient autorisés à faire le déplacement. Des violences ont éclaté sur le retour. Certains envisagent de porter plainte.
Selon le quotidien, samedi 21 décembre, 450 supporters nîmois répartis dans huit bus étaient en route pour le stade Vélodrome pour assister au match opposant leur club à l’Olympique de Marseille. Mais un arrêté préfectoral des Bouches-du-Rhône n’autorisait le déplacement que de 200 supporters. Les forces de l’ordre les ont alors interceptés à hauteur de Lançon-Provence, immobilisant les véhicules durant deux heures sur une aire d’autoroute.
D’après le média, les forces de l’ordre les ont ensuite escortés jusqu’à Nîmes avant de subitement arrêter le cortège pour intervenir. C’est à ce moment-là que la situation a dégénéré.
Le trajet a été marqué par un arrêt brutal «en plein milieu de l’autoroute», selon un jeune homme cité par le quotidien. Il a filmé depuis l’intérieur du bus l’intervention des forces de l’ordre.
«Le chauffeur du bus des Gladiators [groupe de supporters nîmois, ndlr] a fait des appels de phare aux policiers pour leur demander de rouler plus vite car c'était dangereux», raconte-t-il.
Le président de l'autre groupe de supporters confirme: «on roulait maximum à 45 km/h». «Les CRS se sont arrêtés, ils sont montés à bord du bus, ont gazé le chauffeur et ont lancé à l'intérieur une grenade de désencerclement», ajoute-t-il.
«On voit une rangée de CRS devant un bus, la foule devant, aucun signe virulent des supporters. Et là, les CRS avancent, lancent des gaz», raconte le jeune homme toujours sous le choc.
«C'est terrifiant de voir ça aujourd'hui en France, à la veille de 2020. J'ai reçu une grenade au pied alors que quelques secondes avant j'étais à côté d'une petite fille», indique un autre supporter.
Une autre vidéo publiée sur Twitter permet d’entendre des explosions et de voir l’utilisation de gaz lacrymogènes contre des supporters nîmois. Elle montre également des enfants en pleurs, sous le choc.
Selon le quotidien, samedi 21 décembre, 450 supporters nîmois répartis dans huit bus étaient en route pour le stade Vélodrome pour assister au match opposant leur club à l’Olympique de Marseille. Mais un arrêté préfectoral des Bouches-du-Rhône n’autorisait le déplacement que de 200 supporters. Les forces de l’ordre les ont alors interceptés à hauteur de Lançon-Provence, immobilisant les véhicules durant deux heures sur une aire d’autoroute.
D’après le média, les forces de l’ordre les ont ensuite escortés jusqu’à Nîmes avant de subitement arrêter le cortège pour intervenir. C’est à ce moment-là que la situation a dégénéré.
Le trajet a été marqué par un arrêt brutal «en plein milieu de l’autoroute», selon un jeune homme cité par le quotidien. Il a filmé depuis l’intérieur du bus l’intervention des forces de l’ordre.
«Le chauffeur du bus des Gladiators [groupe de supporters nîmois, ndlr] a fait des appels de phare aux policiers pour leur demander de rouler plus vite car c'était dangereux», raconte-t-il.
Le président de l'autre groupe de supporters confirme: «on roulait maximum à 45 km/h». «Les CRS se sont arrêtés, ils sont montés à bord du bus, ont gazé le chauffeur et ont lancé à l'intérieur une grenade de désencerclement», ajoute-t-il.
«On voit une rangée de CRS devant un bus, la foule devant, aucun signe virulent des supporters. Et là, les CRS avancent, lancent des gaz», raconte le jeune homme toujours sous le choc.
«C'est terrifiant de voir ça aujourd'hui en France, à la veille de 2020. J'ai reçu une grenade au pied alors que quelques secondes avant j'étais à côté d'une petite fille», indique un autre supporter.
Une autre vidéo publiée sur Twitter permet d’entendre des explosions et de voir l’utilisation de gaz lacrymogènes contre des supporters nîmois. Elle montre également des enfants en pleurs, sous le choc.
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