07 novembre 2019

Manifestons contre l'insécurité le 11 Novembre à Montpellier



Commentaires sur le site de la vidéo :

Joel Deplanque

Bonjour,

François, Vaste sujet s'il en est... Laisse-moi te raconter un vécu personnel. Je suis arrivé en Guyane le 28 mars 1984. C'était alors un vrai paradis. Beaucoup de convivialité au sein de cette mosaïque ethnique, de vastes espaces de liberté, bref, le panard. Et puis, lentement mais sûrement cette liberté est devenue libertinage. Attirés autant par cette tropicale nonchalance que par le faible cout des herbes euphorisantes ou encore par le tourisme sexuel, de nombreux "progressistes" débarquèrent en Guyane et, porteurs d'un message quasi-divin, se mirent à répandre leurs fumeux concepts auprès des locaux.
Beaucoup d'enseignants dans ce lot peu reluisant... Autrefois terre du bagne la Guyane continua de jouer son rôle de dépotoir de la métropole. Fonctionnaires indésirables, interdits de séjour, collectionneurs de casseroles, marginaux de tout calibre trouvaient en Amazonie française un placard à leur gout.
Au début des années 1990 éclata au Suriname voisin une guerre civile sur fond de trafic de drogue. De nombreux Surinamais traversèrent le fleuve Maroni et des camps de réfugiés furent créés, dont deux sur la zone dont j'étais responsable en tant qu'agent de l'ONF. L’État achetait la paix civile, car à Kourou la fusée Ariane devait pouvoir décoller dans un milieu sans turbulences. La France hexagonale laissait faire... L'absence de contraintes lamina l'espace de libertés. Les trottoirs furent parcourus par de nouveaux profils de déjantés. Les réfugiés Surinamais sortirent des camps, squattèrent des terrains, se mirent à construire en dur. Les cambriolages commencèrent, puis les agressions, viols et meurtres. Les grilles aux fenêtres poussèrent comme des champignons. Protections dérisoires arrachées à l'aide de 4x4. J'avais démissionné de l'ONF et monté une florissante armurerie.
Face à cette insécurité croissante, les opérations ville morte se succédaient (sollicitées par de braves fonctionnaires conservant l'intégralité de leurs salaires). Parmi les défilés, nombre de voleurs réputés, venus tenter en riant de se donner un vernis d’honnêteté. Ces braves enseignants & Cie ne se rendaient pas compte que leurs fumeuses théories et la faiblesse qu'elles généraient étaient un des éléments clefs de la dégradation des conditions de vie. Plongés dans le déni, les moutons ne pouvaient que solliciter une sécurité qu'ils étaient par nature incapables d'imposer. Quant au sous-préfet, il ne cachait pas ses priorités : "si j'ai plusieurs milliers de manifestants devant la sous-préfecture, je serai muté"... Quelques actes d'auto-défense eurent lieu. Et puis un local eut l'idée de génie d'aller repasser les terrils d'anciens placers avec une technique plus perfectionnée et trouva de l'or en quantité. Il parla... Il y a maintenant trente mille garimpeiros clandestins pillant la forêt et polluant le milieu naturel au mercure. Prostitution, trafics de drogue et d'armes, corruption politico.* plus ou moins généralisée... Une dizaine de meurtres par semaine ? Tout le monde s'en fout, c'est en forêt profonde. Vous voulez rire ou être indignés, être surpris par des révélations sur ce cirque ? Lisez https://www.amazon.fr/dp/2951973705 
Au magasin, l’ordre régnait. Je n'étalerai pas ici mes "exploits". Évidemment, les gauchos automates livides ne manquaient pas - bonne conscience oblige - de critiquer mes méthodes. Pas trop fort toutefois, car une fois agressés, ils ne manquaient pas de venir nous acheter de quoi se défendre... Nous n'avons jamais été cambriolés, contrairement à nos voisins qui le furent plusieurs fois. Hé hé... Les voleurs nous craignaient. J'approvisionnais à intervalles réguliers les urgences de l'hôpital. Ça entretenait l'amitié et le vivre ensemble... Ceux que je craignais le plus n'étaient pas les autochtones, mais ces braves pâlichons en mal de repentance. Eux n'hésitaient pas à dénoncer leur compatriote blanc qui - en situation de légitime défense - aurait flanqué une raclée à un voleur de couleur. C'est que le fait d'appartenir à un peuple ayant été colonisateur, ça crée des remords, ça génère des sentiments de culpabilité, ça appelle une repentance... A défaut d'indemnisation des ex-colonisés (amateurs de TV grand écran, roulant en 4x4) il faudra se refaire une virginité à bas coût en dénonçant le blanc jugé raciste... Dire que l'immense majorité des voleurs étaient de couleur n'est pas de la stigmatisation, mais le simple reflet de la composition de la société locale. Si vous allez au Congo, les chances de se faire agresser par un Lapon sont relativement minces... Et alors ? Me direz-vous... Je me souviens qu'à l'époque nous répétions : "La Guyane, c'est la France, avec dix ans d’avance". L'évolution de la situation nous a donné raison. La Guyane est désormais un coupe-gorge en État de droit. L'individu seul ne peut pas lutter contre une tendance générale, l'abandon du pouvoir phagocyté dans sa lecture des droits de l'homme, esclave de l'argent. A un moment il faut faire un choix. Nous avons quitté la Guyane et les nouvelles que nous en recevons ne sont pas brillantes. Celles de France non plus, d'ailleurs. "La Guyane, c'est la France, avec dix ans d’avance" disions-nous. Avec le recul il me semble que ce délai de dix ans se raccourcit... Enfin, vous savez désormais sur quelle pente vous êtes engagés, ce qui vous attend. Ce qui NOUS attend...
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gaboreee

Pour acheter une arme sans emmerdes, pensez Poudre Noire. Achetez en kiosque le magazine "Cibles" et regardez les promos des armureries pour les fêtes. Ex: un revolver de poche a cinq coups Remington calibre 31 coûte 200 euros a peine. Facile a planquer, efficace, acquis avec une simple carte d'identité, sans inscription en club, licence, autorisation préfectorale et tout le tralala. Categorie D. Bon, le port est aussi illégal que celui d'un couteau, mais l'effort en vaut la peine. C'est mon "bon plan défense" du jour .
Pour le domicile, son grand frère le Remington 1858 calibre 44 canon court ou long ne coûte pas plus cher et dissuadé n'importe quelle bande de "chances pour la France" et "d'enfants de la République" de s'en prendre à vos proches et a vos biens.
Pour les gourmands, le pistolet de cocher a deux coups Howdah calibre 20 lisse envoie des gerbes de plomb fort dissuasives, comparables a celles d'un fusil a pompe. Mais il coûte cher, dans les 900 euros.
Dans tous les cas, privilégiez la marque Pietta, c'est le meilleur rapport qualité-prix.
Dans tous les cas, ne restez jamais désarmés !!!
Un simple tir en l'air peut éviter une agression en bande.
Pour la manif',c'est bien, mon cher Batdaf', c'est très bien de s'affirmer. Mais l'acte le plus significatif, c'est encore de s'armer. Amitiés de Carcassonne. Force et Honneur.🇫🇷🇫🇷🇫🇷  

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ka 47 vs 38 special les armes

Bonjour,
je vis dans le 83-Var, au mois de mai 2019 je me suis fait agressé par 2 jeunes de 25 et 27 ans dans ma cage d'escalier, devant ma fille de 15 ans et ma femme. Je précise que j'ai 45 ans et que je suis tireur sportif depuis 10 ans !!!!! Pour faire fuir les agresseurs jai tiré 2 coup de feu en l'air !!! Je précise aussi dans mon histoire que les 2 agresseurs tiennent une pizzeria en bas de chez moi, pizzeria plus que douteuse !!!!! Résultats des couse : 17 jours d'itt, fracture du nez, décollement de la rétine et autre !!!!! Pour la suite, les gendarme son venus, puis ils m'ont convoqué et mis en garde a vue pendant 39h, pour violence avec arme !!!!! 7 jour plus tard j'ai la visite du PSIG, qui confisque toutes mes armes pour destruction. Le 7 octobre je suis condamné a 3 mois de prison avec sursis, 5 ans de mise a l'épreuve et 3 ans d'interdiction d'avoir une arme !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Je précise aussi que mon casier judiciaire est vierge !!!!!!!!!!!!!! et pour les agresseurs ???? Rien, que dalle, il me font même coucou tous les jours. France de merde !

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