Le blocus des dépôts pétroliers de Lorient et de Brest a débuté ce jeudi soir et se poursuit ce vendredi.
Ce jeudi soir, le bras de fer a commencé. Et, ce vendredi, il continue à Lorient et à Brest.
À Lorient, une soixantaine d’engins de chantier et de camions se sont positionnés pour bloquer l’entrée. À Brest, ce vendredi, il y avait toujours une cinquantaine de personnes sur place. Un arrêté préfectoral a été pris pour interdire les manifestations aux abords du dépôt du 28 novembre au 2 décembre. Les représentants du BTP sont donc positionnés sur les trottoirs des ronds-points conduisant au dépôt.
À Lorient, les manifestants étaient, ce vendredi matin, déterminés à tenir le siège. « On ne bougera pas tant qu’on ne sera pas satisfait. On n’est pas pressé », indique Thierry Philippe, patron de l’entreprise du même nom. Tous les chargements au niveau du site classé Seveso ont été arrêtés par mesure de sécurité.
Au dépôt Total de Vern-sur-Seiche (35), bloqué depuis ce vendredi à 1 h du matin, Jean-Marc Pelatre, chef d’entreprise de travaux publics, a lui promis de tenir « bon jusqu’au bout ». « On ne lâchera pas. On est mobilisés pour tenir, on est en force aujourd’hui et on sera encore plus nombreux à venir », a-t-il affirmé. Dans le Grand Ouest, le dépôt pétrolier du Mans était aussi perturbé ce vendredi matin par une dizaine de professionnels du BTP équipés d’engins de chantier dans le cadre d’une action entamée depuis jeudi après-midi.
La profession s’oppose à la suppression du gazole non routier détaxé. Ils sont déterminés à rester jusqu’à ce que le gouvernement retire la mesure.
L’Exécutif, qui avait fait machine arrière il y a un an, a remis sur la table la fin programmée en 2022 du gazole non routier détaxé. Une provocation pour la profession qui avait déjà ressorti, samedi 16 novembre, à Lorient, les tractopelles et les camions en guise d’alerte.
Ce jeudi soir, le bras de fer a commencé. Et, ce vendredi, il continue à Lorient et à Brest.
À Lorient, une soixantaine d’engins de chantier et de camions se sont positionnés pour bloquer l’entrée. À Brest, ce vendredi, il y avait toujours une cinquantaine de personnes sur place. Un arrêté préfectoral a été pris pour interdire les manifestations aux abords du dépôt du 28 novembre au 2 décembre. Les représentants du BTP sont donc positionnés sur les trottoirs des ronds-points conduisant au dépôt.
À Lorient, les manifestants étaient, ce vendredi matin, déterminés à tenir le siège. « On ne bougera pas tant qu’on ne sera pas satisfait. On n’est pas pressé », indique Thierry Philippe, patron de l’entreprise du même nom. Tous les chargements au niveau du site classé Seveso ont été arrêtés par mesure de sécurité.
Au dépôt Total de Vern-sur-Seiche (35), bloqué depuis ce vendredi à 1 h du matin, Jean-Marc Pelatre, chef d’entreprise de travaux publics, a lui promis de tenir « bon jusqu’au bout ». « On ne lâchera pas. On est mobilisés pour tenir, on est en force aujourd’hui et on sera encore plus nombreux à venir », a-t-il affirmé. Dans le Grand Ouest, le dépôt pétrolier du Mans était aussi perturbé ce vendredi matin par une dizaine de professionnels du BTP équipés d’engins de chantier dans le cadre d’une action entamée depuis jeudi après-midi.
La profession s’oppose à la suppression du gazole non routier détaxé. Ils sont déterminés à rester jusqu’à ce que le gouvernement retire la mesure.
L’Exécutif, qui avait fait machine arrière il y a un an, a remis sur la table la fin programmée en 2022 du gazole non routier détaxé. Une provocation pour la profession qui avait déjà ressorti, samedi 16 novembre, à Lorient, les tractopelles et les camions en guise d’alerte.
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