On y voit un Kanak qui a tout d’une brute épaisse, le physique, les hurlements, la violence et le sadisme, torturer et menacer de décapiter à la tronçonneuse un jeune Chinois, marin de passage sur un minéralier, qui aurait commis le crime impardonnable de ramasser quelques holothuries (1) en bordure d’une plage caillouteuse.
Le Kanak est avec sa bande de copains qui regardent sans intervenir, et même s’éloignent, avec pour seule excuse qu’un fou-furieux porteur d’une tronçonneuse en marche est plus dangereux qu’un kapo SS énervé. Personne ne songe évidemment à appeler la gendarmerie avec son portable, elle est française, c’est inexcusable.
Inutile d’expliquer plus longtemps les faits, la vidéo parle d’elle-même :
Liste non-exhaustive des anomalies
Hors son contenu, cette vidéo soulève beaucoup de questions.
1 / Qui filmait, les pieds dans l’eau, une vidéo d’une aussi bonne qualité ?
2 / Pourquoi le Kanak, Florent Eurisouké, se promenait-il sur la plage avec une tronçonneuse ?
3 / Pourquoi est-ce lui, soudain calmé, qui demande d’appeler la police, ce qui a contribué à dissuader le Chinois, ignorant s’il était ou non coupable d’un délit, à aller porter plainte.
4 / Les holothuries n’étant ni protégées ni interdites de pêche, pourquoi cette folle colère ? Est-ce du cinéma pour montrer que Eurisouké à les capacités pour être chef de la police ou ministre de l’Intérieur dans un futur gouvernement kanak ??
5 / Pourquoi la vidéo sort-elle maintenant si elle date vraiment de deux ans ?
6 / Pourquoi la gendarmerie, si elle a été prévenue (dans la vidéo ils parlent de « police », mais en Nouvelle-Calédonie, hors les villes c’est la gendarmerie), n’est-elle pas intervenue ?
7 / Insultes, coups, tentative de meurtre… Pourquoi la Justice n’a-t-elle pas été saisie ?…
Hors son contenu, cette vidéo soulève beaucoup de questions.
1 / Qui filmait, les pieds dans l’eau, une vidéo d’une aussi bonne qualité ?
2 / Pourquoi le Kanak, Florent Eurisouké, se promenait-il sur la plage avec une tronçonneuse ?
3 / Pourquoi est-ce lui, soudain calmé, qui demande d’appeler la police, ce qui a contribué à dissuader le Chinois, ignorant s’il était ou non coupable d’un délit, à aller porter plainte.
4 / Les holothuries n’étant ni protégées ni interdites de pêche, pourquoi cette folle colère ? Est-ce du cinéma pour montrer que Eurisouké à les capacités pour être chef de la police ou ministre de l’Intérieur dans un futur gouvernement kanak ??
5 / Pourquoi la vidéo sort-elle maintenant si elle date vraiment de deux ans ?
6 / Pourquoi la gendarmerie, si elle a été prévenue (dans la vidéo ils parlent de « police », mais en Nouvelle-Calédonie, hors les villes c’est la gendarmerie), n’est-elle pas intervenue ?
7 / Insultes, coups, tentative de meurtre… Pourquoi la Justice n’a-t-elle pas été saisie ?…
La Justice est maintenant saisie
La Justice est maintenant saisie, non par la victime mais par la présidente du gouvernement, Madame Sonia Backès, qui a découvert la vidéo en même temps que les Calédoniens.
Le marin chinois n’a pas porté plainte. A-t-il réellement pu partir libre après la fin de la vidéo ou est-il mort ? Cela reste à préciser par l’enquête.
S’il a rejoint son minéralier, on imagine qu’il a du raconter sa mésaventure. Pourquoi le commandant de bord n’a-t-il pas alerté les autorités, françaises, d’abord, chinoises ensuite par radio ?
Si le marin n’est pas revenu à bord, un bateau peut-il repartir en oubliant un membre de son personnel ?
Personne ne s’inquiète de sa disparition ?
Tant que personne ne vient déposer une plante ou qu’aucun rapport administratif n’attire son attention, la Justice n’a évidemment aucune raison de lancer une enquête.
L’affaire a été inévitablement connue
L’affaire se passe en plein jour, il y a au moins les cinq témoins identifiables sur la vidéo : le preneur de vidéo, celui qui vient récupérer la tronçonneuse dans l’eau, les deux jeunes qui s’éloignent d’un air décontracté, et le « blanc », Hubert, qui intervient, se fait frapper et appelle soi-disant « la police ».
On est en Nouvelle-Calédonie où radio-cocotier est très active, surtout dans les tribus où les distractions sont rares. Une scène comme la décapitation d’un Chinois à la tronçonneuse, même si elle ne s’est pas concrétisée finalement, ça se raconte encore et encore. Il y a aussi les Renseignements généraux qui sont actifs et la Gendarmerie est aussi à l’écoute de tout ce qui se dit et se fait. Localement l’affaire a été inévitablement connue.
D’autre part, cela se passe dans les environs de Houaïlou, commune isolée de la côte Est, et il semble qu’Eurisouké, le violent, faisait régner la terreur sur ses proches, l’omerta a donc pu jouer. Et puis, si le Chinois est mort, pour les Kanaks, ce n’est qu’un Chinois, un « voleur de terre » (le minerai de nickel) comme le lui reproche Eurisouké. On ne va prévenir personne, surtout pas la Gendarmerie française, elle viendrait enquêter dans les tribus.
Mais, récemment, Eurisouké, prenant les devants, a déposé une plainte pour contre le jeune chinois pour « violation de réserve coutumière » ce qui n’excuse en rien sa violence sadique. Il dit ne pas regretter son geste.
Le plus probable, les autorités ont su. Ont-elles dissimulé ?
Il est très probable que la Gendarmerie ait connu l’affaire, soit qu’Hubert (le « blanc ») l’ait réellement appelée et qu’elle se soit déplacée, soit par Radio cocotier. Elle a envoyé un rapport à sa hiérarchie qui a transmis à l’autorité administrative supérieure, le Haut Commissariat, lequel a ordonné le black-out.
Comme en France où après chaque attentat islamiste les autorités nient d’abord, puis invoquent la folie ou l’ivresse, n’importe quoi qui puisse exonérer le tueur musulman de sa responsabilité, et s’il est retrouvé, la gauche monte au créneau pour invoquer la colonisation, la guerre dans son pays, la misère, l’oppression qu’il subit en Europe.
Depuis quarante ans, socialistes et FLNKS (2) construisent patiemment l’image d’un peuple kanak pacifique et opprimé depuis 180 ans par une « colonisation bestiale qui a détruit en l’exploitant la civilisation et la culture de ce peuple premier ».
Ignorant l’histoire ou faisant semblant de l’ignorer par idéologie marxiste, ils oublient que :
Les premiers découvreurs décrivent « un pays ravagé par les guerres tribales, les maladies et la famine » (Thomas Cook, Mémoires), d’Entrecasteaux et l’amiral Febvrier Despointes disent la même chose, ajoutant qu’ils devaient pêcher dans le lagon pour approvisionner les tribus de la côte qui ne pouvaient le faire par peur d’être attaquées et dévorées.
« Ne pouvant sortir de leurs vallées, par peur d’être tués, ils ignoraient qu’ils étaient sur une île » (Éliane Métais, anthropologue). Une île qui n’avait donc pas de nom.
Durée de vie de l’ordre de 35 ans et cannibalisme généralisé, selon les missionnaires catholiques et protestants. Nombreux sont les découvreurs qui signalent le cannibalisme kanak pour pallier au manque de nourriture et de protéines :
https://www.lepoint.fr/culture/le-tour-du-monde-des-cannibales-10-les-kanaks-ont-les-crocs-14-08-2018-2243590_3.php
Les Kanaks mâles refusant de travailler s’ils n’y étaient pas forcés (c’est inconcevable dans leur statut social coutumier), il fallut importer des Javanais, des Vietnamiens, des Wallisiens pour avoir des ouvriers dans l’usine de nickel, les plantations et les travaux publics.
Il y avait autant de langues (38 pour 50.000 habitants) et de coutumes que de grandes tribus et dans certaines régions peu nombreuses, des esclaves dans les tarodières (Yves Rieu, Histoire de Bourail)
Ils ne sont pas plus « peuple premier » que les Anglais en Tasmanie. Quand on a exterminé dans un génocide le peuple précédent, à la fin du 18ème siècle les Eletoks, des Négritos, dans le cas des Kanaks, on ne devient pas « premier » pour autant.
Sont-ils pacifiques? Rien ne le montre. Pour apprécier leur pacifisme, il suffit de sortir dans Nouméa centre ville un samedi soir : magasins barricadés de rideaux métalliques, bandes de jeunes kanaks ivres, shootés au cannabis et agressifs, brutalités, voitures volées et incendiées.
Une vidéo comme celle qui circule actuellement est une catastrophe pour l’image du Kanak pacifique, doux et victime d’une société qui lui a apporté médecine et durée de vie multipliée par plus de deux, éducation, prospérité. Ils ont de loin le niveau de vie le plus élevé des peuples indigènes du Pacifique, démocratie, triplement de sa population en un siècle, liberté de circuler et de voyager, paix tribale.
Il fallait donc protéger cette image en dissimulant la violence hystérique et sadique du kanak Florent Eurisouké dans une période où, horreur démocratique que la France défend du bec et des ongles à l’ONU, on a entamé la série des trois référendums sur l’indépendance avec un corps électoral truqué, qui selon le calcul du préfet Alain Chrisnacht doit inéluctablement se terminer par l’indépendance.
Reste toujours la question, qui a ressorti la vidéo et pourquoi ?
Qui ? Seule l’enquête menée par le procureur Alexis Bouroz pourrait le dire.
Pourquoi ? Plusieurs hypothèses circulent.
Le FLNKS ? Il aurait voulu se débarrasser d’un militant devenu encombrant et dangereux.
Improbable, les Kanaks sont maîtres dans l’art de l’empoisonnement (les « herbes dans la soupe ») ; la mort par requin ; la mort très rapide (3 jours par septicémie aigüe), même de jeunes, par empoisonnement généralisé à l’aide de sang ou de sucs prélevés sur un cadavre d’au moins trois jours et injecté à la victime par n’importe quel instrument pointu ou griffu ; l’assassinat avec disparition du corps en forêt, dans une grotte, le plus souvent en mer.
Des enquêtes ont été entreprises pour élucider la mort prématurée de nombreux grands chefs, toujours interrompues à la demande des autorités coutumières.
Terroriser les non-kanaks pour les faire partir ? Créer des tensions politiques et ethniques ? Pour le moment c’est plutôt l’effet inverse, les gens sont horrifiés, furieux et demandent qu’Eurisouké soit sévèrement sanctionné.
Faire peur aux Chinois qui viennent chercher du minerai ? C’est la thèse de Florent Eurisouké. Mais on interdira aux équipages de descendre à terre ou de s’éloigner des bateaux et ça ne changera rien, la Chine a besoin de nickel et de chrome. La France et les indépendantistes se sont engagés à lui en vendre.
Ou aux touristes chinois, de plus en plus nombreux ? Possible. Les Kanaks en général apprécient les revenus qu’apportent les touristes, mais les indépendantistes n’en veulent pas. « Tourisme = autre forme du colonialisme ».
Provoquer un reflux vers le camp pro-français des fonctionnaires et gens de gauche qui votent pour l’indépendance ? Possible, mais la date est mal choisie, trop loin du prochain référendum dans un an.
Une manœuvre du Gouvernement ? Possible aussi, et deviendrait vraisemblable si l’enquête montrait que la vidéo a été saisie par les gendarmes sur place et se trouve donc depuis deux ans (délai donné par Eurisouké) entre les mains des autorités.
La solution ? Trouver qui a mis la vidéo sur Facebook.
L’Imprécateur
Mais, récemment, Eurisouké, prenant les devants, a déposé une plainte pour contre le jeune chinois pour « violation de réserve coutumière » ce qui n’excuse en rien sa violence sadique. Il dit ne pas regretter son geste.
Le plus probable, les autorités ont su. Ont-elles dissimulé ?
Il est très probable que la Gendarmerie ait connu l’affaire, soit qu’Hubert (le « blanc ») l’ait réellement appelée et qu’elle se soit déplacée, soit par Radio cocotier. Elle a envoyé un rapport à sa hiérarchie qui a transmis à l’autorité administrative supérieure, le Haut Commissariat, lequel a ordonné le black-out.
Comme en France où après chaque attentat islamiste les autorités nient d’abord, puis invoquent la folie ou l’ivresse, n’importe quoi qui puisse exonérer le tueur musulman de sa responsabilité, et s’il est retrouvé, la gauche monte au créneau pour invoquer la colonisation, la guerre dans son pays, la misère, l’oppression qu’il subit en Europe.
Depuis quarante ans, socialistes et FLNKS (2) construisent patiemment l’image d’un peuple kanak pacifique et opprimé depuis 180 ans par une « colonisation bestiale qui a détruit en l’exploitant la civilisation et la culture de ce peuple premier ».
Ignorant l’histoire ou faisant semblant de l’ignorer par idéologie marxiste, ils oublient que :
Les premiers découvreurs décrivent « un pays ravagé par les guerres tribales, les maladies et la famine » (Thomas Cook, Mémoires), d’Entrecasteaux et l’amiral Febvrier Despointes disent la même chose, ajoutant qu’ils devaient pêcher dans le lagon pour approvisionner les tribus de la côte qui ne pouvaient le faire par peur d’être attaquées et dévorées.
« Ne pouvant sortir de leurs vallées, par peur d’être tués, ils ignoraient qu’ils étaient sur une île » (Éliane Métais, anthropologue). Une île qui n’avait donc pas de nom.
Durée de vie de l’ordre de 35 ans et cannibalisme généralisé, selon les missionnaires catholiques et protestants. Nombreux sont les découvreurs qui signalent le cannibalisme kanak pour pallier au manque de nourriture et de protéines :
https://www.lepoint.fr/culture/le-tour-du-monde-des-cannibales-10-les-kanaks-ont-les-crocs-14-08-2018-2243590_3.php
Les Kanaks mâles refusant de travailler s’ils n’y étaient pas forcés (c’est inconcevable dans leur statut social coutumier), il fallut importer des Javanais, des Vietnamiens, des Wallisiens pour avoir des ouvriers dans l’usine de nickel, les plantations et les travaux publics.
Il y avait autant de langues (38 pour 50.000 habitants) et de coutumes que de grandes tribus et dans certaines régions peu nombreuses, des esclaves dans les tarodières (Yves Rieu, Histoire de Bourail)
Ils ne sont pas plus « peuple premier » que les Anglais en Tasmanie. Quand on a exterminé dans un génocide le peuple précédent, à la fin du 18ème siècle les Eletoks, des Négritos, dans le cas des Kanaks, on ne devient pas « premier » pour autant.
Sont-ils pacifiques? Rien ne le montre. Pour apprécier leur pacifisme, il suffit de sortir dans Nouméa centre ville un samedi soir : magasins barricadés de rideaux métalliques, bandes de jeunes kanaks ivres, shootés au cannabis et agressifs, brutalités, voitures volées et incendiées.
Une vidéo comme celle qui circule actuellement est une catastrophe pour l’image du Kanak pacifique, doux et victime d’une société qui lui a apporté médecine et durée de vie multipliée par plus de deux, éducation, prospérité. Ils ont de loin le niveau de vie le plus élevé des peuples indigènes du Pacifique, démocratie, triplement de sa population en un siècle, liberté de circuler et de voyager, paix tribale.
Il fallait donc protéger cette image en dissimulant la violence hystérique et sadique du kanak Florent Eurisouké dans une période où, horreur démocratique que la France défend du bec et des ongles à l’ONU, on a entamé la série des trois référendums sur l’indépendance avec un corps électoral truqué, qui selon le calcul du préfet Alain Chrisnacht doit inéluctablement se terminer par l’indépendance.
Reste toujours la question, qui a ressorti la vidéo et pourquoi ?
Qui ? Seule l’enquête menée par le procureur Alexis Bouroz pourrait le dire.
Pourquoi ? Plusieurs hypothèses circulent.
Le FLNKS ? Il aurait voulu se débarrasser d’un militant devenu encombrant et dangereux.
Improbable, les Kanaks sont maîtres dans l’art de l’empoisonnement (les « herbes dans la soupe ») ; la mort par requin ; la mort très rapide (3 jours par septicémie aigüe), même de jeunes, par empoisonnement généralisé à l’aide de sang ou de sucs prélevés sur un cadavre d’au moins trois jours et injecté à la victime par n’importe quel instrument pointu ou griffu ; l’assassinat avec disparition du corps en forêt, dans une grotte, le plus souvent en mer.
Des enquêtes ont été entreprises pour élucider la mort prématurée de nombreux grands chefs, toujours interrompues à la demande des autorités coutumières.
Terroriser les non-kanaks pour les faire partir ? Créer des tensions politiques et ethniques ? Pour le moment c’est plutôt l’effet inverse, les gens sont horrifiés, furieux et demandent qu’Eurisouké soit sévèrement sanctionné.
Faire peur aux Chinois qui viennent chercher du minerai ? C’est la thèse de Florent Eurisouké. Mais on interdira aux équipages de descendre à terre ou de s’éloigner des bateaux et ça ne changera rien, la Chine a besoin de nickel et de chrome. La France et les indépendantistes se sont engagés à lui en vendre.
Ou aux touristes chinois, de plus en plus nombreux ? Possible. Les Kanaks en général apprécient les revenus qu’apportent les touristes, mais les indépendantistes n’en veulent pas. « Tourisme = autre forme du colonialisme ».
Provoquer un reflux vers le camp pro-français des fonctionnaires et gens de gauche qui votent pour l’indépendance ? Possible, mais la date est mal choisie, trop loin du prochain référendum dans un an.
Une manœuvre du Gouvernement ? Possible aussi, et deviendrait vraisemblable si l’enquête montrait que la vidéo a été saisie par les gendarmes sur place et se trouve donc depuis deux ans (délai donné par Eurisouké) entre les mains des autorités.
La solution ? Trouver qui a mis la vidéo sur Facebook.
L’Imprécateur
1 : Holothurie, ou bêche de mer, est un mollusque de couleur variable selon les espèces, de la taille d’un boudin à l’oignon, ou d’une grosse crotte, au choix, que seuls les Asiatiques arrivent à manger pour ses prétendues vertus aphrodisiaques parce que de loin, il ressemble aussi à un… sans ses boules, vous voyez ?
2 : FLNKS Front de Libération Nationale Kanak et Socialiste
Source
2 : FLNKS Front de Libération Nationale Kanak et Socialiste
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