Les taux de fécondité s’effondrent depuis longtemps dans toutes les régions. En 2020, toutes les régions, à l’exception de l’Afrique, devraient avoir un taux de fécondité négatif ou connaître une croissance pratiquement nulle, comme devraient l’être l’Asie et l’Amérique latine. A partir de maintenant, toutes les régions sauf l’Afrique devraient se situer légèrement ou nettement en dessous du taux de remplacement, tandis que l’Afrique devrait passer à des taux de fécondité négatifs d’ici le milieu ou la fin du siècle. De 2020 à 2100, les lignes pleines sont des variantes de fertilité moyenne et les lignes pointillées des variantes de fertilité faible.
Un taux de fécondité de 2,1 représente une croissance zéro (2,1 enfants par femme en âge de procréer). Ce que je souligne ci-dessous, c’est que les taux de fécondité de l’Europe, de l’Amérique latine (plus les Caraïbes), de l’Amérique du Nord et de l’Asie de l’Est sont tous nettement inférieurs à 2,1. On s’attend à ce que tous ces taux demeurent indéfiniment bien en deçà du taux de remplacement… la seule question étant de savoir jusqu’à quel point ils se situent en deçà du taux de remplacement. Bien que les taux observés continuent de baisser, le scénario de référence de l’ONU est une reprise marquée des taux de fécondité dans tous les pays sauf en Amérique latine. Ce passage à un taux de fécondité légèrement moins négatif est peu probable et il est tout à fait logique de penser que nous devrions anticiper les taux de fécondité, les naissances et les résultats démographiques résultants entre les variantes moyenne et faible. Soit dit en passant, les politiques monétaires et fiscales actuelles du ZIRP/NIRP, du QE, etc. semblent avoir de graves répercussions négatives sur la population des jeunes adultes en raison de l’inflation des actifs en l’absence d’inflation salariale… retardant le mariage et la formation de la famille. Il est juste de dire que plus ces politiques sont utilisées, plus les taux de fécondité diminueront.
Un taux de fécondité de 2,1 représente une croissance zéro (2,1 enfants par femme en âge de procréer). Ce que je souligne ci-dessous, c’est que les taux de fécondité de l’Europe, de l’Amérique latine (plus les Caraïbes), de l’Amérique du Nord et de l’Asie de l’Est sont tous nettement inférieurs à 2,1. On s’attend à ce que tous ces taux demeurent indéfiniment bien en deçà du taux de remplacement… la seule question étant de savoir jusqu’à quel point ils se situent en deçà du taux de remplacement. Bien que les taux observés continuent de baisser, le scénario de référence de l’ONU est une reprise marquée des taux de fécondité dans tous les pays sauf en Amérique latine. Ce passage à un taux de fécondité légèrement moins négatif est peu probable et il est tout à fait logique de penser que nous devrions anticiper les taux de fécondité, les naissances et les résultats démographiques résultants entre les variantes moyenne et faible. Soit dit en passant, les politiques monétaires et fiscales actuelles du ZIRP/NIRP, du QE, etc. semblent avoir de graves répercussions négatives sur la population des jeunes adultes en raison de l’inflation des actifs en l’absence d’inflation salariale… retardant le mariage et la formation de la famille. Il est juste de dire que plus ces politiques sont utilisées, plus les taux de fécondité diminueront.
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