Quand le socialisme, qu’on devrait appeler le sociétalisme, se prend les pieds dans son propre tapis...
La vidéo suivante a été tournée il y a deux ans, au mois de juillet 2017. Depuis, rien n’a changé, les migrants s’entassent et ont soif. La mairie de Paris pare au plus pressé mais en appelle aux services de l’État qui la laissent dans la merde, puisqu’il faut dire les choses comme elles sont.
Un merdier très politique : quand Hidalgo se débat avec les conséquences de son immigrationnisme (la seule mesure de gauche résiduelle avec l’invasion des criquets LGBT et la GPA pour couples pédophiles), les concurrents LR et LREM se frottent les mains. Tout est politique : les migrants peuvent servir de dynamiteurs de mairie.
Pendant la bataille de Paris, les points de misère se multiplient. Le quart-monde grignote la capitale... On serait vaches, on se réjouirait des malheurs de celle qui a transformé la ville lumière en centre d’accueil pour migrants. Mais ce n’est pas complètement vrai : Paris se développe sur deux axes, les super riches, et les super pauvres. On devrait bientôt rebaptiser cette ville Rio-sur-Seine.
« La situation s’aggrave (…) avec dix maires de tous bords confondus nous avons appelé l’État à nous venir en aide à créer avec nous des solutions qui permettent à ces personnes d’être prises en charge. C’est vraiment un cri d’alarme que je pousse. Il faut arrêter de considérer que cette situation n’existe pas (…) Sans l’État cette situation va dégénérer. »
L’appel de l’Anne de Paris a été entendu par Macron, qui relaye la solution européenne... mais sans l’Italie, qui vient de refuser encore une centaine de migrants.
Le journal L’Opinion écrit :
« Emmanuel Macron a donc annoncé qu’un club de volontaires composé de huit pays s’était engagé à mettre en place un mécanisme de répartition “systématique rapide et digne” des migrants secourus en Méditerranée par les navires des ONG.
Il s’agit donc de la France, de l’Allemagne, de la Finlande, du Luxembourg, du Portugal, de la Lituanie, de la Croatie et enfin de l’Irlande. Six autres États membres se sont dit intéressés mais leur nom n’a pas été révélé puisque des négociations sont encore en cours. Principal pays concerné, l’Italie n’a pas fait le déplacement et son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini a mis en garde Paris et Berlin contre toute décision prise sans l’aval de l’Italie. »
Le site 20minutes.fr raconte l’enfer quotidien de ces clandestins qui vivent dehors, sous 42 degrés le jeudi 25 juillet 2019 :
« Entre 1 500 et 2 000 migrants vivent actuellement dans des campements d’infortune dans le nord-est de la capitale. Une halte humanitaire ouverte à la porte de la Chapelle durant la période estivale les accueille.
[...]
Ce jeudi, autour d’un lavabo installé sur le trottoir, quelques hommes se ravitaillent en eau et s’en passent sur le visage et les avant-bras. À quelques mètres, à côté de la déchetterie, dans une usine désaffectée, une salle et un jardin en friche avec quelques zones d’ombre, abrite également plusieurs dizaines de migrants.
[...]
Ouvert fin mai, l’endroit permet aux personnes de se mettre à l’abri de la chaleur et de prendre des douches pour se rafraîchir. Récemment, des gourdes ont été distribuées par la ville, des jets et des points d’eau ont été mis en place et le nombre de douches a été augmenté. La halte en compte désormais douze. Plus de 200 douches sont prises par jour, selon les bénévoles. Durant toute la période estivale la halte est ouverte 7 jours sur 7, de 8 heures à 19 heures. »
La solution Macron c’est une « répartition forcée systématique, rapide et digne dans toute la France » des migrants déportés par les ONG. Ça promet. Au fait, où on va les foutre ? Qui va hériter du bébé ? Si ça continue, Lesquen va devenir président !
Source
Comment des personnes, politiques, associatifs, peuvent-ils forcer la venus de migrants afin de leur proposer de telles conditions de vie ? Ce sont des criminels.
Les conditions économiques sont telles en France, que ces migrants ne seront jamais intégrés, la majorité des Français ne veut plus de ce désastre.
Que dit-on à ces migrants afin qu'ils abandonnent leurs familles pour vivre dans de telles conditions, alors que leurs pays son majoritairement en paix ? France = Eldorado ?
Comment des personnes, politiques, associatifs, peuvent-ils forcer la venus de migrants afin de leur proposer de telles conditions de vie ? Ce sont des criminels.
Les conditions économiques sont telles en France, que ces migrants ne seront jamais intégrés, la majorité des Français ne veut plus de ce désastre.
Que dit-on à ces migrants afin qu'ils abandonnent leurs familles pour vivre dans de telles conditions, alors que leurs pays son majoritairement en paix ? France = Eldorado ?
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