Police et statistiques : la macronie explose tous les records ! Avec 240 enquêtes IGPN ouvertes depuis le 17 novembre et 29 suicides de policiers depuis le 1er janvier, Macron, Philippe, Castaner et Nunez laisseront une tache à jamais indélébile dans l’histoire de notre pays.
Après six mois de manifestations, France Police – Policiers en colère estime la participation à l’acte 26 des Gilets jaunes à environ 60.000 manifestants partout en France. Comme la semaine dernière, notre estimation tient compte des Gilets jaunes présents sur les ronds-points ce jour.
En début de semaine, le commissariat de police du 19ème arrondissement de Paris a dû fermer ses portes en raison d’une invasion de puces.
Les problèmes sanitaires dans les services de police sont récurrents. Régulièrement, des collègues sont touchés par des épidémies de gale transmises par les populations à risques fréquentant nos services.
Quotidiennement, les policiers sont au contact de personnes atteintes de maladies contagieuses comme la tuberculose ou les hépatites virales.
Mais comme cette sordide routine ne suffit pas, la macronie utilise nos collègues chaque semaine depuis maintenant six mois pour museler l’opposition politique qui s’exprime dans la rue.
En remerciements des bons et loyaux services rendus, l’exécutif promet régulièrement des sanctions contre nos collègues ayant eu la malchance d’être filmés en train d’appliquer les ordres du ministre de l’Intérieur, relayés localement par les préfets.
Sur quelques 240 enquêtes IGPN ouvertes depuis le 17 novembre, 60 sont closes et d’ores et déjà transmises à la justice en attente de traitement.
Lorsque la macronie aura écrasé définitivement toute forme d’opposition politique dans ce pays ou qu’elle aura été chassée par les urnes, nos collègues, eux, ne manqueront pas de passer au tourniquet avec la bénédiction des syndicats de police politisés qui seront les premiers à condamner des violences policières inadmissibles.
Et dire que certains s’interrogent sur le pourquoi des 29 suicides depuis le 1er janvier..
En début de semaine, le commissariat de police du 19ème arrondissement de Paris a dû fermer ses portes en raison d’une invasion de puces.
Les problèmes sanitaires dans les services de police sont récurrents. Régulièrement, des collègues sont touchés par des épidémies de gale transmises par les populations à risques fréquentant nos services.
Quotidiennement, les policiers sont au contact de personnes atteintes de maladies contagieuses comme la tuberculose ou les hépatites virales.
Mais comme cette sordide routine ne suffit pas, la macronie utilise nos collègues chaque semaine depuis maintenant six mois pour museler l’opposition politique qui s’exprime dans la rue.
En remerciements des bons et loyaux services rendus, l’exécutif promet régulièrement des sanctions contre nos collègues ayant eu la malchance d’être filmés en train d’appliquer les ordres du ministre de l’Intérieur, relayés localement par les préfets.
Sur quelques 240 enquêtes IGPN ouvertes depuis le 17 novembre, 60 sont closes et d’ores et déjà transmises à la justice en attente de traitement.
Lorsque la macronie aura écrasé définitivement toute forme d’opposition politique dans ce pays ou qu’elle aura été chassée par les urnes, nos collègues, eux, ne manqueront pas de passer au tourniquet avec la bénédiction des syndicats de police politisés qui seront les premiers à condamner des violences policières inadmissibles.
Et dire que certains s’interrogent sur le pourquoi des 29 suicides depuis le 1er janvier..
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