28 mai 2019

Lien entre fibromyalgie et glyphosate


L'éminent professeur Jewell C. Johnson du CNRS, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre le glyphosate et la fibromyalgie.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans la fibromyalgie, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec le glyphosate, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Jewell C. Johnson se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 3.400 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 14 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, Le NPG (neuroablation en phase gazeuse) fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet l'extraction du génotype par spectro-ablation des nucléotides élémentaires.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de la fibromyalgie. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Altération des ribosomes par clivage résistant
Jewell C. Johnson et al. - 2017

Les chiffres permettent de constater que :
  • Des facteurs environnementaux entrent jeu dans la survenue de la maladie.
  • L'opacification des humeurs vitreuses atteint rapidement un niveau inquiétant.
  • Le groupe témoin (sous placébo) n'est pas concerné par les altérations.
  • Le pourcentage global des noyaux cellulaires sains décroit régulièrement.
[...]

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